Ubu enchaîné

bonté (1934). Il emploie également du papier froissé. De 1921 à 1924, il peint quelques tableaux à l’huile dont la symbolique est exceptionnelle, influencé par Georgio De Chirico : L’éléphant Célèbes (1921), Oedipus Rex (1922), La révolution, La Nuit, Ubu Imperator (1923). Les critiques d’art évoquent la création d’une iconographie surréaliste immergée dans un érotisme trouble et sourd. Il renouvelle l’iconographie avec deux autres techniques : à partir de 1925 le frottage, et la décalcomanie de 1937

Flaubert, Madame Bovary ( première partie, chapitre 1, les élèves et la casquette de Charles Bovary). Hugo, L'Homme qui rit (livre II, chapitre 2 ; livre VIII, chapitre 7 ; livre IX, chapitre 2). Hugo, Notre-Dame de Paris (livre I, chapitre 5). Jarry, Ubu Roi. Molière, Le Malade imaginaire, Le Bourgeois gentilhomme. Rabelais, Gargantua. Voltaire, Dictionnaire philosophique, article Foi, section III. Zola, Nana ( chapitre 1).   Essais Héliane Bernard, Alexandre Faure, C'est quoi le rire ? (2009)

Flaubert, Madame Bovary (première partie, chapitre 1, les élèves et la casquette de Charles Bovary). Hugo, L'Homme qui rit (livre II, chapitre 2 ; livre VIII, chapitre 7 ; livre IX, chapitre 2). Hugo, Notre-Dame de Paris (livre I, chapitre 5). Jarry, Ubu Roi. Molière, Le Malade imaginaire, Le Bourgeois gentilhomme. Rabelais, Gargantua. Voltaire, Dictionnaire philosophique, article Foi, section III. Zola, Nana (chapitre 1). Essais Héliane Bernard, Alexandre Faure, C'est quoi le rire ? (2009). Raymond

Ubu Roi, la première pièce moderne. Lorsque A. Jarry, en 1896, donne Ubu Roi, la pièce fait l’effet d’une bombe. On se souvient du scandale qu’elle causa et l’émoi que provoquèrent les premiers mots tonitruants du Père Ubu : « Merdre ! », où la grossièreté est à peine déguisée. Jarry, héritier de Lautréamont et de Rimbaud, ne fait aucune concession au public. Directement inspirée de Macbeth, la pièce est la parodie d’un drame historique. Ubu, poussé par sa femme, l’ambitieuse Mère Ubu, assassine

Madame Bovary ( première partie, chapitre 1, les élèves et la casquette de Charles Bovary). − Hugo, L'Homme qui rit (livre II, chapitre 2 ; livre VIII, chapitre 7 ; livre IX, chapitre 2). − Hugo, Notre-Dame de Paris (livre I, chapitre 5). − Jarry, Ubu Roi. − Molière, Le Malade imaginaire, Le Bourgeois gentilhomme. − Rabelais, Gargantua. − Voltaire, Dictionnaire philosophique, article Foi, section III. − Zola, Nana (chapitre 1). Essais : − Héliane Bernard, Alexandre Faure, C'est quoi le rire

microlecture no 1, la scene d’exposition ´ ` (acte I, scene 1) ` — Seance no 2 bis : travaux complementaires : le role de ˆ ´ ´ l’exposition theatrale (corpus de textes no 1 : extraits de ´ˆ ´ Moliere, Le Medecin volant ; Alfred Jarry, Ubu roi ; Paul ` Claudel, Le Soulier de satin) ; comparaison entre l’exposition de la piece Harold et Maude et l’incipit du ` roman Harold et Maude 129 NORD COMPO — 03.20.41.40.01 — 125 x 178 — 25-02-09 15:07:01 138933BLT - Flammarion -

done it en Angleterre ) Ex : Agatha Christie ( auteur de roman d'enquete ). Sherlock Holmes de C.Doyle Gaston Leroux invente la série des Rouletabille --> bande dessinée, est à l'origine le développement de la caricature de presse ( Le Canard enchainé en 1917 ). La presse cherche un nouveau public, les enfants. Des 1851, on a le developpement d'une presse pour les enfants. 1889 : Le Petit français, qui a des images comme les bandes dessinés. Le texte figure en dessous de l'images. Il est

France et dominant de l'Europe, Bonaparte, le Premier Consul, devient alors le premier Empereur des Français en 1804, pour être sacré par le pape Pie VII la même année. La gloire de Napoléon est alors à son sommet. Tout au long de son empire, il enchaîne comme avant les conquêtes, les victoires, mais à présent avec encore plus de génie qu'auparavant, affûtant habilement ses stratégies et mettant en place des armées dites plus tard « napoléoniennes », soit très structurées, rangées et organisées.

(Comédie−Française,2006), Les Fourberies de Scapin (Théâtre de Carouge, Genève, 2009) que dans les textes modernes et contemporains avec La Visite de la vieille dame de Friedrich Dürrenmatt (Théâtre du Garage, Genève, 1993 ; Forum de Meyrin, Genève, 2004), Ubu Roi de Jarry (Théâtre du Garage, Genève, 1991), Striptease de Slawomir Mrozek (Ateliers de Sécheron, Genève, 1997), Noces de sang de Garcia Lorca (Comédie de Genève, 1997), Maître Puntila et son valet Matti de Bertolt Brecht (Théâtre Forum Meyrin, Genève

vengeur, la malédiciton pesant sur une lignée (Phèdre). Les grands auteurs tragiques sont à connaître car les auteurs français s’en sont largement inspirés : ESCHYLE (525-456 av JC) : le vrai créateur de la tragédie (Les Perses, L’Orestie, Prométhée enchainé, etc.). Il montre le face à face de l’homme, tenté par la démesure et l’orgueil, et de la fatalité implacable, souvent manifestation de la colère des dieux. SOPHOCLE (495-405 av JC) : un des plus prolifiques (115 pièces, 7 tragédies nous restent