Ubu Roi Denouement

instaurer dans la conscience du spectateur une distance entre sa perception habituelle du quotidien et son regard de spectateur. Le théâtre est ici au service au service d'un projet politique : transformer la réalité. • Inquiéter - Depuis Jarry et Ubu roi en 1895, le théâtre moderne recourt souvent à la provocation. Il ne s'agit plus de délivrer une morale ou un sens mais d'inquiéter, d'ébranler les certitudes du spectateur, en portant sur la scène des questions philosophiques comme chez Sartre (Les

femmes peuvent quant à elles enfin monter sur scène. Enfin, en 1630, le théâtre est reconnu comme un art officiel par Richelieu. Plus tard, dans la dernière partie du siècle, Louis XIV agira en mécène : de nombreuses pièces seront créées à la Cour du Roi. Cependant, le clergé est dans sa majorité hostile au théâtre, et considère que les comédiens doivent être excommuniés.  Dans ce siècle dominé par le classicisme, la distinction entre les genres théâtraux est nette : latragédie et la comédie ont des

traumatisme, la chute de l’humanisme à la sortie de la deuxième guerre mondiale. Ionesco, Adamov, Beckett, Genet, voire Pinter sont parmi les auteurs de ces œuvres qui ont bouleversé les conventions du genre. - Alfred Jarry (1873–1907), Ubu roi. B) Les formes du comique. > Le Comique de mots (Fondé sur les ressources du langage, il recourt au vocabulaire familier ou grossier, aux jeux de mots, aux répétitions ou aux déformations verbales). > Le Comique de Gestes

Qu'est-ce que c'est que cette histoire... » à « Il s'appelle Dieu. » L'Homme qui rit (1968) de « Silence, pairs d'Angleterre » à « horreur de cela » : la satire politique, la figure du tyran *Aristophane, Les Cavaliers, (424 av. JC) *Alfred Jarry, Ubu Roi (1896), III, 2 *A. Camus, Caligula (1945), I,8 *Jean de La Fontaine, « La Chèvre, la génisse et leur sœur la Brebis en société avec le Lion », Fables * Denis Diderot, article « Autorité », in L'Encyclopédie * Montesquieu, Lettres persanes (1721),

question : où commence le théâtre et où s'arrêtent le mime, la danse ? Les conditions de la représentation Impératif de temps Alors qu'un roman dispose d'un temps illimité, le théâtre tient entre 1 et 4 heures. L'action s'y déroule en temps réel (Le Roi se meurt d'Ionesco); ou selon une durée conventionnelle (théâtre classique français : règle des trois unités) ou encore par les ellipses et les flash-back, certaines œuvres présentent une structure enchâssée beaucoup plus complexe. Impératif scénique

implacable, souvent manifestation de la colère des dieux. SOPHOCLE (495-405 av JC) : un des plus prolifiques (115 pièces, 7 tragédies nous restent, toutes empruntées au cycle de Troie (Ajax, Electre, Philoctète) et à celui de Thèbes (Antigone, Œdipe Roi, Œdipe à Colonne). Il accorde dans ses œuvres la première place à la volonté humaine. EURIPIDE (480-406 av JC) : il réduit le rôle du chœur, élargit le cycle des sujets tragiques (23 tétralogies). Nous restent Alceste, Médée, Andromaque, Les Troyennes

Je les mets au lit, et je regarde ce qui va pouvoir en sortir  : un tuberculeux, un névropathe, un artérioscléreux... » La satire psychologique se joint alors à la farce, en raison de l’absence (ou presque) de résistance à son succès. Même le dénouement est présenté sous la forme de bouffonnerie, à travers de nombreux 4Knock effets de mise en scène : « Jusqu’à la fin de la pièce, l’éclairage de la scène prend peu à peu les caractères de la Lumière Médicale qui, comme on le sait, est plus riche

ils ne portent pas de musque avec le lyrisme. La tradition théâtrale de la tyrannie : Energie sauvage, humour morbide. * Néron : De Racine dans Britannicus, qui a inspiré Camus, au début, Néron empereur parfait, après il devient monstre… * UBU Roi : l’un des modes possibles de Caligula 1897/98. Traditions de la sur théâtralité : Dans Caligula, se regroupe deux prototypes : 1- le fou perspicace qui jongle avec des questions existentielles (comme Hamlet, To Be Or Not To Be) . 2- le comédien

Etranger (surtout USA) films - American History X : la haine  - Les autres : l’altérité - Big Fish : le mensonge - le Cercle des poètes disparus : la place de l’art - Chat noir, chat blanc : l’humour Les monstres - le Discours d’un roi : l’importance de la parole - Edward aux mains d’argent : la normalité Le monstre - Inglorious Basterds : la violence - the Island : l’humain, l’être humain - Kill Bill I et II : le mélange des genres La féminité - Pulp fiction : le

et accepte de pardonner à la duchesse, mais, retardé malgré lui par une conférence, il manque le rendez-vous. La duchesse de Langeais, qui se croit délaissée par son amant, disparait du monde et demeure introuvable. CHAPITRE 4 – DIEU FAIT LES DÉNOUEMENTS L’histoire reprend en 1823, à la suite de l’entretien entre Montriveau et la duchesse, devenue sœur Thérèse. Le général a su lire toute l’émotion qui paraissait sur le visage de son ancienne maitresse et ne peut accepter qu’elle sacrifie leur amour