Ultima Verba Je Ne Fléchirai Pas A Je Serai Celui La

Ultima verba « Les chatiments » V Hugo 10 ans plus tard « fonction du poete » Ecrit un an apres coup d’Etat de Napoleon III Il estg est devenu poete engagé qui critiqe le pouvoir en place jusqu'au vers 21 il nya qu’une seule et meme phrase. Jusque la bcp « tant que » et « quand meme » Proposition principale stoppe la phrase a la ligne 1 : « je ne fléchirai pas » il ne cédera pas quelque soit ce qu’on lui « fait subir ». Détérminé Metaphores qui montrent que Napoléon ne respecte rien, gradation

XVII ULTIMA VERBA 1 La conscience humaine est morte ; dans l’orgie, 2 Sur elle il s’accroupit ; ce cadavre lui plaît ; 3 Par moments, gai, vainqueur, la prunelle rougie, 4 Il se retourne et donne à la morte un soufflet. 5 La prostitution du juge est la ressource. 6 Les prêtres font frémir l’honnête homme éperdu ; 7 Dans le champ

Introduction « Ultima verba » est un poème extrait des châtiments de Victor Hugo et comme signifie son titre, « dernières paroles » ce poème se situe à la fin du livre 7. Lorsque Victor Hugo écrit ce poème, une amnistie était proposée aux exilés qui feraient acte de soumission envers Napoléon III. Ce texte a donc une double destination , Louis Napoléon mais aussi tous les autres bannis. Nous allons premièrement étudier les accusations portées par Victor Hugo sur les différents destinataires

lutte contre le Second Empire imposé par NIII. « Ultima Verba » = « derniers mots » en FR, et pour cause, c’est le poème qui clos le dernier livre du recueil, juste avant le poème terminal LUX. Composé de 16 quatrains en Alexandrins, versifié en rimes croisées. Pbq : En quoi ce poème est-il atemporel ? I. Au passé : Discréditation de l’Empire II. Au présent : L’Exil comme Résistance III. Au futur : Le pouvoir des Mots I. A) Au passé : Par analogie Historique - NIII comparé

N°1 : Montaigne, Essais, Livre II, Chapitre 30, « D’un enfant monstrueux »  Je vis avant hier un enfant que deux hommes et une nourrisse, qui se disoient estre le pere, l'oncle, et la tante, conduisoient, pour tirer quelque soul de le monstrer, à cause de son estrangeté. Il estoit en tout le reste d'une forme commune, et se soustenoit sur ses pieds, marchoit et gasouilloit, environ comme les autres de mesme aage : il n'avoit encore voulu prendre autre nourriture, que du tetin de sa nourrisse : et

genre de héros Qui soient plus à priser que les parfaits dévots, Aucune chose au monde et plus noble et plus belle Que la sainte ferveur d’un véritable zèle, Aussi ne vois-je rien qui soit plus odieux 360Que le dehors plâtré d’un zèle spécieux, Que ces francs charlatans, que ces dévots de place De qui la sacrilège et trompeuse grimace Abuse impunément et se joue, à leur gré De ce qu’ont les mortels de plus saint et sacré ; 365Ces gens qui, par une âme à l’intérêt soumise, Font de dévotion

Ultima verba Je ne fléchirai pas ! Sans plainte dans la bouche, Calme, le deuil au coeur, dédaignant le troupeau, Je vous embrasserai dans mon exil farouche, Patrie, ô mon autel ! Liberté, mon drapeau ! Mes nobles compagnons, je garde votre culte ; Bannis, la République est là qui nous unit. J'attacherai la gloire à tout ce qu'on insulte ; Je jetterai l'opprobre à tout ce qu'on bénit! Je serai, sous le sac de cendre qui me couvre, La voix qui dit : malheur ! la bouche qui dit : non

Janvier 2001 Les châtiments Victor HUGO Préface de 1853 Il a été publié à Bruxelles une édition tronquée de ce livre, précédée des lignes que voici : « Le faux serment est un crime. » Le guet-apens est un crime. » La séquestration arbitraire est un crime. » La subornation de fonctionnaires publics est un crime. » La subornation de juges est un crime. » Le vol est un crime. » Le meurtre est un crime. » Ce sera un des plus douloureux étonnements de l'avenir que, dans de nobles pays qui, au

2011, SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d’un

SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. ½¼ ½ ¾¼ J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec