Un Acte Peut Il Etre Inhumain

Séance 1 - Horace et Curiace : Acte II scène 1 à 3 Situation de départ Curiace félicite Horace pour le choix que Rome a fait de lui confier le combat. Acte II scène 1 Problématique : quelles personnalités d’H et de C cette scène nous donne-t-elle à lire ? Axe 1 : La personnalité de Curiace  Quels sentiments éprouve Curiace ?  sa famille est mêlée  il craint pour Albe et pour lui-même  il se plaint, ne va pas vers l’avant 1.1. Sentiments mêlés de Curiace Antithèse

qu’à la fin du XIXe siècle que le terme a pris le sens de procurer une mort douce en mettant fin délibérément à la vie| |du malade. On pense que l'euthanasie se pratique en secret dans toutes les sociétés, y compris dans celles qui considèrent cet | |acte comme immoral ou illégal. | |

lliot-Marie dérape Dans une interview à paraître demain dans le Figaro Magazine, le ministre de la Justice et des Libertés affirme que « la castration PHYSIQUE » des délinquants sexuels « mérite une analyse » et qu’elle peut « être débattue, y compris au Parlement ». Prenant acte de cet hommage au Moyen Age, le Syndicat de la magistrature suggère une simplification de l’échelle des peines : - l’amputation de la main pour les voleurs et de l’autre main pour les voleurs récidivistes (dans le respect

Peut on radicalement séparer la moralité de la sensibilité ? Moralité : vient de la morale fait d'être moral. , les barrières personnelles que l'on pose pour contenir nos comportements. Penser que les règles que l'on suit sont bonnes, reposants sur des valeurs aux quelles on croit. Morale donne du sens a la vie. Agir moralement, c'est agir selon le bien. >pour voltaire la morale se trouve dans le cœur des hommes. La morale est la même chez tous les hommes qui font usage de leur raison. La

OBJET D'ETUDE: LE THEATRE : TEXTE ET REPRESENTATION. Le corpus que nous allons étudier est composé de trois textes appartenant au genre du théâtre. La scène 5 de l'acte I d'Amphitryon 38 , de Jean Giraudoux ainsi que acte II du tableau II, Rhinocéros, de Eugène Ionesco sont toute deux des pièces de théâtre écrites au XXème siècle. De plus dans ces extraits le processus de transformation des personnages est rendu compte par des dialogues: dans le texte A nous assistons aux préparatifs de Jupiter

La peine de mort Peut-on venger le crime illégal par la mort légal? La société a-t-elle le droit de condamner à mort celui qui transgresse les lois et qui porte atteinte à son prochain ? Pendant des siècles la peine de mort était tout ce qu'il y a de plus normal dans les mœurs, elle était même un divertissement au temps de la royauté. Il a fallu les excès de celle-ci pour que la question de son abolition ce pose. La peine de mort est le jugement le plus sévère dans la justice 

Jean Racine, Britannicus (1669) Molière, Les fourberies de Scapin (1671) Molière, Les femmes savantes (1672) 1°)Dans les trois scènes, nous sommes au tout début de la pièce. C'est a dire la scène première du premier acte. Jean Racine, Britannicus, acte I, scène 1 (1669) Dans la première scène, le texte A, Racine identifie quatre personnages, deux femmes et deux hommes, cependant, seulement les deux femmes sont actives et forment la conversation. Cette situation se déroule à Rome dans une

l’occupant. Même l’athée le plus farouche peut être révolté par la mort ainsi donnée et le choix de la date qui est une injure à toutes les spiritualités, religieuses ou laïques. Ce choix est une signature barbare qui restera l’acte signifiant le plus odieux de cette invasion-occupation-destruction d’une terre et d’un peuple qui n’aspire qu’a la paix et devait commémorer ce même jour, une des plus belles pages de la pensée universelle, l’Aïd… Par cet acte et par ce choix a été signifié très exactement

dans les bras du drame. « Médée: ce nom fait surgir en nous des images multiples et contradictoires ; celle de la femme trahie par l'homme auquel elle avait tout sacrifié, mais aussi celle de la sorcière capable de tuer ses propres enfants ; un être inhumain pourtant torturé par les émotions les plus humaines ; la haine et l'amour portés à leur comble. Ce qui fascine en elle, c'est son ignorance absolue du médiocre, cette nécessité de franchir en tout domaine les bornes du connu, cette dimension superlative

de son père. Est-ce un acte que l'on peut considérer comme bien, comme un acte d'amour? À-t-il agi par devoir envers sa fille suite à un choix rationnel concernant la dignité humaine, alors que celle-ci vivait dans la douleur et l'inaptitude déchirante de s'occuper d'elle-même ? Comme justification à son acte, le père invoque la compassion qu'il ressentait envers sa fille. Mais désirait-elle la mort? À-t-il agi d'après ses propres convictions, pensant que ce serait inhumain de laisser sa fille vivre