Un Brillant Avenir

s’opposent En dépit des difficultés qui s’interposent Les études sont avant tout Notre unique et seul atout Ils représentent la lumière de notre existence L’étoile brillante de notre réjouissance Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal Nous partons ivres d’un rêve héroïque et brutal Espérant des lendemains épiques Un avenir glorieux et magique Souhaitant que le fruit de nos efforts fournis Jour et nuit, nous mènera vers le bonheur fleuri Aujourd’hui, ici rassemblés auprès des jurys

Prenons un exemple banal du vécu, de notre expérience en Afrique plus précisément au Nigéria : Un jeune homme après plusieurs années d’étude, devient un brillant magistrat et deux ans plus tard à cause des pratiques ancestrales et du décès de son père chef de son village est appelé à le remplacer malgré sa classe sociale, sa brillante carrière. Certains diront que c’est le destin forcément. Est- ce- réellement son destin de devenir le chef du village ? Dans ce cas il n’aura pas besoin de faire

Herbert George Wells La Machine à explorer le temps Texte 1 L’OBJET que l’Explorateur du Temps tenait à la main était une espèce de mécanique en métal brillant, à peine plus grande qu’une petite horloge, et très délicatement faite. Certaines parties étaient en ivoire, d’autres en une substance cristalline et transparente. Il me faut tâcher maintenant d’être extrêmement précis, car ce qui suit – à moins d’accepter sans discussion les théories de l’Explorateur du Temps – est une chose absolument

vas regretter de m'avoir fait castrer ! Tel père tel fils Un vieil homme est sur son lit de mort. A son chevet: sa femme. Au pied du lit: ses 4 fils; 3 grands gaillards, sportifs, doués, impliqués dans des carrières promises à un brillant avenir, et le quatrième, petit, maigrichon, un peu bête, voire très con. Dans un dernier souffle, le vieillard attire l'oreille de son épouse: "Ma très chère femme... j'ai une dernière question pour toi... et je veux que tu me répondes... honnêtement

dominant le village. Elle est contre ce mariage et cherche à nuire à Paule. Cela fait référence à la révolution de 1789 où bourgeoisie et noblesse se combattirent. Quant à Robert Bordas l’instituteur, issu du peuple, grâce à ses brillantes études il souhaite un avenir différent de celui d’instituteur de Cernès. Soucieux d’incarner les idées socialistes et laïques, il ne peut voir Paule autrement que comme une baronne représentant une noblesse. Il refuse de s’occuper de Guillaume le fils de Paule

restauration de la monarchie ne fait rêver personne et encore moins la jeunesse française qui idéalise les grandes figures politiques ayant existées auparavant : c’est le culte des grands hommes. Le romantisme est en quelque sorte une révolte contre un avenir qui ne promet plus rien. Cette jeunesse éprouve un mal du siècle et fuit ce sentiment de solitude et d’incompréhension dans les arts. Elle se tourne vers elle même, vers ses états d’âmes, ses rêves etc… C’est le culte du « moi ». Les romantiques

Anderson et Neil Perry. Todd est réservé, vit dans l’ombre du brillant parcours de son frère aîné et ne trouve pas sa place dans la vie. Neil n’a pas le droit à l’erreur. Son père autoritaire n’accepte de lui aucun écart, son destin est déjà tout tracé. Mais que vise Keating? Transmettre l’idée de rupture dans le quotidien ! Grâce à cela Todd va prendre confiance en lui tandis que Neil, va préférer mourir plutôt que de se soumettre à un avenir qui ne lui convient pas. Nous découvrons alors une leçon

roman Les Misérables a été écrit en 1862 par Victor Hugo, écrivain français très engagé dans la lutte pour une meilleure condition du peuple. Dans cet extrait, il s’attarde sur le cas de Fantine, femme du peuple qui se bat pour subsister et assurer un avenir à sa fille. Nous allons nous demander comment, à travers ce personnage féminin, l’auteur dénonce le sort des femmes du peuple au XIXe siècle. Il nous décrit tout d’abord la déchéance de Fantine puis se pose en juge de la société, responsable, selon

propre autodestruction. Faust signe le pacte, persuadé que la fin de l'humanité est évitable et que les êtres humains feront un bon usage des nouvelles connaissances scientifiques à leur disposition. Pourtant, Faust laissera l'humanité décider de son avenir dans une phrase aux accents dramatiques : « Si les hommes ne sont pas capables de relever le défi du savoir, si la seule entrave à leurs instincts les plus vils est l'ignorance, ils méritent le destin qu'ils se forgeront. Je m'en lave les mains. »

mai 1856 à Freiberg en Moravie. Troisième fils de Jakob Freud, modeste négociant, il est le premier enfant de son dernier mariage. Après quelques déménagements, la famille Freud s'installe dans le quartier juif de Vienne, ancien ghetto de la ville. Brillant élève, premier de sa classe pendant ses sept dernières années de scolarité (collège et lycée), il hésite quant aux études qu'il doit faire entre le droit, la médecine et la philosophie. Ayant choisi la médecine, il mettra du temps à terminer ses