Un Chant écarlate

religieuses. Dès sa sortie, il connaît un grand succès tant critique que public, et obtient le Prix Noma lors de la Foire du livre de Francfort en 1980[1]. Elle meurt peu de temps plus tard d’un cancer et avant la sortie de son deuxième roman, Un chant écarlate, racontant l'échec d'un mariage mixte entre un Sénégalais et une Française, du fait de l'égoïsme de l'époux et des différences culturelles[1]. Un Lycée de Dakar (la Maison d’éducation Mariama Bâ) porte son nom. Primordialement, ses œuvres

religieuses. Dès sa sortie, il connaît un grand succès tant critique que public, et obtient le Prix Normal lors de laFoire du livre de Francfort en 1980[] Elle meurt peu de temps plus tard d’un cancer et avant la sortie de son deuxième roman, Un chant écarlate, racontant l'échec d'un mariage mixte entre unSénégalais et une Française, du fait de l'égoïsme de l'époux et des différences culturelles[1]. Un Lycée de Dakar (la Maison d’éducation Mariama Bâ) porte son nom. Primordialement, ses œuvres reflètent

rendre par le rythme et les sonorités les phénomènes décrits avec l’allitération en « f » (« sifflent », « infini » v.2; « feu », « folie »v. 4-5 ; « frais », « fumant » v.6) et l’ allitération en « R » (« crachats rouges », « mitraille » v.1 ; « écarlate », « vert », « roi », « raille » v. 3 ; « croulent », « broie », v. 4-5) reproduisent les sonorités de bombardements, qui se mêlent aux cris des soldats avec l’assonance en « a ». De même, les nombreuses monosyllabe (« siffle tous le jour par l’infini

religieuses. Dès sa sortie, il connaît un grand succès tant critique que public, et obtient le Prix Noma lors de la Foire du livre de Francfort en 19801. Elle meurt peu de temps plus tard d’un cancer et avant la sortie de son deuxième roman, Un chant écarlate, racontant l'échec d'un mariage mixte entre un Sénégalais et une Française, du fait de l'égoïsme de l'époux et des différences culturelles1. Un Lycée de Dakar (la Maison d’éducation Mariama Bâ) porte son nom. Primordialement, ses œuvres

entonne a cappella les grands airs de l’opéra italien, le music-hall est un lieu magique. Comment ne serions-nous pas émus, voire bouleversés, par les films sépia, usés d’avoir été trop diffusés, où nous voyons Edith Piaf, les Beatles ou Oum Kalsoum chanter des refrains qui ont déchaîné les vivats et les hourras des foules ? Ils ne sont pas démodés puisque ce sont sont toujours des rengaines, des scies. Les adolescents savent-ils qu’on peut préserver son visage des redoutées acnés par l’écoute des vieux

Dans les chemises en dentelle De ton grand papa Refrain (2 fois) Tant que chante la colombe Par dessus le toit Danse avant que la nuit tombe Jolie Pétrouchka Pétrouchka ne pleure pas Mets ton grand fichu de laine Viens avec nous dans la plaine Ton petit chat reviendra Il fait quatre galipettes Se déguise en marionnette Dès que tu t'en vas Pétrouchka ne pleure pas Puisqu'il aime la musique Chante lui cet air magique Ton petit chat reviendra Il nous dansera peut-être Sur le

tant critique que public, et obtient le Prix Noma lors de la Foire du livre de Francfort en 19801. B-Bibliographie Une si longue lettre Roman 1979 - Le Serpent à Plumes. La Fonction politique des littératures africaines écrites - 1981. Le Chant écarlate - Roman - 1981. II-Contenu A-Idée Général L'auteur fait parler une femme du Sénégal, Ramatoulaye Fall qui écrit à une amie de jeunesse, Aïssatou Ba. A travers le quotidien qu'elle lui conte, c'est toute l'existence des femmes africaines qui

écriture adolescente puisque les alexandrins ne présentent pas une telle coupe au sein d’un vers. La déshumanisation des hommes apparaît au vers suivant avec la référence aux couleurs « écarlates ou verts » puisqu’il s’agit ici d’une synecdoque désignant la couleur des uniformes des armées. De plus l’adjectif « écarlate » renvoie au rouge évoqué précédemment et renforce la violence de la guerre. L’apparition du « Roi qui les raille » dans le second hémistiche met en valeur l’indifférence du pouvoir politique

( tas fumant ). L’hyperbole est l’autre figure de style : elle sert à accentuer l’image destructrice de la guerre, Elle montre la longueur de la bataille : « tout le jour », et la taille du champ de bataille : « par l’infini du ciel bleu ». («écarlates ou verts») désignent les deux uniformes des armées qui s’affrontent. La versification joue aussi son rôle. La rime «mitraille / raille» correspond à la dénonciation du mépris du roi pour ses hommes. Le Roi fais comme dieu il se moque des hommes

palais. Il faut établir la brillante façade d’un ouvrage commençant. S’il était vainqueur aux Jeux Olympiques, maitre pour l’autel prophétique de Zeus à Pise, fondateur de l’illustre Syracuse, quel hymne cet homme fuirait-il , lui qui jouit dans les chants charmant de villes non jalouse ? En effet, que le fils de Sostrate sache que dans cette chaussure il a un pied divin. Les vertus sans danger ne sont honorables ni auprès des hommes ni auprès des navires creux. Beaucoup de gens se souviennent si