Un cœur invaincu

THISBE : L’instant où je suis sans toi, je ne suis plus moi-même. DON JUAN : Pour de pareils propos, je ne t’accorderai aucun crédit. THISBE : Pourquoi ? DON JUAN : Parce que si tu m’aimais, tes faveurs combleraient mon cœur. THISBE : Je suis tienne DON JUAN : Alors, qu’attends-tu ? Qu’est-ce qui te retiens, ma dame ? THISBE : Je pense que l’amour en toi m’a réservé son châtiment. DON JUAN : Si je peux vivre dans ta chair, mon bien, à n’importe

jeune bergère du nom de Thisbé. THISBE : L’instant où je suis sans toi, je ne suis plus moi-même. DON JUAN : Pour de pareils propos, je ne t’accorderai aucun crédit. THISBE : Pourquoi ? DON JUAN : Parce que si tu m’aimais, tes faveurs combleraient mon cœur. THISBE : Je suis tienne DON JUAN : Alors, qu’attends-tu ? Qu’est-ce qui te retiens, ma dame ? THISBE : Je pense que l’amour en toi m’a réservé son châtiment. DON JUAN : Si je peux vivre dans ta chair, mon bien, à n’importe quoi je m’engage. Même

pensée. Expression courte frappante et créative comme dans l’exemple suivant : « Paris a froid, Paris a faim. » (Éluard) Le contenu pour le contenant, ou l’inverse => « Boire une bonne bouteille. », « La salle a applaudi » « Rodrigue, as-tu du cœur ? » (Corneille) L’effet pour la cause ou l’inverse => « Contempler un matisse. » Le lieu d’origine pour l’objet ou la personne => « Du champagne » (du vin de Champagne) L’abstrait pour le concret, ou l’inverse => « Ce pin où tes honneurs

L’appareil psychique est la mécanique de l’âme Dont l’énergie est au cœur de la conscience Qui s’installe comme une fenêtre amnésique S’ouvrant du grenier d’un cerveau intendant Où se conservent ses costumes inconscients Qui ne se manifestent qu’à l’appel successif Des états d’âme qui portent pour un temps Une conscience se jouant du rôle de facette 18/ Qui a baigné dans l’amour d’une mère Peut braver la vie et soutenir l’enfer Car son cœur forgé dans les cris de sa mère N’a jamais goûté que le sel de

dans la construction des interrogations (« M’aimes-tu ? », « Quand vient-il ? »), elle est très courante en poésie. Les raisons en sont souvent rythmiques et, dans les meilleurs des textes, signifiantes : « C’est peut-être la seule au monde / Dont le cœur au mien répondrait » (Nerval, une allée du Luxembourg ) ; ici, l’inversion COI-verbe permet le rapprochement souhaité des deux cœurs. Certaines inversions sont prévues par la langue elle-même surtout pour

renom et des piliers du Vovinam, on peut compter : maîtres Lê Công Danh, Trân Van Be, Trân Huy Quyên, Nguyên Van Thông, Nguyên Van Trung, Nguyên Xuân Ngoc, Pham Van Sinh… ainsi que d'anciens pratiquants qui n'ont jamais cessé de participer de tout coeur aux activités du Vovinam : Nguyên Van Hoan, Duong Hoanh San, Phung Manh Tâm… FORMATION DE CADRES Egalement à cette époque, un nombre d'élèves qui avaient déjà pratiqué avant 1960 et atteint un niveau moyen sont réunis par maître TRAN HUY PHONG qui

ans de prison pour avoir volé un pain et tenté de nombreuses fois de s'évader, Jean Valjean est libéré. Arrivé à Digne son statut de prisonnier lui empêche de trouver un logement. Mais Mgr Myriel, l'évêque du village, le loge et le nourrit avec bon cœur. Jean Valjean manque d'argent. Il s'enfuit la nuit en volant les couverts en argents avec lesquels il a mangé le soir même. La police l'arrête à nouveau et le conduit chez l’évêque. Celui-ci le pardonne, parvient même à le défendre et l'engage à faire

la plus exhaustive possible, l’ensemble des figures concernées. Niveau Nom Description Exemple répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière

Niveau |Nom |Description |Exemple | | |répétition |[graphique] lafigure |répétition consistant à utiliser deux mots dans|« Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » | | |dérivative |une même phrase ayant la même racine |— Corneille, Le Cid | | |[rythmique] l'isocolie |[Stylistique]

répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. » — Chateaubriand, Mémoires d'Outre-tombe, 1re partie