Un cœur invaincu

estre blessée. (Philieul de Carpentras, Laure d’Avignon, 1548). * Solo e pensoso: Solitaire et pensif j’irai sur les chemins, Sous le ciel sans chaleur que la joie abandonne Et, le coeur plein d’amour, je prendrai dans mes mains Au pied des peupliers les feuilles de l’automne. J’écouterai la brise et les cris des oiseaux Qui volent par les champs où déjà la nuit

force à former un malheur Pour mieux se mesurer avec notre valeur." (v. 431-434) " Pour oser aspirer à tant de renommée "(v. 452) Un désir inépuisable de s'affirmer sur autrui découle d'un désir de puissance. Horace guerrier tout puissant, invaincu, conjugue gloire avec honneur et va même jusqu'à assimiler ces deux valeurs. Serge Doubrowski affirme même : "Ce qu'Horace découvre et tente de faire comprendre à Curiace c'est qu'(...) il s'agit de se faire reconnaître supérieur, de remplacer

liberté de se montrer au jour.  Que t'a-t-il répondu sur la secrète brigue  Que font auprès de toi don Sanche et don Rodrigue ?  N'as-tu point trop fait voir quelle inégalité  Entre ces deux amants me penche d'un côté ?    ELVIRE  Non, j'ai peint votre coeur dans une indifférence  Qui n'enfle d'aucun d'eux ni détruit l'espérance,  Et sans les voir d'un oeil trop sévère ou trop doux,  Attends l'ordre d'un père à choisir un époux.  Ce respect l'a ravi, sa bouche et son visage  M'en ont donné sur l'heure

ce fils si maltraité ? Pridamant Oracle de nos jours, qui connais toutes choses, En vain de ma douleur je cacherais les causes ; Tu sais trop quelle fut mon injuste rigueur, Et vois trop clairement les secrets de mon cœur. Il est vrai, j’ai failli ; mais pour mes injustices Tant de travaux en vain sont d’assez grands supplices : Donne enfin quelque borne à mes regrets cuisants, Rends-moi l’unique appui de mes débiles ans. Je le tiendrai

liberté de se montrer au jour.  Que t'a-t-il répondu sur la secrète brigue  Que font auprès de toi don Sanche et don Rodrigue ?  N'as-tu point trop fait voir quelle inégalité  Entre ces deux amants me penche d'un côté ?    ELVIRE  Non, j'ai peint votre coeur dans une indifférence  Qui n'enfle d'aucun d'eux ni détruit l'espérance,  Et sans les voir d'un oeil trop sévère ou trop doux,  Attends l'ordre d'un père à choisir un époux.  Ce respect l'a ravi, sa bouche et son visage  M'en ont donné sur l'heure

Cet aspect créatif doit être complété par une explication de la démarche : vous devez expliquer en quoi cela rend compte de manière la plus complète possible de votre lecture. Présenter sous la forme d’un texte théâtral une œuvre un texte choisi au cœur des œuvres. ( présentation à deux personnes possible…) vous rédigez un texte théâtral ( dialogue monologue…) qui rend compte de votre opinion au sujet de la lecture que vous avez menée. Après avoir avancé dans la lecture du texte intégral écrit par

cherches en tous lieux ce fils si maltraité ? Pridamant Oracle de nos jours, qui connais toutes choses, En vain de ma douleur je cacherais les causes ; Tu sais trop quelle fut mon injuste rigueur, – 15 – Et vois trop clairement les secrets de mon cœur. Il est vrai, j’ai failli ; mais pour mes injustices Tant de travaux en vain sont d’assez grands supplices : Donne enfin quelque borne à mes regrets cuisants, Rends-moi l’unique appui de mes débiles ans. Je le tiendrai rendu si j’en ai des nouvelles

cherches en tous lieux ce fils si maltraité ? PRIDAMANT. Oracle de nos jours, qui connais toutes choses, En vain de ma douleur je cacherais les causes ; Tu sais trop quelle fut mon injuste rigueur, Et vois trop clairement les secrets de mon coeur. Il est vrai, j'ai failli ; mais pour mes injustices Tant de travaux en vain sont d'assez grands supplices : Donne enfin quelque borne à mes regrets cuisants, Rends−moi l'unique appui de mes débiles ans. Je le tiendrai rendu si j'en ai des nouvelles

Liverpool est accepté par la Football League avec Woolwich Arsenal, devenu depuis le Arsenal Football Club. Malcolm McVean marque le premier but du club en championnat lors d'une victoire 2-0 contre Middlesbrough Ironopolis[4] et le club finit la saison invaincu et champion de la seconde division, gagnant un match d'essai contre Newton Heath (bientôt renommé Manchester United) et est promu en première division[4]. La première saison de Liverpool dans l'élite, en 1884-1885, est un échec. L'équipe termine

battant Robin Söderling en finale (6-4, 6-2, 6-4), l'Espagnol remporte son 5e Roland-Garros, redevient n°1 mondial et réalise un Grand Chelem rouge inédit (victoire aux trois Masters 1000 sur terre battue et à Roland-Garros la même année). Il est ainsi invaincu sur cette surface en 2010, ne perdant que 2 sets en 22 matches disputés. Nadal remporte deux semaines plus tard Wimbledon en battant Tomáš Berdych en finale (6-3, 7-5, 6-4). Il gagne là son 2e Wimbledon consécutif (2008, 2010) et réalise le 2e