Un Etre Conscient Est Il Nécessairement Un être Libre

Descartes, « Je suis, j’existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit ». Quand je pense je ne peux pas douter que je pense et que je suis. Il suffit de penser et de se penser pour réaliser l’existence du sujet pensant. Le fait de penser, d’avoir des idées et une conscience prouve que moi, sujet pensant, j'existe. Par conséquent, la seule certitude est que j’existe et que je suis conscient. Si je suis conscient alors j’existe, or l’inconscient

des plus illusoires. Faire son devoir librement est un exercice de sa liberté, la désobéissance est une forme d’esclavage. Cependant, l’obéissance ne peut-être pratiquée par un individu seul. L’obéissance suppose un ordre, émanant d’une autorité, et une durée. Toute obéissance n’est pas bonne, et celui qui obéit n’est pas nécessairement libre. Introduction La liberté est chérie des poètes, qui écrivent son nom sur des pages tremblantes, des sculpteurs, qui l’érigent illuminant le monde

Est-on toujours conscient et responsable de nos actes ? Le sujet présuppose qu’en effet le moi est maître de son corps et de son esprit. En effet d’une part, avoir des pensées propres à soi-même traduit notre liberté mais d’autre part quels sont les cas où l’inconscient prime sur la conscience. Néanmoins être responsable consiste aussi à reconnaître en « Moi » ce qui échappe à l’emprise de notre volonté. Afin de problématiser le sujet nous devons en définir les termes, « moi » est un personne en

« Est-il nécessairement utile de faire son devoir ? » On estime qu’un devoir est un acte que nous sommes obligés d’accomplir. Le devoir désigne ce qui doit être fait, il renvoie donc à l’obligation morale, qui est interne au sujet et qu’il faut distinguer de la contrainte qui est une obligation juridique, externe au sujet. L’obligation renvoie elle-même à la morale et au choix libre. On peut choisir de ne pas remplir ses obligations, dans ce cas notre responsabilité est engagée. En revanche

Remillat Axel Terminale G3Remillat Axel Terminale G3 Ce texte de Jean-Paul Sartre est extrait de « L' Etre et le Néant » publié en 1943. En écrivant durant la guerre qui révèle combien nous sommes peu de choses l’auteur cherche à répondre à la question « qu'est-ce que l'être ? ». Cela amène Sartre à s'intéresser à la conscience, au néant, à autrui, à la liberté mais aussi à des comportements comme la mauvaise foi ou la honte. Avec la psychanalyse existentielle

Dissertation « La conscience de soi rend-elle libre ? »  Conscience vient du latinconscientia qui est formé de cum qui signifie « avec », et de scientia pour « science ». Être conscient lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir tous les degrés de clarté, depuis le sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme un

Sommes-nous responsables de nos désirs ? Etre raisonnable, est-ce renoncer à ses désirs ? Désirer et vouloir sont-ils synonymes ? ( propositions de solutions, voir page suivante ) L'homme ne désire-t-il que ce dont il a besoin ? Reformulation : l'objet vers lequel tend consciemment l'être humain et qu'il se représente comme source de satisfaction est-il uniquement ce qui lui est nécessaire, ce que réclame sa nature et ce dont le manque doit être impérativement comblé ? Faut-il identifier

Avant toute considération plus approfondie, il faut simplement rappeler que l’ignorance n’est rien de plus que l’absence de connaissance. Si on s’en tient là, on peut effectivement prétexter l’ignorance pour ne pas être jugé responsable des actes dont l’issue nous surprend, aussi dramatiques soient-ils. Par définition, on ne peut définir comme volontaires des conséquences dont on n’avait absolument aucune idée. Par exemple, en Mars 1977, sur l’aéroport de Ténérife, un Boeing 747 en plein décollage

télévision, à la maison, voire dans un cours. Pensées toutes faites qu’il ne vous viendrait plus à l’idée d’interroger, ne serait-ce qu’un bref instant. Nous proposons donc un dialogue, échange entre Victor et son amie philosophe, dialogue censé être celui de l’élève avec lui-même. C’est l’outil avec lequel, en même temps que Victor, vous pourrez vous entraîner à philosopher. Victor doit apprendre à s’interroger, pour penser par lui-même ; il doit installer en sa propre démarche le réflexe

prenne un acte volontaire, par exemple un mensonge de nature maligne par lequel un homme a introduit un certain désordre dans la société ; qu’on recherche d’abord les causes déterminantes d’où il est sorti et que l’on juge ensuite comment il lui peut être imputé avec toutes ses conséquences. Sous le premier point de vue, on pénètre le caractère empirique de cet homme jusque dans ses sources, que l’on recherche dans la mauvaise éducation, dans une détestable société, en partie aussi dans la méchanceté