Un Heros Qui Fait Rever Le Lecteur

En quoi l’évocation d’un monde très éloigné du sien permetelle de faire réfléchir le lecteur sur la réalité qui l’entoure ? Vous développerez votre argumentation en vous appuyant sur les textes du corpus, les œuvres que vous avez étudiées en classe et celles que vous avez lues. Pistes d’introduction : -Le roman qui suscite beaucoup l’imagination est souvent limité à cette seule fonction : distraire le lecteur et le faisant voyager. Mais ne dit-on pas des voyages qu’ils forment la jeunesse

occidentale. Bien que vivant pendant la période de l'Antiquité, ses deux œuvres L'Illiade et L'Odyssée (IX – VIII siècle av. J-C) sont au fondement du genre romanesque. L'Odyssée conte le retour du rusé Ulysse, héros de la guerre de Troie, dans sa patrie : Ithaque. C'est également un récit qui nous fait voyager aux confins du monde et qui nous montre un homme affrontant des personnages monstrueux mais aussi des peuples de légendes. Comment le thème du voyage est-il introduit dan l'œuvre, et quelle est

,lui n’arrive pas à percer comme ses amis qui ne comprennent pas son art, il est incompris également du public.C’est un texte fidèle à la réputation de l’auteur, naturaliste, qui est écrit a la 1ere personne car c’est une focalisation interne. Le héros est donc aussi le narrateur. « Quelles sont les différentes fonctions de le description dans ce texte ? » Nous pouvons en distinguer trois : • La fonction géographique. • La fonction naturaliste. • La fonction esthétique. La

France, Stendhal a vécu des moments similaires à ceux que vit son héros. Julien Sorel, jeune homme ambitieux qui désire ardemment quitter son milieu social. Ce roman centré autour du personnage de Julien et critiquer part Michel Crouzet qui porte ce jugement sur le personnage de Julien Sorel : « Héros déplaisant, en tout cas, aux limites de l'insupportable, héros quand même, dans la mesure où il se libère de lui même, et devient un héros de roman, et accède à une générosité ou une magnanimité qui ne

pourrait être Cythère : île grecque où se trouve le sanctuaire d’Aphrodite, déesse de la beauté et de l’amour) et des rencontres amoureuses. Verlaine nous dépeint cette atmosphère propice à la séduction, une ambiance indécise et lunaire. L'embarquement se fait dans le soir crépusculaire modestement éclairé par « l'étoile du berger » (v.1). Les lieux sont obscurs « l’eau plus noire » (v.2) comme un sinistre présage. Le mot « tremblote » (v.1) est l’image de l’équivoque, de l’imprécision, de l’indécision du

est donc un lourd fardeau puisqu’il doit réussir à captiver les lecteurs tout en leur offrant un ouvrage qui les intéresse, les émeut ou les fait voyager. Pour ce faire différent procédés existent et les avis sont divisé. Certains pensent que le but de l’auteur est avant tout de relater des faits réels et de raconter la vie telle que nous la connaissons et d’autres trouvent que les écrivains ont pour but de faire voyager leurs lecteurs, leur fournissant ainsi dans leurs écrits une sorte d’échappatoire

point de roman » (Anthony Burgess). « Un roman, c’est un miroir que l’on promène le long d’un chemin » (Stendhal). Certes, il y a une différence entre personnage et personne : l’un renvoie à la création littéraire, l’autre au réel. Mais quand le lecteur est plongé dans un roman, il arrive souvent que, pour lui, les personnages deviennent personnes et reflètent, comme un vrai miroir, l’image de la société dans laquelle il vit. • La seule fonction du personnage de roman est-elle, dès lors, de refléter

une pièce de l'indécision et de l'interrogation. Le héros éponyme, étant face à une situation insoutenable, se livre à de multiples monologues tout au long de la pièce afin de faire connaître au lecteur-spectateur ses sentiments et ses décisions. Il faut dire qu'il a appris que son père – venu l'informer sous la forme d'un spectre – avait été assassiné par son oncle qui, deux mois après ce meurtre, a épousé la reine, la veuve de sa victime. Le héros vit donc une situation très difficile. Il a promis

représentant de la philosophie des Lumières qui combattait en faveur de la vérité et de la raison, publie de manière anonyme Candide, dans lequel il dénigre la théorie optimiste de Leibniz, philosophe Allemand. Pour cela, Voltaire met en scène un héros éponyme ayant reçu un enseignement optimiste qui, au fur et à mesure de ses aventures, découvre le mal sous toutes ses formes. Candide prend alors conscience que tout n'est pas pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Or dans ce passage

l'intimité d'un face-à-face avec un roman, le lecteur souscrit à un projet : celui d'être amené à s'émouvoir, à verser une larme, à rire seul, à s'apitoyer, à s'indigner, à s'enthousiasmer ou à s'endormir.  Bref, s'il y a des tas de choses que l'on ne choisit pas dans la vie, son voisin de palier, le temps qu'il fait, une chose est sûre, dans  le roman, tout est programmé à l'avance. Etrange, rude constat : le romancier décide de tenir en haleine le lecteur sur des centaines de pages : il conclut un