Un homme d'exception

Il présente son maître comme un libertin sans aucune morale : « rien n’est trop chaud ni trop froid pour lui ». Cependant, il insiste sur le fait qu’il doit le suivre, plus par lâcheté que par sens moral. Il n'en est pas moins fasciné par cet homme d'exception, qui reste monstrueux par son attitude vis-à-vis de ses relations avec les femmes. Ainsi, Sganarelle ne souhaite pas vraiment que Dom Juan meure. Pourtant à la mort de ce dernier, il ne le regrettera que parce qu'il lui devait de l'argent, "mes

[pic] Image de la composition d’une chaussure type RICHELIEU III/ DESIGN DE COMMUNICATION 1) Photo d’une publicité : [pic] 1) Introduction : C’est une publicité de l’an 2000 de la prestigieuse marque Louis Vuitton, souliers pour homme et femme. Ce sont des soulier a talons d’environ 9cm. 2) Composition de la photo : Au 1er plan il y a un pied de femme avec cette magnifique chaussure, la jambe qui monte vers le haut comme si cette femme s’élencais. Une tomate rouge écrasée

l’opposition des idées. Il ne peut y avoir d’exception dans une société utopique : tous sont soumis à un type d’organisation et à un seul. L’utopie est une pensée de la plénitude au sens où elle règle les détails de toute chose, cela en s’appuyant sur des individus a priori de bonne volonté, cherchant par nature et de facto le bien de tous, pour tous et par tous. Seulement, la réalité tend à se rappeler, celle qui fait s’interroger sur un homme qui serait naturellement bon. L’homme naturellement

La princesse de Clèves Le roman de Mme de Lafayette s’ouvre sur un tableau de la cour de France dans les dernières années du règne d’Henri II. C’est dans un cortège d’êtres d’exception, décrits de manière superlative et abstraite, que paraît tout à coup l’héroïne, Mlle de Chartres, future princesse de Clèves. Personnage de fiction, elle est encore plus extraordinaire que les plus prestigieuses dames de la cour et sa vraisemblance se trouve garantie par le cadre historique du roman. Cependant

beaucoup de mâchoire, les cheveux cachant le front et tombant sur les sourcils, entre les deux yeux un froncement central permanent comme une étoile de colère, le regard obscur, la bouche pincée et redoutable, l'air du commandement féroce. Cet homme était composé de deux sentiments très simples, et relativement très bons, mais qu'il faisait presque mauvais à force de les exagérer: le respect de l'autorité, la haine de la rébellion; et à ses yeux le vol, le meurtre, tous les crimes, n'étaient que

également est amateur de poésie : « les sonnets de Pétrarque ». -> Sa nature d'origine paraît incompatible avec le criminel qu'il devient. Remise en cause de ses motivations : il n'en a pas de véritables pour tuer Alexandre : « Que m'avait fait cet homme ? », « m'avait-il offensé alors ? » -> Retour d'humanité envers Alexandre : « il a fait du mal aux autres mais il m'a fait du bien, du moins à sa manière ». Lorenzo bénéficie d'un traitement particulier « Si j'étais resté tranquille » : c'est lui-même

et de la brutalité troublantes. La seule fois où son père est évoqué, c’est sous la forme d’un spectre. Interrogation sur sa nature humaine « sont-ce bien les battements d'un cœur humain ? » Illusions sur sa personne : il pense être un être d'exception, il y a une exaltation du moi : « suis-je le bras de dieu ? » Allusion a l'archange Gabriel « épée flamboyante ». Allusions aux mythes antiques dont il se sert pour s'expliquer lui-même. II. Les interrogations sur son acte Un acte contre

voilé à un pouvoir spectaculaire. En tant que femme, Agg ne peut-être que évincé. Ce n’est pas un hasard si c’est le jour de la cérémonie : grandiose, quelque chose de visible= il prend conscience.  Passage au passé marque une rupture ; moment d’exception.  Lexique du pouvoir « éblouît » « reconnaître », pas le même que pour Aggripine ; jeu du regard entre lui et Aggripine, pouvoir qui se voit. B) Un geste symbolique  il l’empêche de s’asseoir sur le siège, sous les yeux d’hommes puissants

expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Dom Juan Dom Juan ou la démesure Certains voient dans Dom Juan, l'archétype de la démesure et la preuve d'une démesure morale. Grand seigneur espagnol, jeune 3et beau4, il est méchant homme d'une insolence totale, parfois violent. Dom Juan manie avec aisance l'ironie et le sarcasme, l'impertinence et l'offense, l'irrévérence et l'irrespect. Il personnifie une lutte impitoyable entre le classicisme et le baroque. Tel Prométhée, il se libère

veut dire pieds enfles). Mais le berger ne le tue pas, l’enfant sera adopte par Polybe, roi de Corinthe. Lorsqu’il grandit, il découvre que Polybe n’est pas son vrai père, et il s’en va. En route, il rencontre un vieil homme, avec qui il se querelle, et il finit par le tuer. Cet homme n’est autre que Laïos. Il arrive a Thèbes ou le sphinx ( ou la sphinge) inspire la terreur. Il résout son énigme (quel animal marche la matin a quatre pattes, a midi a deux, et le soir a 3), et pour récompense se marie