Un Homme Libre Est Il Un Homme Sans Obligation

Quand on parle d’échanges, on pense souvent aux échanges économiques. Cependant, se limiter à cette définition c’est réduire un phénomène multiforme par lequel se nouent les liens avec autrui, phénomène social fondamental qui fait de l’homme un homme. Les hommes échangent des biens, mais aussi des services, des mots, des arguments, des idées, des opinions, des gestes, des signes et parfois des injures. Une société ne saurait exister sans la coopération des individus qui la composent afin de pourvoir

conséquent le droit des contrats doit être le plus libre possible. C'est pourquoi l'article 1101 du code civil dispose : « Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s'obligent, envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose. ». Cette autonomie de la liberté, empruntée à Kant par opposition à la théorie de l'utile et du juste, se retrouve à plusieurs niveau. Le principe est que chacun est libre de contracter ou non, de choisir son et ses co-contractants

bon nombre de lois restent inutiles, sans réel intérêt. Les libertés telles que celle d'exprimer son opinion, d'avoir une libre-conscience, etc, sont des libertés que l'Etat ne peut entraver. Cependant, dans beaucoup de pays, les personnes vivent sous une domination forte, voire dans une dictature. En France, la démocratie nous faire voir au devant que c'est un pays « libre », qui décide de ses lois, et qui ne subit pas de pression à proprement dit. Les libertés sont reconnues à tous, mais leur

RAISON VS PASSIONS DESCARTES: avènement de la modernité, révolution scientifique (l’héliocentrisme). Homme très cartésien, mathématicien, philosophe. Doute méthodique, garder le vrai : le cogito. Écrit le Discours de la méthode : le bon sens est la chose du monde la mieux partagée. Dualisme chez l’homme, corps (responsable des passions) et âme qui maîtrise les passions. NIETSZCHE : renverser les anciennes tables de valeurs établies, se dépasser dans l’affirmation de ses instincts, désirs, passions

libération est atteinte après un long cheminement qui a fait passer l’homme par l’étonnement et le doute. C’est là que nous pouvons faire intervenir Descartes. En effet, dans ses méditations métaphysiques il nous dit « Maintenant que mon esprit est libre de tous soins et que je me suis procuré un repos assuré dans une paisible solitude, je m’appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire toutes mes anciennes opinions (…) mais parce que la ruine des fondements entraîne avec soi tout le reste de

Développement : I. Le portrait moral d’un maître par son valet. a) Le portrait d’un individu complexe : - formule pour figer une image : « un grand seigneur méchant homme » ( deux aspects : - le grand seigneur, celui qui a le pouvoir et devrait protéger les faibles dans la tradition. - le méchant homme, celui qui est foncièrement mauvais. - c’est une « ébauche du personnage pour en achever le tableau, il faudrait bien d’autres coups de pinceau » ( métaphore filée du portrait :

- Peut-on vouloir ne pas être libre ? Remarques d'introduction :
  -          La difficulté tient à ce que vouloir est le fait d'un homme libre. Du coup, « vouloir ne pas être libre » = le fait d'un être libre qui cesse de l'être par choix) %u2192 est-ce possible ? -          A priori, ça l'est : l'absence de liberté est confortable car elle nous évite d'être responsable (« ce n'est pas ma faute » = je ne l'ai pas voulu, je n'ai pas choisi = je ne suis pas libre). -          Cependant, y a-t-il

« perte » de notre vie, soit de nous même. Cependant, au-delà des bénéfices matériels liés au travail, celui-ci ne serait-il pas un réel bienfait pour l’homme ? Depuis son apparition, le travail est considéré, comme une contrainte. C’est une obligation, une activité que nous nous devons d’entreprendre si nous voulons vivre. Effectivement d’après André Gide, « Tout être qui vit est obligé d'accomplir un certain travail ». L’étymologie du mot « travail », issu du latin « tripalium » ainsi que celle

règne de la spontanéité de mes désirs capricieux sur ma volonté. La question « Faut-il apprendre à être libre ? » semble paradoxale : selon le sens commun, l’idée d’apprentissage suppose un effort, une discipline, une contrainte. Apprendre est de l’ordre de l’acquis. Au contraire, la liberté semble naturelle, spontanée, dégagée de toute contrainte. Ainsi, si l’on a besoin d’apprendre à être libre, cela signifie qu’on ne l’est pas au départ. La liberté ne serait donc pas donnée. Il serait donc nécessaire

caracalla. A athènes la citoyenneté est donné à un homme libre de 18 ans, fils ou petit-fils de citoyen athénien, ayant effectué son service militaire . Les femmes ,les enfants ,les esclaves , les étrangers et les méthèques n’obtiennent pas ce statut . A rome Les citoyens appartiennent soit à la classe riche des Honestiores (ordre sénatorial et ordre équestre), soit à la classe pauvre des Humiliores. Pour etre citoyen il faut comme a athènes etre un homme libre de 18 ans , descendant d’un citoyen et avoir