Un Meurtre En Quelque Sorte

contexte du texte 3, sauf que ce n’est pas l’acte 1. Les didascalies nous laisse penser cela : Scène comme au premier acte. On peut donc en déduire que ça ne peut pas être ledit acte. Dans son monologue de l’extrait 1, Lorenzo imagine la scène du meurtre qu’il va commettre dans les moindres détails. Ce monologue est un peu un faux monologue puis qu’il parle à des interlocuteurs imaginaires : Catherine (Pauvre Catherine ! L.37) et sa mère (Que ma mère mourut de tout cela L.6). Ce monologue ressemble

la puissance de la vindicte céleste sur les hommes ? Plan : en 2 parties I. Le meurtre engendré par la jalousie (cause) II. Accumulation des châtiments célestes (conséquences) a. Son effroi b. Sa fuite et l'hostilité environnante c. Sa solitude I. LE MEURTRE ENGENDRÉ PAR LA JALOUSIE v.182 au v.186 Le meurtre d'Abel par Caïn est choisis par d'Aubigné pour illustrer tous les meurtres commis lors des guerres de religion à l'encontre des réformés -v 182 : Caïn :

personnages, ce qui témoigne de son rayonnement dans l’intrigue. Lorenzo fait parler, suscite de multiples interrogations et les remarques des uns et des autres permettent de le caractériser au-delà de l’image qu’il donne à voir et de compléter, en quelque sorte, son portrait. • L'homme aux deux portraits : public et privé À cet égard, les autres personnages dressent de lui un portrait très discordant. Deux visions de Lorenzo s’opposent : - d’une part, Lorenzo est caractérisé selon son image «

personnages, ce qui témoigne de son rayonnement dans l’intrigue. Lorenzo fait parler, suscite de multiples interrogations et les remarques des uns et des autres permettent de le caractériser au-delà de l’image qu’il donne à voir et de compléter, en quelque sorte, son portrait. • L'homme aux deux portraits : public et privé À cet égard, les autres personnages dressent de lui un portrait très discordant. Deux visions de Lorenzo s’opposent : - d’une part, Lorenzo est caractérisé selon son image « publique

personnages. Elle menace d’abord Pyrrhus, puis Oreste lui-même, Andromaque et enfin Hermione. Finalement, c’est Pyrrhus qui est frappé, au moment où il célèbre ses noces avec Andromaque, durant l’entracte qui sépare le quatrième et le cinquième acte. Ce meurtre est être exclu de la scène, et pourtant il a tout pour attirer l’attention, voire pour fasciner. Il est complexe : il a une commanditaire (Hermione, qui a demandé la tête de Pyrrhus à Oreste en lui promettant sa main en échange), un instigateur (Oreste

moitié du roman, Meursault est arrêté et questionné. Ses propos sincères et naïfs mettent son avocat mal à l'aise. Il ne manifeste aucun regret. Lors du procès, on l'interroge davantage sur son comportement lors de l'enterrement de sa mère que sur le meurtre. Meursault se sent exclu du procès. Il dit avoir commis son acte à cause du soleil, ce qui déclenche l'hilarité de l'audience. La sentence tombe : il est condamné à la guillotine. Meursault voit l’aumônier, mais quand celui-ci lui dit qu'il priera

il en France ? Un point sur la législation actuelle. Actuellement en France, il n’y a aucune définition de l’euthanasie dans les lois. Elle y est simplement évoquée. Dans le code pénal : acte de tuer volontairement = Homicide. Pr le CP: le "meurtre", la "non-assistance à personne en péril" et "l'empoisonnement" = crimes passibles d'un procès devant les assises. Ces crimes sont punissables de peines allant de 30 ans de réclusion criminelle à la perpétuité. Selon le code de déontologie médicale

de cours, cherchant protection du roi, des princes, et produit litt de cours. Pas littérature « bas de gamme » car sorte de compromission. Idem Molière, protégé roi, mais œuvres subversives. Ou duc de St Simon, œil acerbe sur la Cour. Rapport étroit littérature et pol sans idée dégradation littérature par proximité du pouvoir, idée plus moderne. Académies qui protègent écrivains, sorte de « fonctionnaires d’Etat ». Historiographie, on relate grands faits des princes. CEPENDANT : Plus souvent forme

un enfant malade et gâté ». Chacun de ces traits est à prendre comme une lacune dans l'ordre de la masculinité idéale. D'abord, Camille et Thérèse ont, encore enfants, une vocation à former un couple, comme dans une tribu aux mœurs primitives ou quelque caste ancienne : « Les enfants savaient depuis longtemps qu'ils devaient s'épouser un jour. Ils avaient grandi dans cette pensée qui leur était devenue ainsi familière et naturelle. On parlait de cette union, dans la famille, comme d'une chose nécessaire

vertueux sur le pendard et le malotru .Du mélodrame Musset conserve : les situations scabreuses : enlèvements nocturnes, atmosphère de luxure, hommes inquiétants et de seconde mains : Scoronconcolo, Giomo, ; des scènes d’action : répétitions du meurtre, meurtre ( même si Musset en a considérablement réduit ‘action),, empoisonnement de Louise ( coup de théâtre) Mais là où le mélodrame se veut manichéen et campe des situation assez simples, Musset au contraire complexifie es actions et leurs ressorts :