Un Père Et Un Fils Stendhal

l’archidiacre  Claude  Frollo,  le  capitaine  Phœbus  et  Quasimodo, le bossu de Notre-Dame. À l’intrigue se mêle  également une réflexion philosophique sur l’histoire et  sur l’évolution de l’architecture. Malgré les critiques de Mérimée et de Stendhal à cause de son style jugé trop mélodramatique, Notre-Dame de Paris fut immédiatement un succès populaire et demeure  encore aujourd’hui un des chefs-d’œuvre de Victor Hugo.http://www.lepetitlitteraire.fr/ebookshttp://www.lepetitlitteraire.fr 3Notre-Dame

biographie de Mérimée : Mérimée naquit en 1803, dans une famille assez aisée. Il fit des études de droit tout en menant une vie mondaine. Il fréquenta les salons littéraires, ce qui lui permit de rencontrer de grands auteurs tels Hugo ou Stendhal. Il publia ses premières œuvres dès 1825, tentant de garder l’anonymat grâce à des pseudonymes. Cette mystification fit grand bruit et lui attira l’attention du public. Il se fit surtout connaître par ses nouvelles fantastiques telles Les âmes du

Pour accentuer l’effet de réel, les auteurs n’hésitent pas à mentir, comme Balzac au début du Père Goriot qui affirme : « Ah ! sachez-le : ce drame n’est ni une fiction, ni un roman. All is true, il est si véritable, que chacun peut en reconnaître les éléments chez soi, dans son cœur peut-être. » Mais est-ce vraiment là un mensonge de la part de

Lecture analytique 1 : Le portrait de Vautrin (Le père Goriot publié en 1935) complété par une fiche de lecture et de la lecture d’un extrait des illusions perdues. Auteur : Balzac Notes de préparations : Avec Vautrin, Balzac invente un personnage qui réapparait d’une œuvre à une autre. Ce trait lui donne une dimension fantastique. Il y a 4 apparitions de Vautrin dans la comédie humaine (titre global de l’œuvre de Balzac). Vautrin apparait dans Le père Goriot, Les illusions perdues, Splendeurs et misère

Résumé Chapitre 1  Au mois d’«octobre 181.», le colonel irlandais sir Thomas Nevil, revenant d’Italie avec sa fille unique, Ia romanesque Lydia, est de passage à Marseille. Lydia est déçue : elle aurait voulu connaître plus d'aventures et son père, chasseur invétéré, a manqué de gibier. À l'hôtel, il fait la rencontre d’un de ses anciens officiers, qui venait de passer six mois en Corse, qui leur parle de l’île avec enthousiasme, raconte les chasses curieuses et variées qu’il y a faites, évoquant

acclamer ». Mais, de façon plus large, la réussite peut prendre la forme d'un destin exceptionnel qui va jusqu'au bout de lui-même, par opposition aux existences ordinaires, condamnées aux compromis. Julien Sorel, dans Le Rouge et le Noir de Stendhal, fils d'un modeste charpentier dans un village de province, même s'il ne réussit pas vraiment puisqu'il meurt décapité, a connu, au fil du roman, une destinée à la hauteur de ses capacités exceptionnelles. En effet, le simple fait d'avoir satisfait

toujours vécu entre sa mère et son père en Russie ou à Paris mais jamais avec les deux réunis. Son père vit avec Véra dont il a eu une petite Lili et sa mère vit avec Kolia, un écrivain. Elle a vécu beaucoup de petites aventures et a plein d’anecdotes à nous raconter comme ses petits flacons de verre, ses cocottes en papier, "le quatuor des écrivains", le papier dont elle recouvrait les livres, le sachet de dragées volées à la confiserie, les cigarettes russes de son père que Véra roulait, le bar où elle

une action présente devant témoin. D’après Aristote, l’essence de la théâtralité consiste à « imiter » les hommes en répétant leurs actions. Suivant cette définition, on pourrait affirmer comme un personnage de Diderot dans « Les Entretiens sur le fils naturel » : « (…) la représentation de celle-ci [la pièce] vous a plu, il ne m’en faut pas davantage ».. Le texte, essentiellement destiné à la représentation n’aurait aucune valeur propre. On peut donc se demander si le théâtre est destiné à être

le mouvement de Zola ? 10- Quels sont les thèmes de prédilections du mouvement de Zola ? 1) Emile Zola naît le 2 avril 1840 à paris. Il est le fils unique d’un italien : Francesco Zola, ingénieur de travaux publics, et d’une bourguignonne : Emilie Aubert. La famille part s’installer à Aix-en-provence. Il n’a que sept ans quand son père meurt. Sa mère et sa grand-mère : Henriette Aubert, s’occupent alors de lui dans une grande instabilité financière. Il commence ses études au collège d’Aix

Marie-Madeleine d'Aiguillon. Son père, lui, était écuyer du roi. Il mourut alors que Marie-Madeleine n’avait que quinze ans. Un an après, elle devint dame d’honneur de la reine Anne d’Autriche. En 1650, sa mère se remarie avec soit disant Renaud de Sévigné, oncle de Marie de Sévigné; les deux femmes deviendront par la suite de très grandes amies. En 1655, elle épouse, à l’âge de 22 ans, un Auvergnat de dix-huit ans, François Motier, comte de La Fayette dont elle aura deux fils. Elle l’accompagne dans ses