Un Singulier Aveu

romantique Adolphe cultive son mal et l’alimente par des réflexions et des paroles comme la suivante, il dit : « Je l’écoutais longtemps en silence; je n’avais dit jusqu’à maintenant à personne que je n’aimais plus Elléonore; ma bouche répugnait à cet aveu qui me semblait une perfidie.» (p.1, l10) En attribuant à sa «bouche» un sentiment de dégout, le personnage affirme qu’il a un mépris de ne plus être en amour, mais de plus il refuse d’y croire, c’est ce que la personnification exprime. Elle illustre

apparence on peut voir qu’il est autoritaire → pouvoir absolu : il impose sa propre décision (v17-18 et 33) « que le plus coupable de nous se sacrifie » + utilisation de nombreux impératifs (v19, 23, 31 et 33) + accumulation de la 1ère personne du singulier « je » (v16, 26 et 30), « pour moi » (v25), « ainsi que moi » (v31) → égocentrisme.  Autocritique non authentique → il se désigne comme un jouisseur immodéré : champ lexical de la nourriture « mes appétits gloutons » (v25), « dévoré » (v26), «

révélations pr Roxane dont l’évidence est marquée par la répétition du présentatif : « c’était vous » « c’était la vôtre » * la vérité surgit et Roxane est alors capable d’attribuer à Cyrano tout ce qui lui revient : « les lettres » (passage du singulier au pluriel : Cyr auteur de la lettre, dc des lettres), « les mots chers et fous » , « la voix ds la nuit » (scè du balcon), « l’âme » Elle peut alors voir clair ds le cœur de Cyr : « vs m’aimiez » (répété ) Tt est révélé. * le moment de la

révérence, il ne put s'empêcher de donner des marques de son admiration. Quand ils commencèrent à danser, il s'éleva dans la salle un murmure de louanges. Le roi et les reines se souvinrent qu'ils ne s'étaient jamais vus, et trouvèrent quelque chose de singulier de les voir danser ensemble sans se connaître. Ils les appelèrent quand ils eurent fini, sans leur donner le loisir de parler à personne, et leur demandèrent s'ils n'avaient pas bien envie de savoir qui ils étaient, et s'ils ne s'en doutaient point

réponse comme si elle s’appuyait sur une règle (l.2) « Et moi, je… »Répétition du pronom personnel→ Elle insiste sur le fait que sa parole a autant de valeur (l.3-4) « Quelle audace est-ce là, à une coquine de servante… »Utilise la 3ème personne du singulier / adjectif péjoratif → Il essaie de la rabaisser en lui rappelant son statutII – (l.7-18) « Course poursuite » : Le conflit prend de nouvelles proportions(l.7-11) « ARGAN court après Toinette » « TOINETTE se sauve de lui » « ARGAN, en colère, court

l'aveu direct,où s'exprime sa fureur amoureuse. Cet aveu = un sommet tragique : il précipitera la perte de l'héroïne. La machine tragique est en marche. LECTURE Problématique : question posée par l'examinateur. Ex/ Comment la violence de la passion s'exprime-t-elle ? Comment les ravages de la passion s'expriment-ils dans cette scène ? En quoi cet aveu est-il tragique ? Qu'est-ce qui fait de Phèdre une héroïne déchirée/tragique ? En quoi cet aveu est-il « monstrueux » ? En quoi cette scène est-elle

évidence que Hernani est un héros révolté, en marge de la société et menacé par la mort. Tout d'abord, Hernani est un marginal, un proscrit: cette caractérisation est sensible tout le long de sa tirade à travers l'emploi de la première personne du singulier. Ce personnage est menacé par la mort : on relève du registre tragique avec l'évocation de la destinée funeste d' Hernani qui va vers une mort certaine, c'est-à-dire, « l'échafaud ». Ce nom est d'ailleurs mis en valeur par la présence d'un tiret

empli de matière et de rayonnement >, -contenu matériel qui en constitue la forme. Mais par l' idée de < temporalisation > , il faut entendre une procédure de la physique qui définit l' < espace/temps >, à chaque fois particulier, à chaque fois singulier, comme l' ensemble des événements dans un champ donné et déterminé par un certain type local de masse gravitationnelle qui génère un certain type local de temporalité mesurable par un observateur et les horloges qui lui sont attachées. Ou pour

dans la scène 13 de l’acte II, Araminte met à l’épreuve son intendant Dorante en lui dictant une fausse lettre de consentement au mariage avec un comte qui veut l’épouser. Elle sait que Dorante l’aime mais il se dérobe et elle veut lui arracher son aveu. De quelle manière le stratagème de la lettre permet-il la révélation des sentiments ? Après avoir montré l’efficacité de ce procédé dramaturgique, nous verrons qu’il permet d’une part de donner à la scène une dimension comique et d’autre part de dévoiler

paroles élogieuses des gens de la cour. Les gens de la cour sont étonnés de voir danser le Duc de Nemours et la princesse de Clèves ensemble : « le roi et les reines se souvinrent qu'ils ne s'étaient jamais vus, et trouvèrent quelque chose de singulier de les voir danser ensemble sans se connaître. Ils les appelèrent quand ils eurent fini sans leur donner le loisir de parler à personne et leur demandèrent s'ils n'avaient pas bien envie de savoir qui ils étaient, et s'ils ne s'en doutaient point