Un Vermicellier Vu Par Une Duchesse

pupille fille d’un riche banquier, qui a décidé de la déshéritée, au profit de son frère) sa pupille, M. Goriot (un homme de 79 ans que Mme Vauquer à d’abord voulut séduire, durant 3 mois, en raison de son argent), Vautrin (un homme pour l’instant bien vu et sacrée gaillard) et Christophe (un domestique). Les demi-pensionnaires sont des étudiants parisiens dont Horace Bianchon, qui étudie la médecine et qui est un ami d'Eugène.La cuisinière de la pension est Sylvie.En raison de M. Goriot, Mme Vauquer

Séquence 4 Le Père Goriot, Extrait 3. Le Passage est une analepse opéré par la duchesse de Langeais : Courte biographie du Père Goriot Passage narratif = artifice de Balzac où il dévoile sa vision de la société, du monde et des personnages. LE MEPRIS DE LA DUCHESSE DE LANGEAIS ENVERS LE PERE GORIOT: Article démonstratif “ce” (valeur méprisante) Irrespect du nom du personnage : => elle persiste à l'appeller“Moriot”,“Doriot”, “Foriot” même si Rastignac la corrige. => L'identité

coeur a saigné”+ “il a vu que ses filles avaient honte de lui”=> lucidité du Père Goriot+ L'analyse montre l'amour fort du Père Goriot pour ses filles+ Vocabulaire de l'affection:=> “seule passion”, “il adore”, “il avait tout donné ses entrailles,son amour + Vocabulaire de la souffrance:=> “son coeur a saigné”+ Le Père Goriot n'est pas une victime: il s'est “lui-même” victimiser => victimisation non péjorative car faite par amour B. Un portrait négatif : mépris de la duchesse de Langeais envers PG

Balzac, Le Père Goriot, « La duchesse de Langeais » Extrait 2 Quelques larmes roulèrent dans les yeux d'Eugène, récemment rafraîchi par les pures et saintes émotions de la famille, encore sous le charme des croyances jeunes, et qui n'en était qu'à sa première journée sur le champ de bataille de la civilisation parisienne. Les émotions véritables sont si communicatives, que pendant un moment ces trois personnes se regardèrent en silence. - Eh ! mon Dieu, dit madame de Langeais, oui, cela semble bien

coeur a saigné”+ “il a vu que ses filles avaient honte de lui”=> lucidité du Père Goriot+ L'analyse montre l'amour fort du Père Goriot pour ses filles+ Vocabulaire de l'affection:=> “seule passion”, “il adore”, “il avait tout donné ses entrailles,son amour + Vocabulaire de la souffrance:=> “son coeur a saigné”+ Le Père Goriot n'est pas une victime: il s'est “lui-même” victimiser => victimisation non péjorative car faite par amour B. Un portrait négatif : mépris de la duchesse de Langeais envers PG

connue sous le nom de la Maison Vauquer, admet également des hommes et des femmes, des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les mœurs de ce respectable établissement. Mais aussi depuis trente ans ne s'y était-il jamais vu de jeune personne, et pour qu'un jeune homme y demeure, sa famille doit-elle lui faire une bien maigre pension. Néanmoins, en 1819, époque à laquelle ce drame commence, il s'y trouvait une pauvre jeune fille. En quelque discrédit que soit tombé le mot

Portrait de Mme Vauquer (« Une pension bourgeoise », extraits) Le roman psychologique et l’analyse des sentiments Balzac sociologue et historien Les amours ambiguës de Rastignac et Delphine (« L’entrée dans le monde », extrait) Le père Goriot vu par une duchesse (« Une pension bourgeoise », extrait) IV. Déroulement de la séquence Séance no 1 : le mystère Goriot, les personnages s’observent Objectifs → La focalisation. → L’exposition. Supports → Goriot épié par Rastignac : de « Sa pensée vagabonde

vendait un objet de vermeil à un orfèvre de la rue Dauphine. Il l’a ensuite vu se rendre chez un usurier, rue des Grès. Goriot rentre à son tour à la pension et demande aussitôt à Christophe d’aller porter une lettre à l’adresse de la comtesse Anastasie de Restaud, rue de Helder. Vautrin intercepte la lettre, et découvre un billet acquitté (une reconnaissance de dette réglée). Arrive à son tour Rastignac qui raconte avoir vu rue des Grès, la belle comtesse avec qui il avait dansé la veille au bal

encore éclairée à deux heures du matin. Un peu plus tard, à neuf heures trente, presque tous les pensionnaires sont sortis. Dans le salon de la pension, les domestiques Christophe et Sylvie les attendent pour le déjeuner en commentant ce qu’ils ont vu et entendu : quelques jours auparavant, un monsieur les a interrogés l’un et l’autre au sujet de Vautrin ; dans la nuit, celui-ci a reçu deux personnes ; tôt le matin, le père Goriot est sorti en portant un paquet… Vers dix heures moins le quart, madame

vint muni d'une garde-robe bien fournie, le trousseau4 magnifique du négociant qui ne se refuse rien en se retirant du commerce. Madame Vauquer avait admiré dix-huit chemises de demi-hollande, dont la finesse était d'autan plus remarquable que le vermicellier portait sur son jabot5 deux épingles unies par une chaînette, et dont chacune était montée d'un gros diamant. Habituellement vêtu d'un habit bleu-barbeau6, il prenait chaque jour un gilet de piquet blanc, sous lequel fluctuait son ventre piriforme7