Un Veuf Parle Verlaine

P. 101 Stendhal P. 103 Balzac P. 107 Flaubert P. 115 Maupassant P. 118 Zola P. 125 Baudelaire P. 132 Rimbaud P. 135 Verlaine P. 138 XXme Sicle P. 141 Proust P. 142 Saint-Exupry P. 146 Vian P. 151 Colette P. 155 Gide P. 160 Fournier

323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 Librs.net Благодарим Вас за использование нашей библиотеки Librs.net. André Maurois Nouvelles ANDRÉ MAUROIS C’est alors que pendant ses vacances en Suisse, il rencontra une jeune fille dont il parle en romancier et en amoureux (sa grâce émouvante, sa mystérieuse présence…). „Elle était malheureuse chez sa mère. Stendhalien, tolstoien, je n’hésitai pas à l’enlever et la mis en pension à Oxford, où j’allais la voir à la fin de chaque semaine. Au

20 Les Mots Charles Schweitzer porte un panama, un costume de flanelle crème à rayures noires, un gilet de piqué blanc, barré par une chaîne de montre; son pince-nez pend au bout d'un cordon; il s'incline sur moi, lève un doigt bagué d'or, parle. Tout est sombre, tout est humide, sauf sa barbe solaire: il porte son auréole autour du menton. Je ne sais ce qu'il dit: j'étais trop soucieux d'écouter pour entendre. Je suppose que ce vieux républicain d'Empire m'apprenait mes devoirs civiques et

ans: 20 Les Mots Charles Schweitzer porte un panama, un costume de flanelle crème à rayures noires, un gilet de piqué blanc, barré par une chaîne de montre; son pince-nez pend au bout d'un cordon; il s'incline sur moi, lève un doigt bagué d'or, parle. Tout est sombre, tout est humide, sauf sa barbe solaire: il porte son auréole autour du menton. Je ne sais ce qu'il dit: j'étais trop soucieux d'écouter pour entendre. Je suppose que ce vieux républicain d'Empire m'apprenait mes devoirs civiques et

assisté aux représentations. Toute l’équipe (30 bénévoles, 17 chanteurs, dix danseurs, cinq comédiens, cinq costumières, quatredécorateurs)a bienméritésonsuccès. LA PHRASE « Nous sommes complètement oubliés au détriment des détenus. Jamais on ne parle de nous ! » NoëlMiguel, délégué syndical Force Ouvrière, lors de la manifestation des surveillantspénitentiaires desprisons d’Arras et de Bapaume, jeudi 12 avril. Ilsprotestaient contreleurs conditions de travail. LE FLOP Labraderiedesjeunesannulée

tard avec Marcel. Ceux-ci nous apparaissent plus repliés, moins « puissants », leurs rêves sont vite balayés. La fin du siècle est plus stable sur le plan politique, mais le vague à l’âme persiste et se fait plus profond, différent c’est évident. On parle alors du « XIXe finissant », qui voit sombrer nombre d’hommes dans l’engourdissement et le demi-sommeil. C’est, d’ailleurs, à la fin du siècle que les grandes maladies de l’affectivité se regroupent autour de la « psychose maniaco-dépressive, de la

morceau [...] d'inspiration lyrique, M. Proudhon [...] s'est rencontré, presque idée pour idée, avec Les Litanies de Satan de Charles Baudelaire" (édition Crépet-Blin des Fleurs, p. 512-513). 36. La Mystique de Baudelaire, p. 56. Baudelaire lui-même parle, en 1861, dans une étude sur Hugo, des "limbes de l'avenir" (Pl. II, p. 138). H. J. Hunt, dans Le Socialisme et le romantisme en France. Étude de la presse socialiste de 1830 à 1848 (Oxford, Clarendon Press, 1935, p. 269, n. 4) compare l'influence

faut s’enfoncer jusqu’à la aux flaques d’eau la chaussée crevassée, poitrine dans une rivière glacée. Viende voitures brûlées, celles qui n’avaient nent ensuite deux heures de marche pas roulé assez vite pour échapper aux dans la boue. Personne ne parle, même tirs des positions de l’armée syrienne, fumer est interdit – le bout incandescertaines à 200 mètres de la route dé- cent de la cigarette risquant d’être retrempée, qui réunit l’entrée du souter- péré par les forces du régime. Les pasrain à celle

voulait engager à son service l’homme qui avait écrit le message du président Georges Pompidou : « Le Général est mort, la France est veuve. Comme cela est beau et comme c’est très français ! » s’extasiait-il. On aurait pu écrire : de Gaulle était le veuf inconsolé de la France ; il finit par en mourir. C’est en Mai 68 qu’il saisit son échec à réveiller le corps défunt de sa bien-aimée. Cette jeunesse bourgeoise à qui il avait permis de vivre libre dans un pays riche, se vautrant dans un confort

Jésus-Christ, suivis plus tard par les Romains. Ils ne proviennent jamais des Celtes, les habitants du territoire, car ceux-ci, par peur superstitieuse de l’écriture, ne nous ont laissé aucun écrit. Les témoignages sont donc toujours indirects. On parle dans ce cas de « Protohistoire ». Pour cette raison, l’entrée choisie dans cette partie ouvre sur le monde gallo-romain, initiateurs d’une unité administrative fédérant des peuples hétérogènes en un pays qui prendra plus tard le nom de Francia (lors