Une Fin Ouverte Dans Bel Ami

------------------------------------------------- Texte 1 : « Bel Ami » de Guy de Maupassant ------------------------------------------------- I) 1 L’incipit Contexte : Georges Duroy, un ancien sous-officier hussard se promène de rues en rues alors que l’argent vient à lui manquer. Le beau jeune homme, peu scrupuleux par ailleurs, va rencontrer Forestier, rédacteur à La Vie Française. Ce journaliste malade, lui conseille de suivre sa propre voie car c’est grâce à la presse qui la eu cette situation

qu'il adore et un père faible qu'il méprise jusqu'à douter de la légitimité de son ascendance. La scolarité se déroule au Lycée impérial Napoléon à Paris, puis à l'institut ecclésiastique d'Yvetot, où il restera de treize à dix-huit ans. Élève "ouvert", "docile", "poli", selon ses maîtres, il supporte difficilement les contraintes du pensionnat solitaire dans lequel il se trouve "enseveli" au milieu de condisciples "presque tous destinés au sacerdoce[1]" . De cette période sombre datent les premiers

ce dernier. Mais est-ce vraiment la seule visée d’une dernière page de roman ? Nous verrons dans un premier temps qu’effectivement, le dénouement fait partie de la fin d’un roman mais dans un deuxième temps que cette dernière page peut avoir d’autres buts, et pour finir qu’une fin peut être porteuse de différents messages. La fin d’une histoire passe donc inévitablement par un dénouement, si nous suivons le schéma narratif d’un livre, sa cinquième et dernière étape se trouve être la situation

Maupassant1 le 5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques2 et mort le 6 juillet 1893 à Paris, est un écrivain français. Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, il a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste

la Moselle Passerelle Alibert sur le Canal Saint-Martin. Sur le canal Saint-Martin : Pont de la rue Louis Blanc Pont Eugène-Varlin Passerelle Bichat Passerelle de la Grange-aux-Belles Pont tournant de la Grange-aux-Belles Passerelle Richerand Passerelle Alibert Pont tournant de la rue Dieu Passerelle des Douanes Au niveau du bassin de l'Arsenal : Passerelle de Mornay Pont Morland

récurrente que beaucoup de gens se posent, ainsi que celle de l’au-delà. Certains pensent que la mort est la fin de l’être, alors que d’autres pensent qu’il existe une vie après la mort. Nous avons donc choisi ce thème que personne ne peut éviter et que nous allons tenter de vous présenter. La mort est omniprésente dans notre vie, que ce soit à la télévision, dans notre voisinage, un ami, ou même dans sa propre famille. Dans cette anthologie, vous pourrez y trouver des poèmes sur la mort, ne reflétant

ne sont pas vraies et les choses vraies ne sont pas neuves, en revanche dans tel écrit négligé du moyen-âge sont enfouies des idées qu’on n’y soupçonnerait pas. C’est ainsi qu’ayant eu la patience de lire un livre autrefois fameux, mais rarement ouvert depuis trois siècles, un livre qui passe en général pour ne renfermer qu’une allégorie galante assez fade, le Roman de la Rose, j’ai été surpris d’y trouver, avec les fadeurs qui n’y manquent point, un mouvement d’idées scientifiques et philosophiques

annoncer par les journaux qu’il inviterait tous les gens connus dans la société parisienne à contempler, chez lui, un soir, l’œuvre magistrale du maître étranger, afin qu’on ne pût pas dire qu’il avait séquestré une œuvre d’art. Sa maison serait ouverte. Y viendrait qui voudrait. Il suffirait de montrer à la porte la lettre de convocation. Elle était rédigée ainsi : "Monsieur et Madame Walter vous prient de leur faire l’honneur de venir voir chez eux, le 30 décembre, de neuf heures à minuit, la

l’Homme, Semprun utilisera le présent de narration nous permettant, comme dit précédemment, de raconter les évènements comme si cela se passait au moment où on les lis, et jusqu'à la mort de son ami, Semprun fait preuve de courage : il reste auprès de lui et récite des vers de Baudelaire et Halbwachs mourra à la fin de ceux-ci. Ce courage et cet esprit dont font preuve Semprun ainsi que le professeur montre que leur esprit est puissant et que sans celui-ci la vie n’est rien aucune dignité aucun courage

siècle voit naître deux grands mouvements : le réalisme et le naturalisme. Guy de Maupassant fait parti des grands auteurs de ce siècle qui ont marqué le genre romanesque et offert aux lecteurs un regard critique sur la société de l’époque. A travers Bel-Ami, publié en 1884, il dresse un portrait acerbe de la bourgeoisie et du journalisme. C’est aussi toute une société qu’il accuse de matérialisme. Dans cet extrait, l’auteur nous montre la consécration de Georges Duroy, le héros arriviste, par son mariage