Une Grande Dame Paul Verlaine

non pas refléter la réalité mais la transformer; ils nous font entrer dans leurs rêves: - Nerval ou " l'épanchement du songe dans la vie réelle " (l'importance du "rêve") - Rimbaud, " voyant " et " voleur de feu " (l'importance des images) - Verlaine, le charme de la suggestion Introduction En poésie, le sens est-il jamais l'essentiel? Un poème se résume mal, se traduit difficilement. Les mots priment avec leurs sons, leurs oppositions, leurs formes. Montaigne résumait ainsi la poésie:

nous parlerons de Verlaine avec son poème « Rêve familier » tiré de « Poèmes saturniens » publié en 1866. Ce sonnet est caractéristique de la poésie lyrique et emblématique du symbolisme. Ensuite, nous avons un poème de Maurice Rollinat « la bibliothèque » tiré de « les Névroses » et publié en 1883. Antérieur à  « Sagesse » le poème « Kaléidoscope », composé en prison, date d’octobre 1873 et abolit la frontière entre le rêveur et le rêve. « Kaléidoscope » de Verlaine tiré de Jadis et Naguère

parnassienne fait le lien entre ces deux tendances : Le Parnasse contemporain (éditeur : Lemerre), paru en 1866, 1871 et 1875, rassemble des collaborateurs que la postérité appellera « parnassiens » ainsi que de futurs « symbolistes », tels Mallarmé et Verlaine. Par ailleurs, la doctrine de ce que l’on ne saurait à proprement parler une « école » s’est constituée en réaction contre ce que certains ont estimé être le flou, le vague artistique des romantiques : dans le sillage de Théophile Gautier et des

dit-il. On voit aussi une sorte de complaisance dans le malheur, comme l’exprime si bien Ronsard dans ’’Amour me tue, et si je ne veux dire’’: « Il est bien vrai, que ma langueur désire Qu'avec le temps je me puisse guérir : Mais je ne veux ma dame requérir Pour ma santé : tant me plaît mon martyre. » Le thème privilégié, surtout chez les romantiques mais aussi chez les poètes des courants suivants, est celui de l'amour. Les femmes inspirant cet amour, dans le bonheur ou dans la souffrance

(1802-1885) LE CHEF DE FILE ROMANTIQUE, avec «  la bataille d’hernani » en 1830 , il perd sa fille Léopoldine en 1843, il s’exile dans les îles anglo-normandes ou pendant 18 ans il vas vivre en véritable légende vivante de la protestation. Œuvres : « Notre-Dame de paris » roman, 1831 « Ruy Blas » drame, 1838 « Les rayons et les ombres » poésie, 1840 « les Chatiments » poésie, 1853 « Les Contemplations » poésie, 1856 « Les Misérables » roman, 1859 « La Légende des siècles » poésie, 1859-1883

2 Les misérables de Victor Hugo - x 3 Le petit prince d'Antoine de Saint-Exupéry - x 4 Germinal d'Emile Zola 6 Le rouge et le noir de Stendhal 7 Le grand Meaulnes d'Alain-Fournier - x 8 Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne - x 9 Jamais sans ma fille de Betty Mahmoody - x 10 Les trois mousquetaires d'Alexandre Dumas - x 11 La gloire de mon père de Marcel Pagnol - x 12 Le journal d'Anne Frank d'Anne Frank - x 13 La bicyclette bleue de Régine Deforges - x 14 La nuit des temps de

Frédéric étant né en 1854, des filles allaient venir plus tard : Vitalie-Marie en 1857 et Isabelle en 1860. Son père, Frédéric Rimbaud, était un militaire, un capitaine d’infanterie sorti du rang, qui avait fait la campagne d’Algérie, qui parlait de grands espaces, de déserts de sable, de batailles ; qui, rêvant toujours d’un ailleurs plus exotique plus flamboyant que le quotidien gris de la vie dans une garnison, avait composé quelques écrits aussi ; qui était un mari à éclipses qui ne vécut guère

ANTHOLOGIE LA SOLITUDE SOMMAIRE : 1/ La solitude au 19 eme siecle CHARLES BAUDELAIRE : a une heure du matin alfred de musset : rappelle toi stephane mallarme : salut paul verlaine : voeu 2/ LA solitudeAU 20 EME SIECLE GUILLAUME APOLLINAIRE : a la santé esther granek : absences Guillaume apollinaire : clothlide ANTOINE DE NERVEZE ( 1570-1622) aristocrate francais travailla au service de henry 2 de bourbon et henri 4 de france en tant que secrétaire. Aussi apellait « 

! Paul Verlaine, Poèmes saturniens Fantaisie Il est un air, pour qui je donnerais Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber, Un air très vieux, languissant et funèbre, Qui, pour moi seul, a des charmes secrets. Or, chaque fois que je viens à l’entendre, De deux cent ans mon âme rajeunit : C’est sous Louis treize… Et je crois voir s’étendre Un coteau vert que le couchant jaunit, Puis un château de brique à coins de pierre, Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs, Ceint de grands parcs

Frédéric étant né en 1854, des filles allaient venir plus tard : Vitalie-Marie en 1857 et Isabelle en 1860. Son père, Frédéric Rimbaud, était un militaire, un capitaine d’infanterie sorti du rang, qui avait fait la campagne d’Algérie, qui parlait de grands espaces, de déserts de sable, de batailles ; qui, rêvant toujours d’un ailleurs plus exotique plus flamboyant que le quotidien gris de la vie dans une garnison, avait composé quelques écrits aussi ; qui était un mari à éclipses qui ne vécut guère