Une Longue Tirade Lyrique

affliction » * le décalage entre ce qu’il dit et ce qu’on sait « j’ai tout quitté » (l.54) (il n’a rien quitté du tout !) « on ne saurait vous servir avec plus de fidélité et de désintéressement » (l.57) * le contraste entre sa maîtrise du début (longues répliques bien travaillées, initiative dans le dialogue) et son trouble à partir du moment où Araminte lui annonce son intention d’épouser le comte. DUBOIS - le fait que Dubois en rajoute dans les douleurs de Dorante Il a voulu presque se jeter à

d’étude : Objectifs : littéraire et culturel : le romantisme Un mouvement littéraire et culturel du XIXe (français ou francophone) S’approprier la notion de mouvement Identifier les caractéristiques majeures du Romantisme S’initier au registre lyrique Perspectives : Histoire littéraire et culturelle Étude des genres et registres Textes et œuvres : Groupement de textes et de documents iconographiques Séquence 7-FR20 371 © Cned – Académie en ligne Introduction Chapitre 1

très durement repoussé par le colon, qui le frappe avec la poignée de son épée. L’Indien tombe, le visage ensanglanté. » L’Indien se relève et adresse au Légat une tirade à la fois digne et enflammée (en langue correcte), immédiatement traduite par un interprète présent à ses côtés. Vous alternerez didascalies narratives, une tirade argumentative de l’Indien, et quelques répliques des personnages principaux. DEVOIR DE L’ELEVE Malgré sa blessure, l’Indien se relève difficilement. Il se tient

commencent à 15h. Vers 1620, une pièce commence ainsi : Un acteur prononce un prologue comique. Il s'adresse au public en improvisant, fait allusion à des évènements d'actualité, blague de façon obscène ou pas. Ensuite, représentation d'une pièce longue, une tragédie ou une tragi-comédie. Et puis, pour terminer, une Farce. (Pièce très courte en un seul acte). Le public des années 1610 est très attaché au Farce et c'est un théâtre populaire. Les décors sont assez rudimentaires. Il n'y a pas de rideau

contre la mort : elle marcha, elle détendit sa bielle, son genou de géante, comme pour se lever ; mais elle expirait, broyée, engloutie.» «la bête mauvaise, accroupie dans ce creux, gorgée de chair humaine, ne soufflait plus de son haleine grosse et longue.» ¨ l’allégorie ¨ la métonymie ¨ la personnification ᕣ Quelles sont les figures de style présentes dans cette description? «Seule, la haute cheminée de trente mètres restait debout, secouée, pareille à un mât dans l’ouragan. On croyait qu’elle

bannir pas violemment mais avec des mots durs cependant elle demande un asile, il refuse elle se colle contre la cuisse de Créon en soulevant une jambe de pantalon, il se met derrière elle pour crier, elle enlève sa perruque pour en mettre une blonde longue, elle revient comme on pourrait dire « à l'attaque » se tenir aux pieds de Créon, le caressant mais il la pousse, elle se met alors à quatre pattes devant lui, suppliante et aussitôt emportée par la fureur, tendre et brusque, d’une détermination glaciale

les termes d’analyse du discours théâtral. Voir Manuel p°52 à 55. - Réplique : - tirade : - stichomythie : - monologue : - aparté : - didascalie interne: - didascalie externe : - scène(s) d’exposition : - dénouement : - quiproquo : - péripétie : - opposant : - adjuvant : - double énonciation : Fiche 8. Les registres (2). Voir Manuel p°37. Le registre lyrique : privilégie et sublime l’expression des sentiments, états intimes de l’âme, émotions

intégrité physique· « citoyenne » = statut révolutionnaire d’abord refuser aux femmes (citoyenneté passive = constitution 1791) -> mise en valeur du bien fondée d’une participation F in politique (F = service aux autres + rédiger lois)· Transition : longue phrase = explique la place des F in société· · Mouvement 3 : « en conséquence » = connecteur -> transition ; annonce les articles de la DDFC· Périphrase « le sexe supérieur en beauté comme en courage dans les souffrances maternelles » référence

L’aubergiste devait être au cellier. Mais, malgré mon tapage, on ne se montra pas. J’étais seul, tressaillant d’attente, devant un âtre vide et inutilisé depuis bien longtemps, à en juger par les toiles d’araignées qui bouchaient la cheminée. Quant à la longue chandelle, allumée depuis peu, et soudée à une étagère, sa présence, au lieu de me rassurer, me remplit plus d’inquiétude que si je n’avais trouvé en cet endroit que la nuit et l’abandon. Tout à coup un insidieux frisson me traversa : j’étais visible

de Sophocle (vers 496-405) et d'Euripide (vers 480-406), met en évidence une évolution que Jacqueline de Romilly a résumée en ces termes : « (...) l'importance relative des deux éléments constitutifs de la tragédie - action dramatique et choeurs lyriques - s'est peu à peu modifiée, au point de se trouver inversée » (Romilly, La tragédie grecque, PUF, 1970, p. 26). - L'espace théâtral La double polarité choeur-personnages constitue l'essence même de la tragédie grecque. Elle est mise en évidence,