Une Mauvaise Loi Appliquée Rend Plus De Services Qu Une Bonne Loi Interprétée

l'examen n'est pas de réciter ce qu'on a appris. Trois objectif: 1° Acquérir une culture juridique à travers une culture politique et économique. Le droit est dans un environnement économique et politique. On ne peut savoir comment on applique une loi si on ne connait pas contexte politique et économique. En 2012, l'état du Droit est le produit de toute une histoire parfois ancienne: rapport entre église et Etat ne peuvent se comprendre si on ne connait pas passé religieux de la France par exemple;

Section II / Un gain de légalité------------------------------------------------------------- 122 7 INTRODUCTION «La loi n’exprime la volonté générale que dans le respect de la Constitution» 1. Trois ans après l’introduction du contrôle de constitutionnalité a posteriori en droit français, cette expression du Doyen Vedel n’a rien perdu de son acuité. Dans un Etat de droit, la loi trouve sa légitimité dans le fait qu’elle est l’expression de la volonté générale mais aussi dans sa conformité aux valeurs

droit (personnes) aux objets de droit (choses). Il y a différentes catégories de choses : celles corporelles et incorporelles. Les choses corporelles sont des choses matérielles, que l’on peut avoir, que l’on peut tenir. Mais dans une conception plus large, une chose peut être immatérielle, incorporelle et elle sera un bien du moment qu’elle est appropriable au sens juridique. Les biens incorporels ont une valeur économique mais pas une réalité sensible. Il tient leur existence d’une construction

terme de contrats spéciaux est ambigu. Il faut rappeler le principe du droit français des contrats qui repose sur le consensualisme et la liberté contractuelle. Les parties, en contractant, peuvent choisir de se couler dans le moule formel de la loi et adopter l’un des contrats prévus par elle. Mais la puissance des volontés individuelles est telle que les parties ont la possibilité d’imaginer des figures contractuelles originales. Les parties peuvent par exemple mélanger des types de contrats

------------------------------------------------- Droit Privé ------------------------------------------------- Introduction Section I : Définition. Le Droit Privé possède deux sens ou deux acceptions : le droit objectif ou le droit subjectif. On ne les retrouve pas dans la loi, il s’agit d’une expression doctrinale (conçues par des auteurs). Mais cette opposition est néanmoins importante. §1. Distinction entre ces Droits. * Droit objectif : Ensembles des règles destinée à organiser la vie en société. Les règles de

peut être nominative (exemple : les cendres au Panthéon, ou la nationalisation/dénationalisation d’une entreprise). B – Le caractère abstrait Lorsqu’on lit une règle de droit sans être juriste, on ne la comprend pas forcément car une règle de loi est abstraite. Les mots utilisés sont des « notions cadres » dont il faut connaître les significations. On utilise cette méthode car si les lois étaient trop précises, on oublierait inévitablement un cas ou une situation, et il faudrait en permanence

particularités attachées à certains contrats. Dans tous ces contrats, les règles juridiques se spécialisent à partir d’un tronc commun qui est le droit des obligations. On assiste donc à un phénomène de spécialisation, et du même coup, le droit devient plus technique. C’est très important du point de vue de la technique juridique. Ce mouvement de spécialisation accompagne également la structuration des milieux professionnels. Certains avocats seront spécialisés dans tel ou tel domaine. 2. Aux

Retour à l’accueil Marseille, le 17 juin 2005. Imprimer le texte UNE MAUVAISE CONSTITUTION QUI RÉVÈLE UN SECRET CANCER DE NOTRE DÉMOCRATIE Chers collègues et amis, Après six mois de réflexion intense, se cristallise une argumentation autour du "traité constitutionnel", à partir de lui mais au-delà de lui, une argumentation qui n’est ni de droite ni de gauche, et qui montre un danger historique pour nous tous, au-dessus de la politique. Pour ces raisons, cette courte argumentation devrait intéresser

supérieure à la loi. 27 A/ Refus par le Conseil constitutionnel d’opérer un contrôle de conformité des lois aux traités. 27 B/ Le contrôle de conformité de la loi aux traités internationaux est fait par le juge. 27 III. Cas particulier du droit communautaire. 27 A/ Le droit communautaire institutionnel. 27 B/ Le droit communautaire dérivé. 28 1. Définition des normes. 28 2. Place dans la hiérarchie des normes. 28 SECTION 3 : LA LOI. 30 I.

Chapitre 5 : Les sources du droit ......................................................................................... P. 17 Section préliminaire – Les systèmes de sources du droit ....................................................... P. 17 1- La loi lato sensu .................................................................................................................. P. 20 2- La coutume, les usages et la pratique ..........................................................................