Une Monnaie Forte Favorise T Elle La Croissance

ni o n é c o n om i q u e e t m o né ta i r e Les avantages du marché unique Des avantages de la monnaie unique Mais l’UEM comporte quelques inconvénients. L E BILAN DE L’ ELARGISSEMENT DE L’UE : L’E XTENSION A 27 E TATS . 1. Le s as pe c ts pos i t i fs  Les aspects politiques  D’un point de vue économique la plupart des nouveaux entrants ont connu récemment une réelle dynamique de croissance. 2.   Le s ob s t ac l e s é c o n om i q u e s Une grande diversité économique et sociale

années 1970 Intro : - représentative de l’évolution des pays industrialisés (forte croissance éco, hausse niveau de vie, forte intervention de l’Etat) - originalité : modernisation (comparable à celle de tous les pays de l’OCDE) - réorientation géopolitique : abandonne son Empire pour se tourner vers l’Europe - 2 symboles : baby-boom et guerre de productivité I- Les Trente Glorieuses : les bases de la croissance A) La reconstruction 1. Le bilan de la guerre - Aspect démographique : 600 000

produits intérieur de la production. (X+M)/ PIB. Sur le LT, on obtient l’équilibre commerciale import=export 3 limites : * Le numérateur (les exportations) quantifie une production alors que le dénominateur (PIB) quantifie une valeur ajoutée. Ceci favorise les petits pays qui ré exportent. * Le numérateur se limite se limite au seul bien alors que le dénominateur intègre des services. * L’indicateur ne prend pas en considération l’évolution des prix relatif des biens échangeables et des biens

réflexions keynésiennes, création de l’Econometric Society) * Deux interprétations : les interventionnistes, pour qui la crise est une raison majeure à l’augmentation des régulations de l’Etat, les libéraux pour qui elle est la conséquence d’une trop forte présence de l’Etat depuis 14-18 et prônent donc sa réduction. La décennie des années folles (1919-1929) 1. Les conséquences économiques de la paix L’Europe sort affaiblit politiquement et économiquement de la guerre. Conséquences éco :

La croissance économique est un objectif fondamental de toute économie. En effet, seule la croissance économique permet d’augmenter le niveau de vie, but légitime de toute société. La croissance économique est l’accroissement des richesses, mesurer par un indicateur de dimension le PIB réel corrigé de l’inflation qui masque les périodes de stagnation. Qui permet par la suit de calculer des indicateurs de structure et de progrès économique La croissance transforme les structures économiques

ce compromis fordiste a été remis en cause. En effet, malgré qu'il a montré son efficacité économique dans un 1er temps, il a rapidement présenté des limites constituant un frein à la croissance et ce à plusieurs niveaux: - Au niveau social: dès la fin des années 60, un climat de mécontentement freine la croissance de la productivité. Les conditions de travail pénibles à ce système (les ouvriers sont dépossédés de leur savoir faire), sont car ce sont les ingénieurs qui déterminent les méthodes de

mondial et la croissance économique des pays d’Asie orientale. Singapour, la Corée du Sud, Taiwan et Hong Kong, ont mis en œuvre une stratégie économique d’industrialisation rapide fondée sur l’exportation et sur la sophistication progressive de ses activités, qui a permis une croissance très rapide de l’économie. [pic] La stratégie économique d’exportation et de " remontée de filière " a donné des résultats remarquables. Quelques chiffres permettent de le mesurer : la croissance a été fulgurante

européenne poursuit dès son origine plusieurs objectifs : - Créer un espace de paix . - Créer un bloc économique faisant face aux USA et à l'URSS . - Créer un grand marché sans frontière . Plusieurs accords ont permis une intégration de plus en plus forte : a - Le traité de Rome (1957) Il institue une Communauté Économique Européenne (CEE) entre 6 payes fondateurs( France , Belgique, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, République fédérale d'Allemagne). Le traité de Rome avait un double objectif: - la

(retournement brutal de la conjoncture, point de retournement du cycle - Une phase de dépression (baisse de l’activité économique ou baisser du rythme de croissance de la P°. - Une phase de reprise Cette suite de variations est récurrente mais non périodique (pas d’intervalle régulier). Ce qui souligne l’irrégularité du processus de croissance. Le cycle est récurent : répétition de la séquence passée. Il parait ainsi intéressant de se demander, dans quelle mesure peut on parler d’un retour des

extérieurs. L’apparition d’un déficit commercial entraîne alors une dépréciation de la monnaie nationale, celle-ci étant plus offerte que demandée. Dans un système de taux de change fixes comme celui de Bretton Woods, cela obligeait la Banque centrale à utiliser ses réserves d’or et de devises pour acheter sa monnaie afin d’en soutenir le cours. Dans le contexte actuel de taux de change flottants, cette dépréciation de la monnaie augmente l’inflation par le renchérissement des importations et oblige l’Etat