Une partie de plaisir

théâtre sont des chefs d’œuvre de la littérature comme Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand composé uniquement d’alexandrins. Certains auteurs portent toute leur attention sur le choix des mots, des phrases, des rimes afin d’offrir aux lecteurs un grand plaisir à la lecture. Le texte est alors apprécié pour lui seul. Le lecteur peut à loisir faire des retours en arrière, relire ses passages préférés afin d’apprécier la qualité du texte laissé par l’auteur. Il peut même aussi se prendre au jeu de lire à

Si le travail ne vise pas l’excellence ou le libre développement de tous, finira-t-il par aboutir à la pathologie ou l’aliénation ? Du point de vue des prolétaires, le travail ne devrait pas viser l’excellence. Il devrait plutôt viser le plaisir. En tant que prolétaire, si on vise l’excellence, ça nous mènera directement à l’aliénation. Dans le présent texte, j’appuierai ma thèse à l’aide d’argument défendant ce point de vue des prolétaires. Premièrement, si le travail des prolétaires vise l’excellence

passe par la sensation. Dans le prolongement de l'atomisme de Démocrite, Epicure fonde une sagesse du plaisir basée non sur la jouissance, mais sur les plaisirs naturels et nécessaires, la maîtrise des passions, l'absence de souffrance pour le corps et l'absence de "trouble" pour l'âme (ataraxie). 1 - Indiquez le plan de l'ensemble de la lettre. Présentez clairement l'idée principale de chaque partie de cette dernière. La Lettre à Ménécée comporte 19 paragraphes. On peut départager la lettre en

Se faire plaisir : « Le plaisir est pour le corps, le bien pour l’âme. Plaisir et bien coïncident rarement », Journal intime de Sophie Tolstoï. Ce journal intime est le saisissant éclat du conflit littéraire et amoureux entre le comte Léon Tolstoï et sa comtesse, où cette dernière relate ses jours heureux en tant qu’épouse et scribe du grand auteur russe comme ses jours les plus noirs d’une femme abandonné par son mari pour mener une vie de chrétien comme il en a rêvé. Sa fugue consacre l'incroyable

concision Principe du dialogue * Socrate a une idée précise de la réponse aux questions qu’il pose, mais il veut savoir ce que Gorgias en dit (ainsi, Platon annonce en introduction de chaque segment de dialogue la « bonne » réponse) Première partie * Selon Gorgias * Rhétorique = science des discours * But de la rhétorique = produire de la persuasion * Objet de la persuasion = justice / injustice * Science ≠ croyance (selon Socrate aussi) * Aucune science

travaux de Hume entre autre, il est le fondateur de l’utilitarisme. Quels sont leur point commun et différence ? Dans une première partie, nous allons voir que l’homme pour Hume et Bentham est à la recherche du plaisir, et évite les peines. Et dans une seconde partie nous allons voir Les différences de leur système de mesure du plaisir. I - L’homme recherche le plaisir et évite les peines. A- Le sens moral chez Hume Hume est 'sensualiste', c'est-à-dire qu'il pense que le bien et le mal est

scarla miguez LUXE ET PLAISIR Nous avons tous une notion commune de ce qu’est le luxe, sans réellement pouvoir le définir. D’abord, on pense principalement à l’industrie de luxe : la haute couture, la mode, les parfums, l’art. Ensuite nous pensons au faste, à l’abondance, l’excès même, la débauche et la luxure. Tous ces mots se réfèrent à la consommation excessive de biens non nécessaires, de plaisirs matériels infinis, à la jouissance permanente. Cependant, on parle aussi de « s’offrir le

rapportée au sujet, et non à l'objet. Dans les jugements des sens (ceci m'apparaît rouge, j'entends un bruit), la représentation est rapportée aux seules facultés de connaître du sujet. Dans les jugements de goût, elle est rapportée aux sentiments de plaisir et déplaisir du sujet. Le beau et le sublime plaisent en eux-mêmes, comme l'agréable et le bon. Les jugements de goût s'opposent ainsi aux jugements logiques qui eux sont des jugements constitués connaissances (2+2=4, tout changement a une cause)

 Est-ce qu’on devrait se gouverner sois même? Ceci arrive quand la partie de notre âme nommée la raison contrôle l’autre partie nommée la passion. Cette question est problématique, car les deux réponses possibles à la question peuvent avoir du sens. D’un bort, il y a les cyrénaïques et Calliclès, ceux-ci pensent qu’il est mieux de vivre en intempérant et de vivre en réalisant le plus de plaisir possible. De l’autre, il y a Socrate qui pense que se gouverner sois même amène à l’harmonie de l’âme

souffrance mais peut-être au contraire un certain plaisir… Alors, désirer, est-ce nécessairement souffrir ? Doit-on se dire que le simple fait de penser que l’on peut désirer sans souffrance est une idée des plus naïves ? Quelle est alors, la relation exacte entre le désir et la souffrance ? Dans quelle mesure, la pensée intervient-elle dans ce phénomène ? Est-il possible de dépasser la souffrance, profiter du désir comme d’un plaisir intellectuel ? Ou bien l’être humain en est-il tout