Une Problématique Du Discours De M Debré

de restaurer l’autorité de l’Exécutif, écrasé par le poids du Parlement sous les IIIe et IVe Républiques · Contexte particulier avec la crise algérienne mène de Gaulle au pouvoir. · Rédaction d’une nouvelle Constitution par de Gaulle aux côtés de Debré, celle-ci accorde plus de pouvoirs au président. Le texte de 1958 est un texte de compromis entre un général de Gaulle qui veut un Président fort et des ministres d’Etat qui veulent un gouvernement fort · Pouvoirs partagés : pouvoir dont la mise en

souveraine=le droit de vote du budget=négociation des députés et du congrès. La chambre des représentants peut remettre en cause la responsabilité pénale du président qui peut entrainer sa destitution. Le chef d'etat américain=discours sur l'Etat de l'union, lorsqu’il prononce le discours, il fixe le cap sur l'année, il influe sur le cap du congrès. La cour suprême, les membres sont désignés par l'executif, mais sont autorisés par le congrès. =Moyens de collaboration limités. ---------------------------

république notamment par André Tardieu, homme politique de droite. Il veut : - renforcer les pouvoirs du président - rééquilibrer les pouvoirs - introduire le referendum - introduire le vote des femmes Le 16 juin 1946, dans le discours de Bayeux, De Gaulle présente ses idées constitutionnelles. Thème : Unité nationale Thématique du renforcement de l’état. 3 idées : - Un intérêt supérieur de la nation. De gaulle n’admet pas que cela soit remis en cause par les partis

nature. » Mais l’accroissement du savoir et du pouvoir sur les choses suffit-il à rendre l’homme meilleur ? « Il n’y a point de vrai progrès de raison parce que tout ce qu’on gagne d’un coté on le perd de l’autre » remarquait déjà Rousseau dans son Discours sur les sciences et les arts. Les atrocités du XXième siècle nous amènent à nous poser sérieusement la question. A coté de la sphère purement technique (qui englobe aussi bien les transports, l’information que la médecine), il nous faut reconnaître

l’échec du premier projet de Constitution élaboré par l’Assemblée Constituante. Le 2 juin 1946, élection d’une nouvelle assemblée avec un rapporteur qui change, avec une volonté de compromis et de recentrage. Le 16 juin 1946, De Gaulle prononce le « Discours de Bayeux ». C’est une critique vigoureuse de ce que proposait l’assemblée et c’est l’exposé de thèses constitutionnelles qui ne triompheront qu’en 1958. Pour De Gaulle il faut doter la France d’un Etat fort, d’un exécutif stable et puissant s’agissant

contexte constitutionnel * ensuite on fait une problématisation. On part de la question que se pose l’auteur, on explique la réponse qu’il apporte et c’est à partir de cette réponse qu’on va formuler une nouvelle problématique * enfin on annonce le plan qui découle de la problématique Tous les titres doivent être qualifiés (lorsqu’on annonce le plan, on annonce seulement I et II pas A et B). Ne pas oublier la parallélisme du plan et surtout pas de verbes conjugués. L’avènement de la Vème

usage fréquent. Nous nous sommes donc demandé si la population française est pour ou contre le rétablissement du service militaire. Pour répondre à cette problématique nous commencerons par étudier l’historique et quelques lois du service militaire. Puis nous établirons les sondages qui sont favorables au service militaire ainsi que les discours politiques. Enfin nous analyserons les sondages montrant la réponse négative des français fasse au rétablissement du service militaire. I/ historique et

DRÔLE DE COURS Yasser Karami & Hugo Nicolle Le président de la république Introduction: - « Tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser » écrivait l’auteur de L’esprit des lois Montesquieu. « Président soleil », métaphore de l’astre lors du discours d’Epinal du 12 Juillet 2007. Le président de la république est la dénomination en régime républicain de la fonction de chef de l’état. - Qu’Est-ce que présider ? En France, c’est le 4 Novembre 1848 que la présidence de la république a été instituée

Jules Grévy, deuxième président de la IIIème république, qui va avoir une grande influence sur la IIIème république. 3. Les conséquences de la crise du 16 mai 1877 Grévy, élu le 30 janvier 1879, et quelques jours plus tard, il prononce un discours : « Je n’entrerais jamais en lutte contre la volonté nationale exprimé par ses organes constitutionnelles ». Il parle de la chambre des députés. Cela signifie que Jules Grévy renonce à utiliser son droit de dissolution, qui est à ce moment-là totalement

scrutinCertains hommes politiques préconisent la fin du mode de scrutin proportionnel et l’avènement du mode de scrutin majoritaire[footnoteRef:10], qui rend en principe plus facile la constitution d’une majorité parlementaire nette et donc stable. Michel Debré, par exemple, est favorable à l’introduction du scrutin uninominal majoritaire à un tour[footnoteRef:11], pour réduire le nombre de partis représentés à l’Assemblée nationale. Il estime que cette réforme permettrait d’aboutir un jour à la formation