Une Theorie Scientifique Peut Elle Etre Fausse

et la lettre…………………………………………………………… 9 Modèle explicatif scientifique……………………………………………………. 11 Définition…………………………………………………………………….... 11 L’unité des sciences…………………………………………………………. 12 La connaissance scientifique………………………………………………. 13 -La raison scientifique…………………………………………………….. 14 -La falsifiabilité de Popper………………………………………………... 15 Comparaison des modèles explicatifs mythologique et scientifique……. 18 Organisation du mythe……………………………………………………… 18

titre indicatif, j’ai préféré tenter de donner une dynamique à l’exposé plutôt que de m’attacher trop rigoureusement à la méthode. Analyse épistémique de la situation de Wegener : questions posées, théories disponibles, faits connus ; dégager les arguments pour et contre chacune des théories Avant Wegener deux thèses s’opposent Le modèle contractionniste : Suess en étudiant les zones montagneuses de la planète va penser l’existence de mouvements verticaux et horizontaux importants. Les

I-L'expérience, juge de la théorie ? a-La Théorie: une vue de l'esprit ? Chez Platon, théorie veut dire " vue de l'esprit". Une vue de l'esprit manque de réalité tant qu'elle n'a pas été confrontée à l'expérience, et c'est le plus souvent avec méfiance qu'on qualifie de "théoriques" des idées trop éloignées des faits ou du vécu. La théorie de l'esprit est la capacité de prendre en compte le point de vue d'autrui qui peut parfois être différent du notre. Nos sens et notre esprit accueillent des

initialement admise comme telle ou à exiger de celui qui est " sûr et certain " qu'il donne des garanties de sa certitude. Donc, on peut se demander ce que signifie "douter de tout" ? Cela consiste à remettre en cause toutes nos certitudes quelque soit le domaine, c'est à dire à nier l'ensemble de nos connaissances, sauf ce qui s'exprime si clairement que l'on ne peut en douter, autrement dit : l'évidence. Le doute total et radical est-il possible comme le pensent les Sceptiques ? Certains arguments

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- INTRODUCTION  Le développement de toute discipline est fonction de son objet, ses hypothèses, ses conclusions et de la structure formelle de ses théories. La philosophie des sciences fait distinction entre différents types de raisonnements dont le vérificationnisme, apparu au début du XIX siècle, sur la base des travaux de certains économistes classiques visant la protection de l’économie, jeune science

raison definit l'homme. Pour les empiristes comme Magendi, "Les faits bien obseves valent mieux que toutes les hypotheses du monde", selon lui, il suffit de bien voir, bien observer pour etre sur de ce qu'on a vu. Pourtant il oublie que la seule observation reste neutre. Une observaton induit necessairement l'idee. PS: -les sensualistes :

origines historiques de la science b\ Les origines causales de la science 2\ Evolution de la science a\ Etat préscientifique b\ Etat scientifique c\ L’Ere du nouvel esprit scientifique II\ Les caractéristiques de la science 1\ La fonction de l’expérience 2\ Une théorie n’est scientifique que si elle est réfutable 3\ L’universalité de la méthode scientifique Conclusion Introduction L’époque moderne tient la science en haut estime. La croyance que la science et ses méthodes ont quelque

l'expérience nous apprends davantage que la théorie. En effet, on relègue fréquemment la théorie et la la pensée aux rang de connaissances générales et inutiles, parfois même inapplicables ou encore contredites par les faits. Cependant, il semble que, parfois, que l'homme ne puisse se contenter d'un savoir pratique ou utile et que sa pensée aspire alors à une forme plus élevée de connaissance, laquelle ne pourrait nous être enseignée que par la théorie. Est-il dès lors vraiment possible d'affirmer

nous amène vers l'idée que les apparences peuvent être trompeuses, illusoires, et qu'il faut s'interroger. C'est le début du doute. En effet le doute est une démarche liée à la volonté de connaître. C'est une interrogation, et donc elle montre ainsi la présence d'une intelligence qui questionne; cela nous permet de dire que le doute est une démarche positive, le début d'un dépassement, celui de la naïveté. Cependant aucune connaissance ne peut être fertile, si elle ne s'appuie pas sur des certitudes

intellectuelles) ; vérités qui si elles se veulent universelles, ne pourraient être réfutées par des théories passées ou futures. Mais cette théorie ne connaît-elle pas des limites ? La singularité et la continuité de l'homme sont-elles vraiment un rempart à son élaboration de vérités universelles ? Dans un premier temps, nous verrons en quoi le fait qu'un homme est unique et qu'il a conscience qu'il restera comme tel peut être un frein à l'établissement par lui de vérités universelles, puis nous étudierons