Une Vieille épée

monologue de tragédie Acte IV, scène 1 Bérénice S4 : Un dénouement tragique : Phèdre Le comique Les ressorts et formes du comique Texte support : Tartuffe Acte I scène 4 L’Avare, Molière Acte 1, scène 3, 1668 Harpagon, vieil avare, soupçonne son valet la Flèche de vol. HARPAGON .- Attends, ne m’emportes-tu rien ? LA FLECHE .- Que vous emporterais-je ? HARPAGON. - Viens çà, que je voie. Montre-moi tes mains. LA FLECHE. - Les voilà. HARPAGON. - Les autres. LA FLECHE

d'entraînement, et de préparation à l'armée allemande. L'Espagne de la guerre civile est une étape essentielle de la marche à la guerre. Le camp nationaliste se rallie immédiatement les garnisons d'Andalousie, de Galice, des Asturies, de la Navarre, et de la vieille Castille. Par contre Madrid et Barcelone constituent tout de suite le cœur de la résistance républicaine. Le pays Basque forme le front nord d'opposition aux franquistes. Au printemps 1937 le général Emilio Mola, principal chef militaire franquiste

historique en cinq actes abordant les thèmes de l’honnêteté, de l’identité et de la sincérité à travers la progression de la double personnalité de Lorenzo, personnage principal de l’œuvre de Musset. Dans l’acte III, scène 3, Lorenzo se confie à un vieil ami, Philippe Strozzi, sur ses deux facettes antagonistes qui l’effrayent. Tourmenté, il lui dévoile ses plans machiavéliques en réflexion. Dans ses monologues, Lorenzo prend conscience de ses actes et de l’évolution de son état psychique. Cette pièce

père en Colchide et, (selon une tradition, descendit aux Champs-Élysées, où elle s'unit à Achille.) Ariane est belle, jeune, elle porte le nom d’Auble, celui-ci vient d’une des plus grandes familles nobles genevoises, dont elle fait partie, avec son vieil oncle. Elle a pour époux Adrien Deume, gentil petit bourgeois fonctionnaire. Malheureusement, elle mène à ses côtés une vie qui l’ennuie, car elle ne l'aime pas, et assume sa solitude avec courage...    Solal, juif séducteur, ironique, grand prince

d'alfred de musset, Les caprices de Marianne. Texte: Texte B : Alfred de MUSSET, Les Caprices de Marianne, Acte I, scène 1, 1833. ACTE I, scène 1 Une rue devant la maison de Claudio MARIANNE, sort de chez elle, un livre de messe à la main. CIUTA, une vieille femme, l'aborde. CIUTA. – Ma belle dame, puis-je vous dire un mot ? MARIANNE. – Que me voulez-vous ? CIUTA. – Un jeune homme de cette ville est éperdument amoureux de vous ; depuis un mois entier, il cherche vainement l'occasion de vous l'apprendre

maison). – Faites briller mon bouclier ; que son éclat soit plus resplendissant que les rayons du soleil dans le ciel pur. Il faut, quand besoin en sera, dans le feu de la mêlée, que l’éclat de ses feux éblouisse les regards de l’ennemi. Et toi, ma chère épée, console-toi, cesse de te lamenter, et ne perds point courage, s’il y a trop longtemps que je te porte oisive à mon côté, tandis que tu meurs d’envie de faire un hachis de nos adversaires. – mais où est Artotrogus ? Est-il là ? ARTOTROGUS.- Il est

peintre d'Édimbourg, v. 500 av. J.-C., Musée national archéologique d'Athènes Égée, qui doit repartir pour Athènes, n'assista pas à sa naissance mais il recommande à Éthra de l'élever selon les normes de son rang. Il dépose, sous un rocher, une épée et des sandales d'or, insignes royaux qui lui dévoileraient le secret de sa naissance le jour où il pourrait soulever la roche. Enfant précoce et vigoureux, Thésée a aussi reçu en partage la séduction, la ruse et le courage. Émerveillée par tant de

saints. L'alfaqui se servait de ce calice pour boire du sorbet à la neige. Je le surpris dans sa tente comme il portait à ses lèvres le vase sacré. Avant qu'il eût dit : «Allah! >> pendant que le breuvage était encore dans sa gorge, de cette bonne épée je frappai la tête rasée de ce chien, et la lame y entra jusqu'aux dents. Pour rappeler cette sainte vengeance, le roi m'a permis de porter un calice d'or dans mes armes. Je te dis cela, Juanito, pour que tu le racontes à tes enfants et qu'ils

combattre pour la franchise de ce pays ? » Les barons se regardaient entre eux à la dérobée, puis baissaient la tête. Celui-ci se disait : « Vois, malheureux, la stature du Morholt d’Irlande : il est plus fort que quatre hommes robustes. Regarde son épée : ne sais-tu point que par sortilège elle a fait voler la tête des plus hardis champions, depuis tant d’années que le roi d’Irlande envoie ce géant porter ses défis par les terres vassales ? Chétif, veux-tu chercher la mort ? À quoi bon tenter Dieu 

nombreuses versions de cette légende ont existé, plusieurs d’entre elles ont disparu mais d’autres sont parvenu jusqu’à notre époque et ont permis à des auteurs tel comme Joseph Bédier ; grâce à des fragments du mythe ; de reconstituer et réécrire la vieille légende dans son intégralité. C’est ainsi que ces ouvrages sont aujourd’hui devenu les textes de référence de l’histoire de Tristan et Iseult aux yeux de la littérature. Le mythe de Tristan et Iseult est l’un des plus fascinants mythes occidental