Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola

independência de Angola. Houve conflitos armados nos quais se destacaram o MPLA (Movimento Popular de Libertação de Angola) fundado em 1956, a FNLA (Frente Nacional de Libertação de Angola) fundada em 1961 e a UNITA (União Nacional para a Independência Total de Angola), fundada em 1966. Depois de longos confrontos, o país alcançou a independência em 11 de novembro de 1975. Riquezas Angola possui uma grande diversidade de recursos naturais. Estima-se que seu subsolo tenha 35 dos 45 minerais mais importantes

d'indépendance de l'Angola Guerre civile angolaise | modifier | Jonas Malheiro Savimbi (1934-2002) était un chef nationaliste angolais. Il est né dans la province de Moxico et issu de l’ethnie ovimbundu. Il a été le fondateur du mouvement politique et militaire angolais, l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (União Nacional para a Independência Total de Angola, UNITA), créée en 1966 pour se joindre à la Frente Nacional de Libertação de Angola (Front National pour la Libération

Présentation de la crise Le processus de décolonisation de l’Angola et du Mozambique fût enclenché bien après la « vague décolonisatrice ». Différents mouvements nationalistes se crée dans les années 50/60 : FNLA (front de libération national Angolais) MPLA (mouvement des populations de libération de l’Angola) Unita (union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola) FRELIMO (front de libération de Mozambique) RENAMO (résistance national Mozambique) Le Portugal (à l’inverse des autres puissances

un mois plus tard, annonce que la guerre est finie en Angola. 13 novembre 1996 : le Parlement supprime le poste de vice-président après le refus de Savimbi de l’occuper. 11 avril 1997 : formation d’un gouvernement d’unité et de réconciliation nationale associant le MPLA et l’Unita. Savimbi refuse un rôle dans le nouveau gouvernement. 30 octobre 1997 : le Conseil de Sécurité de l’ONU impose des sanctions à l’Unita pour non respect du cessez-le-feu. 1998 : le gouvernement appuie la formation

décolonisation africaine. Or, les processus d’accession à l’indépendance n’ont pas été uniformes: certains Etats sous protectorats comme l’Egypte, le Maroc et la Tunisie disposaient déjà de structures institutionnelles, d’autres pays autonomes d’Afrique noire ont accédé à l’indépendance après une période transitoire (politique britannique), au contraire certains Etats sont passés brutalement du statut de territoire à la souveraineté nationale ce qui ne sera pas sans conséquences par la suite.

de 1848 a instauré le régime présidentiel qui s'est achevé par un coup d'état de Napoléon Bonaparte en 1851. Un exemple de pays où il y a un régime présidentiel sans premier ministre: la République d'Angola. L'Angola est un pays du sud-ouest de l'Afrique dont la capital est Luanda. L'Angola est divisé en 18 provinces. C'est le 2ème pays lusophone (portugais) par son étendu et 3ème par sa population. La République d'Angola est un producteur de matières premières notament des hydocarbures et des pierres

propres états, aussi bien que la sauvegarde de leurs coutumes indigènes. Les établissements qui ont soutenu la cause ont inclus Société de protection des droits des aborigènes dans Côte d'or (fondé 1897), Le congrès national africain dans L'Afrique du Sud (1912) et le congrès national de l'Afrique occidentale (1920). L'Afrique est un vaste continent, s'élevant à presque 30.000.000 kilomètres carrés ; en effet, il est aussi grand que LES Etats-Unis,L'Europe, L'Inde et La Chine tous ont remonté. Sa

mode de brut. Sur les routes de l’or noir, Seuil, 2003 Alain Dubresson, Jean-Pierre Raison, l’Afrique subsaharienne, Armand Colin, 2003 Marie Françoise Durand, Jacques Lévy, Denis Retaillé, Le monde, Espaces et systèmes, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques & Dalloz, 1993 Maryse Fabriès-Verfaillie, L’Afrique du Nord et le Moyen-orient dans le nouvel espace mondial, PUF, 1998 Michel Foucher, Fronts et frontières, un tour du monde géopolitique, Fayard, 1991 Georges Mutin, L’eau

géopolitique africaine 1 la géopolitique africaine Jean-François ORRU 2, Rémi PELON 3, Philippe GENTILHOMME 4 INTRODUCTION L’expression « diamants du sang » renvoie au rôle majeur qui est attribué au diamant dans les guerres qui ont meurtri l’Angola, le Liberia, la Sierra Leone et la République Démocratique du Congo (RDC), principalement dans les années 1990-2000. Les diamants sont essentiels pour bien des économies africaines et représentent toujours un enjeu majeur dans les luttes de pouvoir

l’opposition armée angolaise de l’UNITA (Union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola) des facilités à la fois militaires (bases arrières) et financières (trafic du diamant angolais). Ce contexte régional extrêmement instable, dont le Zaïre apparaissait pour ses voisins comme l’épicentre, a donc favorisé l’émergence d’une coalition informelle contre Mobutu réunissant, à travers des intérêts convergents, le Rwanda, l’Ouganda, le Burundi, la Tanzanie, l’Angola, la Zambie, le Zimbabwe et l’Afrique