Unité de consultation et de soins ambulatoires

Sommaire Présentation de l’Unité de Chirurgie Ambulatoire  Les recommandations nationales et le cadre réglementaire Sa charte de fonctionnement Le personnel Préalablement à votre entrée La consultation de chirurgie  La consultation d’anesthésie (si besoin) Les documents d’information et de consentement La pré-admission L’entretien téléphonique préalable  Votre entrée à l’UCA Votre accueil au sein de l’unité Votre installation Votre prise en charge au bloc opératoire

I. LA PSYCHIATRIE AUJOURD’HUI ET SON EVOLUTION RÉCENTE : Pour répondre aux besoins dans le domaine de la santé mentale, l’offre de soins en psychiatrie évolue. En effet, la psychiatrie constitue une spécialité médicale ayant pour vocation de traiter des pathologies mentales, son champ s’étend du diagnostic au traitement, en passant par la prévention des troubles mentaux. Le concept de « discipline carrefour » est souvent utilisé pour rendre compte de l’étendue du champ de la psychiatrie, qui est

réanimation néonatale Création d’un centre de cardiologie interventionnelle 2004 : Création d’un centre chirurgie ambulatoire et de consultations. 2005 : Démarche qualité. Rénovation de l’ensemble des structures hôtelières et sanitaires 1.3 Capacité de la clinique -La clinique DAR SALAM compte 90 lits de chirurgie, de médecine d’unité soins intensifs et de réanimation. - La clinique dispose d’un plateau médico-chirurgical important, doté d’outils de diagnostic et de traitement

_ En consultation et traitement ambulatoire _ En hospitalisation. Le service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent comporte: une consultation recevant du lundi au vendredi Trois unités d’hospitalisation de jour Quatre unités de soins comprenant 50 places d’hospitalisation en temps plein et en se répartissant comme suit : UNITE DE SOINS SIMON Unité de soins intensifs pouvant accueillir 6 adolescents en grande difficultés en grande difficulté UNITE DE SOINS ITARD Unité de soins

expliquer les conditions biomécaniques, ergonomiques et fonctionnelles du patient et adapter la prise en charge. - Formuler les objectifs de soins et les moyens à mettre en oeuvre. Ceci comprend les séances avec le kinésithérapeute et l'autonomisation de la personne (exercices d'entretien, hygiène fonctionnelle,…). - Maîtriser les techniques de prévention, de soins ou de réadaptation utiles à la personne. - Évaluer en permanence l'adéquation de la prise en charge et du traitement. - Adapter en permanence

| Rapport d’évaluation des besoins en soins de suite d’alcoologie de la région Ile-de-France Version finale – août 2004 ___________________________________ Coordinateur : Dr Blandine PICON – DRASSIF Co-coordinateur : Dr Jeannick DEVORT – DDASS 95 Sommaire Introduction 3 1 Place des soins de suite dans le dispositif actuel de prise en charge des patients en difficulté avec l’alcool 7 1.1 Missions des établissements de soins de suite ou postcure d’alcoologie 7 1.2 Organisation

séjour 36 10 8 9 Organisation 27 des circuits et structures adaptées 31 Seuil Potentiel Structure 34 Centres "spécialisés" "Fast tracking" 33 Bloc opératoire dédié/partagé isation an Abécédaire or Chirurgie ambulatoire pratiq ues g Edition janvier 2009 églementation r Focus Objectifs Usages Mésusages 52 59 60 61 Impacts des incitatifs Effets pervers 63 65 Médecins Etablissement 16 17 15 citati - France - Directive Eu.

service d’urgence avec 9 salles de soins dont une salle de déchoquage* et 8 lits d’Hospitalisation de Très Courte Durée (lits-portes), * 81 lits d’hospitalisation en chirurgie dont 8 places en Unité de, Surveillance Continue (U.S.C.) * 21 places de chirurgie ambulatoire, * 20 lits et places de médecine à orientation  oncologique* (chimiothérapie ambulatoire et hospitalisation), * 27 lits de médecine polyvalente, * 5 lits identifiés de soins palliatifs. 10 salles d'opération

2) Le personnel 3) L’obtention d’une consultation 4) Le placement en SMPR II – Les limites …....………………………………………………………………………………. p.7 Conclusion …..……………………………………………………………………………………. p.8 Bibliographie …..…………………………………………………………………………………. p.9 Annexe …..………………………………………………………………………………....……. p.10 2/11 Introduction A l'origine de ce dossier, nous nous sommes intéressées à l'hôpital dans la prison, c'est-à-dire au fonctionnement de la prise en charge des soins en milieu fermé. Puis, nous avons décidé

protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge » réforme la loi du 27 juin 1990. Elle introduit la notion de soins psychiatriques sans consentement qui concernent près de 70 000 patients chaque année. GARANTIR PLUS DE SOUPLESSE Cette loi vient modifier la terminologie des modes de prises en charges. Ainsi le terme « hospitalisation sous contrainte » est remplacé par le « régime de soins sans consentement ». Cette évolution laisse la