Universalisme Socrate

préférer subir l’injustice que la commettre (pb de la loi injuste) : tel est le choix de Socrate dans le Criton. Cependant : 2. les lois et les coutumes d’un pays donné suffisent-elles à déterminer la justice en soi (pb du relativisme et de l’universel) ? 3 La conformité et l’obéissance aux lois et aux coutumes suffisent-elles (pb du jugement et de la bonté) ? Valeur des lois et des coutumes. Œdipe Antigone et Socrate. a. La justice est d’abord un ordre qui repose sur des conventions. Obéir aux lois et

préférer subir l’injustice que la commettre (pb de la loi injuste) : tel est le choix de Socrate dans le Criton. Cependant : 2. les lois et les coutumes d’un pays donné suffisent-elles à déterminer la justice en soi (pb du relativisme et de l’universel) ? 3 La conformité et l’obéissance aux lois et aux coutumes suffisent-elles (pb du jugement et de la bonté) ? Valeur des lois et des coutumes. Œdipe Antigone et Socrate. a. La justice est d’abord un ordre qui repose sur des conventions. Obéir aux lois

ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste ». Toute justice humaine donc injuste ; il lui suffit d’être humaine. Elle n’est que « lois et coutumes de son pays » et, de surcroît, droit du plus fort. Universalisme et cosmopolitisme : C’est pourquoi les philosophes des Lumières, reprenant le modèle d’un pouvoir philosophe, exigeront une formule universelle et rationnelle des critères du juste. Ce sera la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Celle-ci

que ce n'est pas la représentation du monde qui me procurera du plaisir, de la curiosité, mais la raison du fini dans l'exécution, de la couleur ou autre. Socrate disait à Hippias: « Il te demande, non pas ce qui est beau, mais ce que c'est que le beau » (« Hippias majeur », Platon). Pour Hippias, qui incarne l'homme têtu dans l'œuvre et Socrate le sage, ce qu'il peut appelé beau, ce sont les jolies filles, les choses agréables à voir Mais le beau de l'art, n'est pas le même, on peut dire que c'est

|Temps Modernes | | | | |Universalisme : |Individualisme : | |C’est une vision très large, universel : les pensées des gens |Mouvement individualiste contrairement à l’universalisme

réunit et autour de laquelle ils peuvent œuvrer ensemble. Ces concepts doivent soulager la conscience de l'Homme et protéger ses droits. Au contraire, une société close est une société repliée sur elle même. Elle ne pense pas à l'Homme dans son universalisme mais l'Homme comme séparé. La société close se réfère à une mythologie confuse pour renforcer un sentiment d'identité national, elle peut être conservatrice. Les sociétés ouvertes, elles, se retrouvent dans les théories libérales. _ La société

allant jusqu’au sacrifice de la vie, mm si la loi est injuste (cf. Socrate).   Les Grecs sont des grands scientifiques : géométrie (Pythagore, Thalès, Euclide), médecine (Hippocrate) [symptômes, diagnostic, thérapeutique], peinture, architecture, sculpture (Myron et son discobole, Phidias et son aurige vainqueur, Praxitèle et son Hermès). Cf. ouvrage d’Elie Faure en 1909 = la sculpture aurait engendré la philosophie et Socrate qui était sculpteur. Elie Faure croît que le paysage de la Grèce, la

Introduction aux grands courants de la philosophie (Marianne Sluszny) Ce syllabus a été revu partiellement cette année. Rédigé et revu cette année : Le cours 1 : Introduction. Le cours 2 : Les présocratiques Le cours 3 : Socrate et Platon Le cours 7 : Descartes Les cours 8 et 9 : Les Lumières Philosophiques Le cours 10 : Hegel Non revu cette année mais ok : Le cours 11 : Marx Le cours 12 : Nietzsche. Attention donc : imprécisions, explications insuffisantes ou changement dans l’exposé cette année

dialectique ce qui va devenir au moyen-âge le trivium (les trois voies). a) l'étude du langage et l'invention du concept. C'est un apport fondamental de la Grèce. Pour qu'une pensée soit précise, il faut s'entendre sur les concepts. Les grecques, Socrate en particulier ont inventé le concept, ce qui va devenir la catégorie juridique. Max Weber a écrit " ce furent les grecques qui les premiers surent utiliser cet instrument qui permettrait de coincer quelqu'un dans l'étau de la logique de telle

politique à proprement parlé. En revanche, c'est à la philosophie que se voyait confier le rôle d'être la science du gouvernement politique, pour les Grecs, politique et morale étant quasiment synonyme ou en tout cas intrinsèquement lié. Ainsi pour Socrate (469-399 av JC) la politique est même d'abord un art, elle un art comme la médecine, la guerre et l'architecture sont des arts. La politique est donc comme tous les arts, elle doit être l'affaire des plus talentueux mais aussi l'affaire des meilleurs