Universalisme Socrate

Pourquoi le juste (Socrate, son maître) est-il condamné à mort ? Pourquoi la cité est-elle sens dessus dessous ? Ce sont là des questions auxquelles Platon, grand philosophe grecque de l’Antiquité, a tenté de répondre durant toute son existence. Pour lui, tous les malheurs de l’individu et le manque d’éthique dans la cité viennent d’une mauvaise organisation politique et par conséquent de mauvais régimes. Aujourd’hui comme hier, nous sommes dans un monde où les vices ont pris des proportions

athénienne à tel point que des critiques le qualifient de démagogue[2]. Socrate (en grec Σωκράτης / Sōkrátēs) est un philosophe de la Grèce antique (-470 à -399), considéré comme l’un des inventeurs de la philosophie morale et politique. Il n’a laissé aucune œuvre écrite ; sa philosophie s’est transmise par l’intermédiaire de témoignages indirects (en particulier par les écrits de ses disciples Platon et Xénophon). Socrate naquit en 470 av. J.-C. (troisième année de la 77e olympiade), à la fin des

d’une exigence de la vérité. Penser par soi-même, donc librement n’est donc pas possible sans utiliser un certain nombre de critère. Pour penser librement, il faut donc des règles. Pour parvenir à cette liberté, il nous faut donc certains outils. Socrate utilise la logique avec le principe de non contradiction, ainsi on peut déceler les raisonnements malhonnêtes. Il faut aussi tenter d’acquérir une certaine méthode : selon Descartes, penser librement et suivre des règles n’est pas contradictoire

Les Lois (en grec : Νόμοι) sont le dernier dialogue de Platon. C'est aussi le plus long et le seul où Socrate n'apparaît pas. Il traite, tout comme la République, de philosophie politique et touche au problème de la meilleure constitution politique. Comme dans la République, Platon vise dans les Lois la constitution de la cité la meilleure possible en prenant pour modèle le juste selon les dieux. Dans les deux cas, ce modèle est l'image que les dirigeants doivent suivre pour unifier une cité et la

108. - Socrate et Glaucon se demandent dans quelle sorte de biens placer la justice. 1) [357 cd] Glaucon, distingue trois sortes de biens : - ceux que l'on recherche pour eux-mêmes (joie et plaisirs inoffensifs) ; - ceux que l'on recherche pour eux-mêmes et leurs conséquences (bon sens, vue, santé) ; - ceux que l'on recherche pour leurs conséquences seulement (gymnastique, médecine, professions lucratives, etc.). 2) [357d-358e] Où placer la justice ? demande Glaucon à Socrate. Socrate : dans les

Notamment, les cultures sont différentes. II- Critique de l’humanisme philosophique et antithèse relativiste Diogène de Sinope dit aussi le « cynique » (413-327 av JC) → disciple de Socrate, s’apparente au courant cynique (ceux qui s’appellent « les cyniques » sont issus du courant de pensée de Socrate), cynique = employé comme synonyme de ‘méchant’ dans le langage courant → consiste à se moquer le + souvent en dérision les valeurs de la morale. A commencer par l’homme lui-même. En rapport

Platon est un philosophe grec. Il est connu pour ses récits sur Socrate. L’extrait que je vais tenter de vous expliquer provient du livre La République, et plus particulièrement dans le livre VII où il est question de la célèbre allégorie de la caverne. Pour cela Platon met ici en scène un discours entre le très connu Socrate et Glaucon. L’allégorie de la caverne est une représentation imagée de notre monde « réel », « visible ». La condition de prisonnier est en réalité celle de l’homme qui « ne

enrichi. » (La Bruyère, Caractères, fragment 15) - Le raisonnement par déduction part d'idées générales pour aboutir à une conclusion particulière. [La forme la plus usitée est le syllogisme. Les hommes sont mortels (prémisse 1), Socrate est un homme (prémisse 2). Donc Socrate est mortel (conclusion particulière).] - La concession consiste à accepter une partie de la thèse de l'adversaire pour donner davantage de force aux réfutations, aux objections et à sa propre thèse. - La réfutation apporte

Socrate, père de la philosophie, fait face à un procès vers l’âge de 70 ans, près de l’an -399. Il est accusé de plusieurs choses et finalement condamné à mort. Était-il juste de lui infligé cette sentence? D’un côté, ses accusateurs avec leurs arguments en faveur de la mort de Socrate. De l’autre côté, Socrate qui se défend et explique son opinion face à ses accusations. Selon moi, il est innocent, mais cette opinion ne faisait pas l’unanimité à cette époque. Tout d’abord, lors de son procès

utilisent des préjugés comme arguments lors d’une dispute, mène forcement à des révélations fausses car tout le développement est erroné. Ce fut le cas en -399 avant J-C, lors du procès de Socrate. Où les chefs-d’ accusations furent bases sur de simple préjugés. Ce qui conduit le jury à juger coupable Socrate, malgré son innocence. « La mauvaise foi est l’âme de la discussion. » Nestor Roqueplan a voulu nous montrer à l’aide de cette citation extraite des nouvelles à la main, que les mensonges sont