Universalisme Socrate

entre Socrate, Menon ( un ami de Socrate), un esclave de Menon et Anytos. Menon engage la conversation avec Socrate par une question sur laquelle tourne tout le dialogue. L’ouvrage est une réponse à : Menon : « Me dirais-tu bien, Socrate, si la vertu peut s’enseigner, ou si elle ne le peut pas et ne s’acquiert que par la pratique ; ou enfin si elle ne dépend ni de la pratique ni de l’enseignement, et si elle se trouve dans les hommes naturellement ; ou de quelque autre manière ? » Socrate lui-même

Menon de Platon est essentielement un dialogue dans lequel Menon et Socrate s'exprime afin de trouver une définition portant sur la vertue. Autrement dit ils cherchent a savoir de quelle maniere elle peut etre obtenue ou bien expliquée . Il tentent de trouver sa nature veritable pour savoir si elle peut être enseignée ou non. Le dialogue est dans un premier temps l'interrogation même de l'essence de la vertue. Par la suite Socrate et Menon examinent la question de fond en comble , c'est a dire d'une

c'est un philosophe grec né vers 427 av JC à Athènes et est mort dans cette même ville vers 346 av JC, il reprend le travail philosophique de certains de ses prédécesseur comme Socrate, Héraclite ou encore Pythagore, Aristote fut son élève. Dans Les Lois, Platon réalise son dernier dialogue, le plus long et le seul où Socrate n'apparait pas. Cette œuvre s'inscrit dans la dernière des trois parties de l'ouvrage de cet auteur : les dialogues de la vieillesse. Dans ce texte, Platon décrit la Cité idéale

pour surmonter ce stade. Platon raconte en effet que Socrate allait interroger différents individus, pour les questionner sur ce qu'était le courage ou la beauté pour eux. Ces individus auraient alors répondu par des opinions qu'ils affirmaient comme des vérités et suite à cela, Socrate leur aurait confronté d'autres opinions et posé d'autres questions jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus répondre et continuer dans leur affirmation. Ainsi, selon Socrate, l'étape première dans la recherche de la vérité

propre à chaque personne. L’autre côté, Socrate, qui est contre cette opinion, pour lui c’est la recherche de l’universel. Si l’on comprend cette discussion cela nous permet de mieux se situer par rapport au problème qui est constamment actuel du relativisme, qui met en valeur l’opinion spontanée au plutôt que de l’opinion réfléchie. Pour les sophistes, de persuader un auditoire par la force du discours est nécessaire pour la réussite d’une personne. Socrate, de son côté, n’est pas d’accord avec les

Le texte se présente sous forme d’un dialogue, forme adoptée à maintes reprise par Platon car c’est un modèle qui pousse l’interlocuteur à réfléchir, Socrate peut alors éviter de lui imposer son point de vue en lui posant de simples questions. Questions qui donneront naissance à des connaissances au bout du compte. Ce dialogue a lieu entre Socrate et Glaucon. Le concept d’imitation, c’est-à-dire de Mimésis proposé par le texte étudié est un sujet important chez Platon car il s’articule sur l’opposition

d’étudiants et d’enseignants entre universités et grandes écoles européennes, le programme ERASMUS pour European Region Action Scheme for the Mobility of University Students serait en cessation de paiement. Parmi d’autres programme du meme type tel que SOCRATES, AVEROES, tous font partie du programme Éducation et Formation Tout au Long de la Vie (EFTLV)/Lifelong Learning (LLL). Elargis depuis quelques années avec ERASMUS MUNDUS qui permet de partir dans plusieurs pays à travers le monde comme le canada

Dès le VI e siècle, la question de l’origine du mal et de ses responsables est bien là ce que prouve la maxime de Socrate reprise par Platon dans le Ménon : « Nul n’est méchant volontairement ». Cela signifierait que tout homme voire tout être acteur ne peut faire le mal volontairement en l’ayant décidé à partir de sa raison. Nous sommes en mesure de nous interroger sur l’interdépendance du mal et de l’ignorance. Rousseau, notamment dans la Profession de foi du vicaire savoyard, semble penser que

partie. Donc, nous nous demandons tous qui sommes-nous ? Dans ce texte, nous serons en mesure de mieux comprendre et orienter notre réflexion grâce aux principaux facteurs de la vertu. Nous ferons appel à 2 philosophes très connu sur cette réflexion : Socrate et son élève Platon. Pour mieux comprendre et orienter notre réflexion sur la vertu, nous devons d’abord élaborer sur certains concepts qui emportent la vertu. Ces concepts sont le plaisir et la vertu qui était vue par 4 différentes perspectives

toute pièce. Mais le chef des prisonniers ce sent alors offensé car il craint de perdre son pouvoir alors les accuses d’être devenue fou. Le chef ne se demande alors pas si ce qu’ils disent est vrai mais si sa agit pas dans son intérêt. Le procès de Socrate déroule donc de cet obscurantisme car le chef tiens à son pouvoir. Donc écoute-t-on quelqu’un pour se qu’il dit objectivement ? Ou alors écoute le t-on pour savoir ce qu’il va engendrer chez nous ?, Et répond lui ton à sa question profonde en toute