Université Blaise-Pascal

lecteur. Un textedidactique a pour but d'édifier ses lecteurs, de leur transmettre un savoir scientifique ou technique, de leur imposer un point de vue, une idée ou bien encore une opinion précise. Par exemple, dans lefragment six des Pensées, Blaise Pascal démontre au lecteur que les Juifs ont des avantages. Il va donc faire l’éloge de ce peuple tout en nous expliquant l’ancienneté de ce peuple, et même se basersur des personnages historiques. Il se fait didactique c’est pour cela que son texte est

Pridarnant est à la recherche de son fils, Clindor. Sans autres recours, il consulte Alcandre, magicien qui fait défiler sous ses yeux la vie et la mort de Clindor. Mais celle-ci est-elle réelle ? Alcandre : Ainsi de notre espoir la fortune se joue; Tout s'élève ou s'abaisse au branle de sa roue, Et son ordre inégal qui régit l'univers Au milieu du bonheur a ses plus grands revers. Pridamant : Cette réflexion mal propre pour un père

Voici trois textes différents, mais qui ont chacuns des points communs. Tout d'abord le texte de Blaise Pascal intitulé "De l'esprit géometrique et de l'art de persuader" est un essai datant de 1658, Victor Hugo ecrivain et politicien, prononce le discours "Actes et paroles 1, Assemblé legislative" de 1849-1851 à La chambre des Pairs, et pour terminer la préface de Michel Meyer "Rhétorique d'Aristote" en 1991. Chacun aborde a sa facon l'éloquence et les domaines où elle s'exerce. C'est pourquoi

Voici trois textes différents, mais qui ont chacuns des points communs. Tout d'abord le texte de Blaise Pascal intitulé "De l'esprit géometrique et de l'art de persuader" est un essai datant de 1658,Victor Hugo ecrivain et politicien, prononce le discours "Actes et paroles 1, Assemblé legislative" de 1849-1851 à La chambre des Pairs, et pour terminer la préface de Michel Meyer "Rhétoriqued'Aristote" en 1991. Chacun aborde a sa facon l'éloquence et les domaines où elle s'exerce. C'est pourquoi je

BLAISE PASCAL, Les pensées, « Disproportion de l’homme » (L’infiniment grand), 1669 . Idée générale : .L’extrait « Disproportion de l’homme » des pensées, œuvre de Pascal, mathématicien  du XVIIe siècle, inventeur de la calculatrice, adopte les différentes révolutions scientifiques (révolutions copernicienne +découvertes de Galilée) en se consacrant a la réflexion philosophique et religieuse. .Ce texte fait partie du genre des pensées, car il s’agit d’une argumentation directe

philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale : on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale ; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche

(mort) et à la frustration (promesse du paradis) : refuge, réconfort, être sous tutelle Marx : instrument idéologique, dominants appuient leur pouvoir. La religion fait peur et console. « La religion est l’opium du peuple » La foi est irrationnelle Blaise Pascal, Les Pensées « Le coeur a ses raisons que la raison ignore » - la foi : croyance religieuse = sentiment, personnel, subjective - le savoir : la science, raison, preuves, universel, objectif La foi n’a pas besoin de preuves : repose sur la confiance

Chiasme pour nous montrer a quel point il y a un amour passionel entre Roméo et Juliette : « Roméo kiffe Juliette et Juliette kiffe Roméo » . Pour montrer qu'on ne réfléchis pas lorsqu'on est amoureux, Grand Corps Malade a repris une phrase de Blaise Pascal :« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas », plus connu sous le nom de : « L’amour a ses raisons que la raison ignore ». Il l'a utilisé plusieurs fois dans son œuvre, de manières différentes : « Car l'amour a ses saisons que la raison

lors d’un test. « Le pari », Blaise Pascal, p 22-23 Il s’agit ici du pari de croire à l’existence de Dieu, et donc au paradis, et à cette vérité transitoire qui nous mènera à vivre encore et à nouveau, ou de ne pas y croire et de ne rien avoir. Il faudrait être fou pour refuser d’y croire, puisqu’y croire nous permettrait d’obtenir un gain infini, alors que l’autre ne nous mène qu’à une seule conclusion : nous vivons, puis c’est le néant. Par un odieux chantage, Pascal nous dit que ce serait renoncer

ce que serait pour nous un combat entre deux fourmilières. C'estamusant aussi parce que ceci remet l'homme à sa juste place dans l'univers (relativité de son importance) : nous ne sommes rien d'autre que de « chétifs animaux » face à l'infini (Blaise Pascal)...