Urne funéraire

Texte 10 : Le Père Goriot, chapitre 4, excipit 1/ Espace et temps : réalisme du dénouement a - espace 3 quartiers : - Pension vauqueur -> l.1820, quartier des étudiants. - Eglise Saint Etienne - Le père Lachaise : vision dominante de Paris, il regarde le quartier de Mme De Bausséant faubourg Saint Germain, quartier aristocratique. - Rue d'Artois : nouveaux riches, Bourse. Rastignac fait le lien entre ses trois quartiers plus une vision panoramique de Paris. Trois quartiers liés

tels que la pyramide de Khéops ou encore celles de Gizeh. 4 B) Expériences : Nous avons donc choisi de réaliser l'expérience de la momification à une plus petite échelle : sur une souris. Bien sûr nous ne pouvons pas respecter le rituel funéraire égyptiens à la lettre et nous devrons le réaliser en une séance, c'est-à-dire en seulement deux heures. De plus, nous ne pouvons pas nous procurer du natron nous allons donc nous même le fabriquer. Des études ont été faites sur la composition du

Les obsèques de la lionne  LA SATIRE A. La satire explicite ~ Elle est contenue dans les âmes. LF emploie de l’ironie lorsqu’il dit :« messieurs les courtisans » alors qu’il les compare à des animaux, ce qui les critique. De plus, « triste/gais » est une antithèse, ainsi que « prêts à tout, à tout indifférents ». Ces deux figures de style symbolisent la critique de l’auteur : les courtisans n’ont pas de personnalité. L’antithèse entre être et "parêtre" souligne leur hypocrisie. Ce sont des pantins

-Aux côtés des grandes fêtes on trouve les cérémonies les plus secrètes, les mystères. -Le secret des Mystères d'Eleusis est essentiellement culturel, le sanctuaire était protégé par de hautes murailles. Idée de prudence nécessaire à tout rite funéraire ou agraire, danger de souillure. Lors des rites des Grands Mystère, une procession allait d'Eleusis jusqu'à Athènes, la foule y poussait un cri, ce cri est devenu un dieu, un sentiment de sacré anime cette foule qui fait naître en elle une exaltation

bataille de la guerre de Troie (« les Troyens en nombre m’accablaient de leurs lances de bronze auprès du cadavre d’Achille ! ») puisque mourir en mer est la pire mort pour les grecs, le corps est engloutit par les flots ce qui signifie ni rite funéraire ni gloire ni honneur, la mémoire de tout homme mort en mer tombe dans l’oubli. (« J’eusse obtenu les honneurs militaires, on eût chanté ma gloire… » « le destin me livre à une atroce mort ») Ulysse exprime ses craintes et ses maux par le biais

Jean-Joachim Goriot (surnommé le Père Goriot à la pension Vauquer) _ Né en 1750, d'origine modeste. _ Avant la révolution, il rachète le fond de commerce de son patron. Installé rue de Jussienne, il vend des vermicelles et de l'amidon, devient président de la section Jussienne et profite de la disette pour décupler le prix de ses farines ce qui lui procure une énorme fortune. _ Il a épousé la fille d'un paysan de la région de Brie dont il a deux filles : Delphine et Anastasie. Dans le

déplacent pas. Solitude peut être pousser plus loin : Elles veulent s'économiser le déplacement mais ne sont pas contre le récit plaisant de la mort de leur père que leur domestique vont raconter. Le P.G était « persona non grata ». Cortège funéraire composé uniquement de R et Christophe La reconnaissance n'est pas là où on l'attend → C est là pour quelques pièces reçut de Goriot alors que ses filles ne sont pas présentent. R est devenu le fils spirituel de G Symboliquement G est

Meursault, personnage narrateur qui vit en Algérie vient d’apprendre le décès de sa mère par télégramme, il se rend à l’hospice vieillard à Marengo pour assister aux funérailles, il y assiste sans verser une larme, sans paraitre endeuillé. Le lendemain de la cérémonie funèbre, il rencontre Marie avec qui, il entame une relation amoureuse, il parait nullement affecté par le décès de sa mère, il reprend le cours monotone de sa vie comme si de rien n’était Son voisin de palier, Raymond lui confie

TEXTE BAC n°5 : Sur la mort de Marie –Pierre de Ronsard Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose En sa belle jeunesse, en sa première fleur Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l’Aube de ses pleurs au point du jour l’arrose : La grâce dans sa feuille, et l’amour se repose, Embaumant les jardins et les arbres d’odeur : Mais battue ou de pluie, ou d’excessive ardeur, Languissante elle meurt feuille à feuille déclose : Ainsi en ta première et jeune nouveauté, Quand

a point de suite, dit le prêtre, [...] et demie » l22; « A nous deux maintenant ! » l 48), la narration est à l'imparfait ou au présent intemporel, et le langage est soutenu. Le registre usité est tragique : on peut retrouver le champ lexical du funéraire (« cercueil », « enterrement » ..), et diverses figures de style comme une métaphore («sur cette ruche bourdonnante un regard qui semblait par avance en pomper le miel » l 47), une antithèse (« deux voitures armoriées, mais vides » l 25 ) et une