Utilitarisme Clonage

et scientifique après Kant, la pluralité des approches est confondante : matérialisme historique, évolutionnisme, nietzschéisme, (néo)pragmatisme, existentialisme, néo-positivisme, phénoménologies, rationalisme critique, philosophies du langage, utilitarisme encore, etc. L’instrumentalisation de la philosophie par la bioéthique donne donc une image extraodinairement simplifiée, partiale et réductrice, de l’histoire et de l’actualité philosophiques. Cette réduction concerne en outre les rares références

il y a « l’Ethique » de Spinoza. v Au 18ème apparait les « Lumières ». Ils créent la morale de la liberté et de l’égalité. C’est une morale très uniforme qui a deux variantes. Les lumières Anglo-Saxonne (David Hume : morale fondé sur l’intérêt, utilitarisme) et Franco-allemande (Kant : Morale fondé sur le devoir : criticisme) Il y a deux principes : * L’impératif catégorique : « agit de tel sorte que le principe de ton action puisse être érigé de manière générale » (voir si ton action peut être

« l’Ethique » de Spinoza. * Au 18ème apparait les « Lumières ». Ils créent la morale de la liberté et de l’égalité. C’est une morale très uniforme qui a deux variantes. Les lumières Anglo-Saxonne (David Hume : morale fondé sur l’intérêt, utilitarisme) et Franco-allemande (Kant : Morale fondé sur le devoir : criticisme) Il y a deux principes : * L’impératif catégorique : « agit de tel sorte que le principe de ton action puisse être érigé de manière générale » (voir si ton action peut

qui est nécessaire à la société. Il est donc nécessaire d’interdire toutes les choses qui interféreraient avec le bonheur. L’organisation entière de la société est orientée vers la maximisation du bonheur – quel bonheur ? – et donc soumise à un utilitarisme totalitaire. Bernard, irrémédiablement élément d’une société qu’il voudrait tant rejeter, s’humilie devant l’Administrateur qui le renvoie à sa condition de consommateur de soma. Helmotz, quant à lui, demande à être exilé sur les îles Faklands

regorge de principes hrits de la culture chrtienne cest particulirement vident pour le rgime matrimonial (monogamie) et pour le droit de la vie (biothique) suicide, euthanasie, contraception, avortement, oprations mdicales sur lhomme (usage dembryons, clonage, mres porteuses). Le socialisme constitue une forme laque de linjonction chrtienne secourir les pauvres et pratiquer laumne. Enfin, la structure mme du droit, dans sa logique, prsuppose une approche morale hrite du christianisme on suppose que les

Tous les éléments d’un raisonnement peuvent bouger. Leur degré de généralité n’a pas d’incidence sur la priorité des principes. - La fonction de la méthode cohérentiste est à la fois de nature critique et clarificatrice. Par exemple : question du clonage thérapeutique, travail des enfants. On va appliquer ces questions dans plusieurs cas pour voir où est le problème. - La méthode est opérationnelle : nous ne devons pas attendre jusqu’à ce que nous ayons établi fermement des « fondations », bases

hérités de la culture chrétienne : c’est particulièrement évident pour le régime matrimonial (monogamie) et pour le droit de la vie (bioéthique) : suicide, euthanasie, contraception, avortement, opérations médicales sur l’homme (usage d’embryons, clonage, mères porteuses). Le socialisme constitue une forme laïque de l’injonction chrétienne à secourir les pauvres et à pratiquer l’aumône. Enfin, la structure même du droit, dans sa logique, présuppose une approche morale héritée du christianisme : on

hérités de la culture chrétienne : c’est particulièrement évident pour le régime matrimonial (monogamie) et pour le droit de la vie (bioéthique) : suicide, euthanasie, contraception, avortement, opérations médicales sur l’homme (usage d’embryons, clonage, mères porteuses). Le socialisme constitue une forme laïque de l’injonction chrétienne à secourir les pauvres et à pratiquer l’aumône. Enfin, la structure même du droit, dans sa logique, présuppose une approche morale héritée du christianisme : on

publié 2 ouvrages : théorie des peines et récompenses, et le traité des législations civiles et pénales. Il pense que les actions des humains sont dictées par l’intérêt. Il fonde le droit de punir l’état dans un but utilitaire. Il confère a son utilitarisme une expression mathématique : en ce qu’il faut calculer la peine de telle sorte que le délinquant potentiel ait intérêt a ne pas commettre l’infraction. il faut que le profit qu’on peut retirer de l’acte soir inférieur a la punition. Il soutient

récompenses", "traité de législation civile et pénale". Bentham soutient que les actions des humains sont exclusivement guidées par l'intérêt. Bentham fonde le droit de punir de l'Etat sur un but exclusivement utilitaire. Bentham confère à son utilitarisme une expression quasi mathématique, en ce qu'il faut calculer la peine de telle façon que le délinquant potentiel ait intérêt à ne pas commettre l'infraction. Autrement dit, il faut que le profit qu'on peut retirer de l'acte soit inférieur à la