Vague

Séance 3: Etudier le vague des Passions à travers son prototype : René. I. Introduction. René de Châteaubriand c’est L’histoire de rêne n jeune homme qui raconte à deux autres perso l’histoire de son passé et sa vie malheureuse. Il raconte pk il est malheureux, il est a la rechercher de son identité, il décide de voyager pour se vider l’esprit. Il a une sœur qui le soutien. Il veut ce suicider. Sa sœur s’enferme dans un couvant parce que elle est amoureuse de son frère. Il reçoit en Amérique

dominent : les noms propres ou les noms communs ? • les noms communs, vagues et imprécis On voit à nouveau que cet emploi de mots vagues colle avec l’atmosphère générale du poème qui est celle de l’automne et du brouillard où tout paraît justement vague, flou et imprécis. Essayez maintenant de regrouper les différents sujets en sous-ensembles pour faire apparaître les différents acteurs ou les différents thèmes dont il est particulièrement question dans ce poème. Quels sont ces sous-ensembles

Jéhova ! Rayon qu'on blasphème ! Oeil calme et suprême Qu'au front de Dieu même L'homme un jour creva ! III Ô Terre ! ô merveilles Dont l'éclat joyeux Emplit nos oreilles, Eblouit nos yeux ! Bords où meurt la vague, Bois qu'un souffle élague, De l'horizon vague Plis mystérieux ! Azur dont se voile L'eau du gouffre amer, Quand, laissant ma voile Fuir au gré de l'air, Penché sur la lame, J'écoute avec l'âme Cet épithalame Que chante la mer ! Azur non moins tendre Du ciel

couleur ("rougeur", 1. 4, "empourprée", 1. 4, "lumineuse", 1. 5). - Progressivement, victoire du noir ("ténébreux", 1. 6, "L'obscurité", 1. 15, "noir", 1. 16, "opacité", 1. 17) : les sensations visuelles sont alors incertaines ("on ne sait quoi", "vague et insaisissable", "quelque chose de", 1. 22, "inexprimablement", 1. 33. Les sensations se mêlent et se confondent Confusion entre ouïe, vue et toucher ("sans aucun froissement de feuille, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été"

inexorablement. C’est la contemplation du lac qui fait naître cette réflexion, et le souvenir l’envahit. Il est submergé par ses états d’âme. La vague de ses sentiments le recouvre (vers 1 : allitération en « v »). La présence de participes passés montre à quel point l’homme n’a pas de prises sur la fuite du temps. Il est emporté par le temps comme il le serait par une vague. Au vers 3 et 4, le poète utilise une métaphore qui sera filée dans tout le poème, métaphore sur le temps, sur la vie comparée à un fleuve

composé de 12 quatrains alternant alexandrins et octosyllabes avec des rimes croisées. Vers longs et courts → vague, mouvement rythmique.  Irrégularité rythmique qui crée un effet d'instabilité, de malaise (v19). V19&20 → enjambement, écoulement continu entre les vers.  Strophes: 6/6/8 6/6/8 : rythme régulier.  La régularité des rythmes accompagne l'image des vagues, du mouvement régulier la vague (→ v21: antithèse entre "montait" et "descendait" + oxymore "la carcasse superbe" v13).  PROBLÉMATIQUE

importante + sa vitesse est grande. . Meme si le surfeur a beaucoup de force ds les jambes => faut planche longue stable qui a une accroche max pour aider celui-ci (grande vitesse) (?) (définir amplitude : distance verticale etc / Lorsque la vague atteint le rivage, son amplitude varie en fonction du relief sous-marin et de la configuration du rivage) DERIVES Sont indispensable fonctionnement planches, nbre variable, differentes

correspond aussi à une scène d'exposition peu traditionnelle. 1/ D'abord, les indications spatio-temporelles restent vagues et l'intrigue n'est pas présentée. ==> Dida initiale : « Route...Arbre » caractère d'enfermement- « par là » = espace vague - « soir » - « vers 1900 » - intrigue pas présentée car il n'y a pas d'intrigue. 2/ Ensuite la présentation des personnages déstabilise aussi le spectateur. ==> On n'apprend rien des 2 persos – les autres ne sont pas présentés – un seul nom :

paresse les plus important sont : les couleurs, les formes et la représentation de l'œuvre. Les couleurs car c'est sa qui donne un effet sinistre et lugubre, les couleurs changent tous dans un tableau puis les formes nous donnent un paysage perdu et vague, on est dans une atmosphère étrange. Et la représentation de l'enfer dans ce tableau pour l'homme seul entrain de crié c'est comme si le personnage était dans la pénombre. (PS: il y a un texte en italique qui fait partie de la représentation et

dépassé 3 000, mais rien que le sud aurait perdu 5 000 personnes. Le Père Kamal Andradi était chez lui à Payagala quand le tsunami a frappé. La première vague a traversé la plage sur à peu près 200 mètres ; après quoi la mer s’est retirée de presque 500 mètres. Tout le monde a commencé à fuir. Environ une heure après, la deuxième vague, une vague énorme, s’est précipitée sur le rivage et a tout écrasé sur son passage. Toutes les maisons le long de la côte, la route et les rails de chemin de fer ont