Val d'Argent

Reste de Rome. Ô mondaine inconstance ! Ce qui est ferme est par le temps détruit, Et ce qui fuit au temps fait résistance. Joachim du Bellay Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue

Pack Famille ! (p9) • Profitez des sorties gourmandes (p9) Les journées pour les groupes GROUPES “cars complets” : voir P 23 MINI-GROUPES : 1,5 € de réduction, départ de votre choix à partir de 20 personnes (Grand Lyon) : voir P 22 VAL THORENS STATION VAL THORENS accès ORELLE 2 ALPES LES MÉNUIRES * Informations données à titre indicatif sur le temps estimé en car. ** les piétons peuvent être acceptés pour ces formules journées avec un supplément de 18 € pour l’accès en téléphérique. 4

Pléiade. Le thème abordé est le passage du temps associé au motif de l'eau. 5 44444444 « Le Dormeur du val » C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil, de la montagne fière, Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant

Jeanne du Fou, fille du seigneur du Mesnil-au-Val, capitaine du château de Cherbourg. Les Picot seigneurs de Russy (Calvados) vont, à la fin du XIVe siècle, s'implanter à Gouberville (Manche). Guillaume Picot confie la gestion de toutes ses affaires à son fils aîné vers 1542 et en 1543 il lui succède à la charge de lieutenant des Eaux et Forêts. L’année suivante meure Guillaume V Picot et Gille devient lui-même, seigneur de Gouberville et du Mesnil-au-Val et, à la mort de son oncle Jean Picot en 1560

* Arthur RIMBAUD   (1854-1891) Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil de la montagne fière, Luit; C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue,
 Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
 Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
 Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme 
 Sourirait

aux billes non plus, peut-être aussi qu’on n’aura plus le droit d’aller à l’école. Ça ne serait pas mal comme loi raciale, ça. Joseph Joffo (1931) Le dormeur du val, 1870 C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue

Volet 1 : Tableau-synthèse Veuillez remplir les espaces prévus à cet effet. « Le dormeur du val », de Rimbaud Tableau-synthèse Déduction Repérage des illustrations Interprétation Idées principales et thèmes Procédés d’écriture Preuves textuelles Explication de l’illustration Oppositions dénonçant la guerre L’opposition entre la nature et l’état du soldat aide Rimbaud à critiquer la guerre, car la nature représente une vie paisible et calme. La présence du soldat affaibli et blessé par la guerre

verre de tous les jours. Ingénuement, en ouvrier céleste, il prête à tout une calme attention ; il mange bien en imitant ton geste, pour bien bâtir à ta maison. « Le Dormeur du Val » de Arthur Rimbaud, écrit en octobre 1870. Rimbaud appartenait au mouvement symboliste. Dans «  Le dormeur du val » Rimbaud montre au début du poème un soldat qui dort en toute tranquillité : « bouche ouverte, tête nue » « il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade », le poète d’écris que le soldat

être autorisé (alors que la France et la Prusse sont en guerre). Cette horreur de guerre a inspiré Rimbaud pour une de ces œuvre les plus célèbre : Le Dormeur Du Val : C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la

vint le moment où, las de cette vie, Un soir d'hiver, enfin l'âme lui fut ravie, Il s'en alla disant : " Pourquoi suis-je venu ? Gérard de Nerval Le Dormeur du Val C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil de la montagne fière, Luit; C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pale