Valeurs Du 17eme Siecle

Acte 1 scene 2 Introduction : Molière est un dramaturge et comédien français du 17ème siècle qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV et s’inscrit dans le classicisme. Il a écrit de nombreuses pièces de théâtre telles que « Tartuffe » en 1664 qui est censurée parce qu’on prétend qu’elle critique l’église. Il écrit alors Dom Juan, qui met en scène un personnage issu de la noblesse, séducteur, libertin et athée. Dans la scène 2 de l’acte I, DJ arrive, son entrée crée un effet dramatique

RAJOUTER ARGUMENTS SI POSSIBLE INTRO : Le mot littérature, issu du latin « litteratura », apparaît au début du XIIe siècle avec un sens technique de « chose écrite ». Il évolue ensuite avant d'atteindre aux XVII-XVIIIe siècles son sens principal d'aujourd'hui. Elle est ainsi définie par un ensemble d'œuvres qui utilisent les moyens du langage et auxquelles on reconnaît une valeur ou une intention esthétiques. Faire partager son opinion, éclairer ses contemporains, participer aux débats intellectuels

personnage du roman et son évolution du 17ème siècle au 20ème O.I= Manon Lescaut, Prévost, 1731 Problématique : Comment le personnage de Manon renouvelle-t-il le statut de l'héroïne romanesque ? Séance 1 : Contexte L'histoire du roman : Le roman est la langue veinaculaire du peuple. Sa formation est lente du Moyen Age jusqu'au 17ème siècle, La princesse de Clèves. C'est un genre populaire, non codifié. Le roman classique et du 18ème siècle. Les romans héroïques et précieux comme

conception du personnage a évolué au cours des siècles, en fonction du regard porté par les auteurs sur le monde, et de leurs interrogations. Le terme de « roman » est médiéval. Il désigne des textes écrits en langue romane, principalement des romans de chevalerie. Au Moyen-âge, les romans sont d’abord composés en vers (mémorisation) – le roman de la Rose ( 13ème siècle, octosyllabes – 22.000 v.) ou la Chanson de Roland ( roman épique – 11ème siècle, décasyllabes 9000 vers en version syllabes).

au vocabulaire de la joaillerie, où il désigne la forme irrégulière d’une perle. Son 1er usage est péjoratif : un dico en 1877 le définit comme une bizarrerie choquante. Une esthétique définie « a posteriori » Dès le 19ème siècle le terme acquiert une valeur positive et esthétique. Il s’applique aux œuvres artistiques, qui, de la fin du 16ème au début du 18ème se distinguent par la prolifération ostentatoire des ornements et la représentation du mouvement. Au 20ème, la notion de baroque

de spectateurs sont proposées dans les différents textes composant ce corpus. Les quatre extraits de ce corpus montrent différentes attitudes adoptées ou à adopter par les spectateurs selon les époques et leur situation sociale. Au 17ème siècle, le théâtre est à la fois un lieu de divertissement qui permettait de découvrir (et d’apprécier) les pièces d’auteurs célèbres de l’époque tels que Molière ou encore de Corneille. Mais il était avant tout, particulièrement pour les nobles, un lieu

Lebret .Réflexion pratique sur les définitions de la monarchie . C une sorte de représentation Les fondements du pouvoir et leur légitimation : premièrement , le roi est empereur sur son royaume (formule du droit romain : impérium) datant du 14ème siècle . De 2 , c le Suzerain des suzerains . Il se trouve au sommet de la hierarchie féodale .Les grands féodaux devaient reconnaitre le plus grand : le roi . De 3 , c un roi traditionnel .C le roi coutumier , c a d la législation .Cela justifie sa

(le plus haut degré d’élévation du style, qui a fait l’objet de définitions comme celle du pseudo-Longin) et un genre : le sublime ne peut concerner que les « grands genres », tragédie, épopée, éloquence religieuse, histoire. Le mot ici et mis en valeur entre virgules. L’éloge bien vite se trouble : -          Certains vers les plus heureux… hyperbole, qui compense à peine les « négligences » précédemment notées, et renvoie à cette « inégalité » qui est la marque de fabrique de Corneille aux yeux

«  des courses de dagues » (l.8) correspondent à des occupations anciennes qui se pratiquaient au 17ème siècle. Deuxièmement, le cadre qui est décrit dans chacun des textes correspond à une époque ancienne ; ainsi les occupations et notamment celles décrites dans le texte de Madame de La Fayette telles que : « ballets, des courses de dagues »(l.8) mettent en place un cadre correspondant au 17ème siècle. De plus, même si les lieux ne sont pas décrits dans ce texte ont imagine aisément le château du

ouvrage connaît un immense succès et sera réédite 9 fois durant le vivant de son auteur. (Ophély) Il s'agit d'un recueil de maximes (principe de conduite ou règle morale) et de portraits qui ont pour sujet les mœurs du 17ème siècles. Les caractères ou les mœurs de ce siècle se compose de 16 chapitres. Chacun de ceux-ci portent sur un thème bien précis. (Lucie) La Bruyère a entamé la composition de son ouvrage vers 1674 (certains avancent même l'année 1670). Il cherche à réunir l'ensemble de