Vapeur d'eau

l’eau à 15ºC puis à 20ºC d’une part et de l’air à 18ºC et à 20ºC d’autre part en choisissant le débit nécessaire pour refroidir le produit à 100ºC. Cas de l’eau : Nos différentes simulations nous ont conduits à minimiser le débit d’eau en entrée pour pouvoir avoir de la vapeur en sortie, et surtout refroidir le fluide chaud à 100ºC. Finalement nous ne nous occupons pas de la partie valorisation en elle-même mais nous la prenons en compte en refroidissant notre fluide chaud à la bonne température. Problème

que la vapeur d'eau se condense en fines gouttelettes, trop légères pour tomber sur le sol. Il y a brouillard lorsque la visibilité est inférieure à 1 km. Quand elle dépasse 1 km, il y a brume. Dans l’état liquide, il y a : - La pluie : les nuages sont faits de fines particules d'eau qui restent en suspension en raison de leurs très faibles dimensions. Quand ces minuscules gouttelettes ont un diamètre d'au moins 2/10ème de millimètre, il pleut. En un an, la Terre reçoit 100 000 km3 d'eau de pluie

cycle de l’eau. La difficulté majeure pour comprendre le cycle de l'eau fut d'expliquer que le niveau des océans ne s'élève pas davantage malgré l'apport incessant des fleuves. En effet, si les fleuves amènent toujours plus d'eau aux océans, le niveau d'eau devrait augmenter et donc inonder les terres qui se situent sur la cote. Chose injustifiable au Moyen-Age car il fallait savoir que le Soleil avec une grande force évaporatrice. Le cycle de l'eau se divise en trois parties : la mer (

Qu’est-ce-que l’effet de serre ? L'effet de serre est un processus naturel résultant de l’influence de l'Atmosphère sur les différents flux thermiques contribuant aux températures au sol d'une planète. Les principaux gaz à effet de serre sont la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (ou protoxyde d'azote, de formule N2O) et l'ozone (O3). Les gaz à effet de serre industriels incluent les halocarbones lourds (fluorocarbones chlorés incluant les CFC, les molécules

aux activités humaines. On a coutume de dire que l’air qui nous entoure est inodore, incolore et sans saveur. C’est d’abord un mélange gazeux composé pour environ 4/5 de diazote et pour 1/5 de dioxygène, mais aussi, en quantité bien moindre, de vapeur d’eau et de gaz rares comme l’argon.  L’activité humaine entraîne aussi l’apparition d’autres gaz, des oxydes d’azote et de carbone, et de l’ozone principalement provoqué par la circulation automobile. Sans oublier du dioxyde de soufre issu des rejets

cela n'explique pas totalement tous les aspects de ce phénomène(1/d2 avec "d" la distance au Soleil). Deuxièmement, l'effet de serre ne peut exister que lorsque l'atmosphère de la planète observée contient des gaz dits à effet de serre tels la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone (CO2), l'ozone (O3), etc... Enfin, une planète échauffée émet un rayonnement invisible dans l'infrarouge dont une partie restera piégée par ces gaz à effet de serre et sera renvoyée vers la surface qui sera de nouveau réchauffée

pour ensuite donner des précipitations sous forme de pluie, de neige… On peut voir sur le schéma ci-dessus que l’eau s’infiltre dans les nappes phréatiques. Une nappe phréatique est constituée d’eaux souterraines à faible profondeur. Le niveau d’eau de celle-ci baisse ou augmente selon les saisons. II- L’expérience Notre expérience consiste à reproduire le circuit de ce cycle avec les matériaux mis à notre disposition. a) Matériaux utilisés  Deux béchers (200ml et 50ml) Plaque chauffante

de 70 % de la surface de la Terre (soit presque les trois quarts) est recouverte par de l'eau (mers, océans, lacs cours | | |d'eau). | | |Ces eaux de surface font partie de l'hydrosphère qui correspond à l'ensemble des réserves d'eau disponibles sur Terre. | | |

générations futures à répondre aux leurs »" (Rapport Brundland - 1987). L’amélioration du rendement d’une chaudière La combustion du gaz naturel entraîne la formation de produits de combustion (vapeur d'eau et dioxyde de carbone). La chaudière à gaz à condensation récupère chaleur contenue dans la vapeur d'eau pour la restituer au circuit de chauffage. Par rapport à une chaudière classique, elle permet une efficacité énergétique améliorée de 10 à 15 %. 1 - Repérez la source d'énergie nécessaire

La formule chimique de l’eau pure est H2O. L’eau dite « courante » est une solution d'eau, de sels minéraux et d'autres adjuvants. Pour cela, l’eau que l’on trouve sur Terre est rarement un composé chimique pur. Les chimistes utilisent de l'eau distillée pour leurs solutions, cette eau étant pure à 99 %, il s'agit d'une solution aqueuse. L'expression « solvant universel »[réf. nécessaire] est sujette à maintes précautions, beaucoup de matériaux naturels (roches), métaux, etc.) étant non solubles