Vaporisation

consommation, le GNL est éventuellement stocké sous forme liquide puis vaporisé dans des terminaux méthaniers. Il est alors émis sur un réseau de transport classique. Ici encore, il faut des investissements importants pour la réception, le stockage et la vaporisation. Ces investissements sont cependant moindres que pour la liquéfaction ou le transport par méthanier. Pour le traitement, et si l'on veut séparer les GPL avant le transport, à partir des gisements de gaz et de condensats (si ceux-ci sont proches)

glacée, la valeur par défaut proposée J/kg°C 0 suppose de l'eau glycolée en considérant un mélange à 20% d'éthylène glycol max +∝ défaut 3800 Constantes: les valeurs proposées sont celle du guide n°10 de l'AICVF Nom Description hfg chaleur de vaporisation de l'eau (l'unité utilisée est le J/kg) Cpa chaleur massique de l'air sec Cpv chaleur massique de la vapeur d'eau rapport des constantes des gaz parfaits δ Rv constante des gaz parfaits Patm pression atmosphérique Unité min kJ/kg J/kg°C J/kg°C

rapport à la taille de la molécule (LIAISONS HYDROGENES) chaleur de vaporisation: énergie  nécessaire à la conversion d’une  substance de l’état liquide à l’état  gazeux MM ((Da)) Point de  Point  Chaleur  p fusion d’ébullition  de vapor.  (°C) (°C) (J/g) Eau (H2O) 18 0 100 2452 Ammoniac  (NH3) 17 ‐77 ‐33 1234 Méthane  (CH4) 16 ‐182 ‐164 556 ÖLa chaleur de vaporisation étant prélevée dans l’environnement, elle contribue à l’effet réfrigérant 

de l’ordre de 120°C par son passage dans le réchauffeur de saumure. Ensuite elle est introduite dans l’enceinte de la 1ère étape où règne une pression réduite favorisant une vaporisation immédiate. La vapeur produite est condensée au niveau du faisceau tubulaire de l’étape. L’eau qui a fournie de l’énergie par la vaporisation cesse de bouillir pour se remettre en équilibre avec la pression de vapeur régnante dans l’enceinte. Elle passe ensuite dans la 2ème étape soumise à une pression encore

plus élevée commencera à s’échapper à son tour du dispositif. Le thermomètre indique la température d’ébullition de l’espèce chimique qui est en train de se vaporiser. Remarque : l’ébullition et l’évaporation sont deux formes différentes de vaporisation. etablissements.ac-amiens.fr/0600001a/.../TP20Distillation_corr.doc C 2la distillation fractionnée du pétrole brut permet l'obtention des différentes "coupes" ou "fractions" de pétrole, qui

l'un des rares objets d'usage courant contenant de l'acide sulfurique non transformé. les Propriétés Formule chimique H2SO4 Apparence Liquide transparent Masse molaire 98,1 g/mole Température de fusion 283 °K (10 °C) Température de vaporisation 610 °K (337 °C) Densité (liquide) 1,8 ×103 kg/m3 ΔH°f (liquide) - 814 kJ/mol ΔS° (liquide). 156,9 kJ/mol·K Tableau 1 : les propriétés de H2SO4 2. Procédé à double absorption Principe 

la distillation. Tout comme chez le bouilleur de cru, on chauffe le pétrole dans une colonne fermée qu'on appelle la colonne de distillation atmosphérique et grâce à la différence de température d'ébullition des composants en présence et avec la vaporisation des fractions plus ou moins légères, on recueille à différents niveaux de la colonne des fractions de produits légers, intermédiaires, moyens et lourds. La distillation atmosphérique se fait dans une colonne munie d'un certain nombre de plateaux

par conséquent le degré d'alcool. Mais cette méthode fait aussi perdre une grande partie des arômes. • L'évaporation par le vide. Il s'agit d'une distillation mécanique, effectuée sous vide, à température ambiante. Cette méthode consiste en la vaporisation de l'alcool à moindre température. Une partie des arômes, les plus volatils, est également éliminée au cours de la distillation, et doit être ensuite fractionnée pour être réincorporée dans le vin désalcoolisé. Cette méthode donne de meilleurs

(1834) arrivent à la même conclusion. Avogadro définit nettement les molécules et atomes en 1860. En 1821, John Herapath (mathématicien anglais) publie une théorie cinétique des gaz pour expliquer la propagation des sons, les changements de phase (vaporisation, condensation) et la diffusion des gaz. Robert Brown (botaniste britannique), en 1827, observe le mouvement de grains de pollen dans l'eau ; les grains vont en ligne droite, et ne changent de direction que lors d'un choc avec un autre grain ou

troisième caisson à l’arrière de la chaudière, ce troisième caisson débouche sur la cheminée pour évacuation des fumées vers l’extérieur. Il y a donc circulation des gaz de combustion dans des tubes assurant, par conduction vers l’eau de la cuve, la vaporisation par apport de calories. Ces deux chaudières servent à alimenter les séchoirs aux ateliers du contre-plaque, fonds et celui de l’enduction. Comme elles servent à alimenter tout les vérins hydrauliques du système. Annexe : Formule