Vassilissa La Tres Belle

VASSILISSA LA BELLE AFANASSIEV, Alexandre Nikolaïevitch Volume 1 des Contes populaires russes, trad. GRUEL-APERT L., éd. Imago, Paris, 2009 ORIGINE DU TEXTE ET DE L'HISTOIRE RACONTéE Auteur : Afanassiev, Alexandre Nikolaïevitch[1] (1826-1871) Afanassiev, auteur russe, était historien de la civilisation et de la littérature russe. Il était également juriste, ethnographe, folkloriste, bibliographe, critique et journaliste. Connaisseur extraordinaire de langues indo-européennes, il fut l'un

était une fois un marchand qui vivait dans un certain royaume. Il était marié depuis douze ans, mais il n’avait qu’une fille, Vassilissa la très belle. Celle-ci n’avait que huit ans quand sa mère mourut. Avant de mourir, la femme du marchand appela sa fille, sortit une poupée qui se trouvait sous sa couverture, et la donna à Vassilissa en lui disant : « Ecoute, Vassilissa ! Retiens et accomplis mes dernières paroles. Je meurs, mais je te laisse cette poupée avec ma bénédiction maternelle. Garde-la

La Belle et la Bête Cycle 3 Mme Leprince de Beaumont Images de Nicole Claveloux Éditions Être Analyse de l’album L’objet livre La couverture Les illustrations Le texte L’organisation du récit Album cartonnée format paysage. La première de couverture, fond beige comporte le titre. Chaque lettre du titre est une lettrine à l’encre noire. Les lettrines sont toutes différentes La quatrième de couverture est unie. La tranche de l’album est en tissu vert ce qui renforce l’aspect bucolique du titre

arabe Belle comme la lune L'on raconte qu'aux temps anciens, il était une jeune femme très belle, aussi belle que la lune. Et cette femme, les nuits de pleine lune, se fardait, peignait et parfumait ses longs cheveux, revêtait ses habits les plus riches, se parait de tous ses bijoux et sortait. Pour mieux découvrir le ciel, elle gagnait une hauteur. Et là, elle levait son visage resplendissant vers la lune et lui demandait : Qui de nous est la belle, Ô lune, qui de nous est la belle ? Et la

de haine et de mort, et dans la crainte permanente d’être assassiné. Ses loisirs se partagent entre la torture d’animaux, la chasse et la maltraitance des villages alentour. Il donne en outre des signes d'une personnalité très contrastée. D'un côté, c'est un homme intelligent, très affairé, dynamique prenant à cœur sa responsabilité de souverain, de l'autre, c'est un homme déséquilibré, au psychisme fragile, sujet à de violentes sautes d'humeur et à de longues dépressions. Il considérait l'aristocratie

Le fantastique dans l'oeuvre de Nicolas Gogol Stéphanie Girard - www.oui-da.net L’œuvre de Nicolas Gogol (1809-1852), et plus particulièrement sa nouvelle Le manteau, a été très largement lue, au XIXe siècle, comme un manifeste du réalisme, voire une virulente critique de la société russe et des inégalités sociales en général. Pour les écrivains de la seconde moitié du siècle, Gogol incarne la fin du romantisme et l’entrée de la littérature russe dans la modernité. Pourtant, dès le début du

lectures à voix haute ou dialoguées, lectures magistrales, résumés intermédiaires… permettront à tous les élèves quel que soit leur niveau de compétences de connaître et comprendre l’histoire racontée. Pour des classes au Avant-propos 5 public très hétérogène ou à plusieurs niveaux, le maître peut viser un même objectif, aborder une même thématique, envisager la même forme de travail en proposant à ses élèves différents ouvrages d’un accès plus ou moins facile. Il importe alors que tous les élèves

siècle, sous le règne d’Alexis (le second des Romanov), l’Eglise connaît un schisme ou raskol. Avvakoum, le chef de fil des vieuxcroyants, s’oppose aux réformes religieuses. Il défend avec zèle l’Eglise traditionnelle. On lui doit une autobiographie très émouvante, La Vie d’Avvakoum, dans laquelle il exprime son indignation devant les réformes et raconte ce que lui a valu sa fidélité à la tradition : les tortures et l’exil en Sibérie avec femme et enfants. Cette œuvre est l’un des premiers grands