Vautrin Et La Paternité

pensionnaires…………………………77 b) La dimension sociale ………………………………………….…74  Les nobles et la haute bourgeoisie - Eugène de Rastignac……………...………………74 - Victorine Taillefer………………………………...75  Les classes moyennes 6 - Mme Couture………………………………..……76 - Vautrin…………………………………………….76 - Mme Vauquer……….……………………………76  Le peuple…………………………………………………………77 - Poiret et Mlle Michonneau……………………….78 - Jean Joachim Goriot………………………………79 - Sylvie et Christophe………………………………79 c) La pension Vauquer et le monde extérieur………………

héros épiques)... Si le personnage de comédie ne saurait être que difficilement perçu comme un héros, c'est que la poétique du genre commande de nous détacher de lui, même quand il nous ressemble. Les génies du mal, en revanche, Médée, Barbe-Bleue ou Vautrin, nous éblouissent – et la fascination aussi est une passion. Mais le héros est surtout, dit Zola (qui veut le proscrire), le « personnage pour lequel on éprouve des tendresses », et il faudrait étudier davantage ces « abîmes inexplorés de la sympathie

Analyse de l'œuvre : le père goriot A) Les intrigues Nous avons trois intrigues : Le parcours aventureux d’un jeune ambitieux à Paris Le triste destin d’un père de famille qui s’est ruiné pour ses filles, Les intrigues du mystérieux Vautrin. L'intention du lecteur repose principalement sur le parcours du jeune ambicieux et non sur le destin du père Goriot contrairement à ce que l'on pourraît croire. B) Les thèmes principaux Thèmes principaux abordés : Relations père-filles / hypocrisie des filles

bourgeoisie (Barbéris, 1971 : 154 pp). Comme Balzac utilise les mêmes personnages cela donne à ses romans une illusion de réalité. Il y a environ 670 des personnages de La Comédie Humaine qui apparaissent dans plusieurs romans, comme par exemple Vautrin et Rastignac du Père Goriot, ou Charles Grandet d’Eugénie Grandet. Ces personnages font partie d’autres romans où le lecteur les voit vieillir. Par exemple Charles Grandet, marquis d’Aubrion, est retrouvé dans le roman La Maison Nucingen. On pourrait

dans son fanatisme, aurait sans doute payé pour lui. L'hôtesse était sortie, Eugène remonta chez lui pour voir s'il n'y oubliait rien, et s'applaudit d'avoir eu cette pensée en voyant dans le tiroir de sa table l'acceptation en blanc, souscrite à Vautrin, qu'il avait insouciamment jetée là le jour où il l'avait acquittée. N'ayant pas de feu, il allait la déchirer en petits morceaux quand, en reconnaissant la voix de Delphine, il ne voulut faire aucun bruit, et s'arrêta pour l'entendre, en pensant

vermicellier en retraite ruiné par ses filles bien-aimées, le père Goriot, « martyr de la paternité », deux étudiants sans le sou, mais promis à un brillant avenir, l’un en médecine, Horace Bianchon (que Balzac appellera à son secours sur son lit de mort) et l’autre en politique, Eugène de Rastignac, sans oublier un ancien forçat évadé, Jacques Collin, dit Trompe-la-Mort, qui se cache sous le nom de Vautrin ; le quartier mal famé du Doyenné (dans le premier arrondissement), aujourd’hui détruit, qui

 1838 * Splendeurs et misères des courtisanes, 1838, (Werdet), 1844-1846, (Furne) * Comment aiment les filles * À combien l’amour revient aux vieillards * Où mènent les mauvais chemins * La Dernière Incarnation de Vautrin * Les Secrets de la princesse de Cadignan * Facino Cane, 1837 * Sarrasine, 1831 * Pierre Grassou * Dans Les parents pauvres * La Cousine Bette, 1846 * Le Cousin Pons, 1847 * Un homme d’affaires (Esquisse d’homme

s'illumine [...] 61. Ce qui me déconcerte encore plus, c'est une certaine conception de la paternité, assimilée à une super-création, et suprême incarnation en quelque sorte, du héros positif. Je comprends d'autant moins ce que Barbéris, dans Mythes balzaciens, appelle « le mythe du père62 », qu'il a lui-même dénoncé avec force l'utilisation idéologique d'un Goriot transformé en martyr de la paternité. Son « père » à lui, bien sûr, n'est pas le parangon des vertus bour geoises et familiales

point de ne pas laisser d'autre alternative que la révolte ou la mort. Cette esprit de négation trouve son incarnation la plus expressive dans la figure de Satan (Hugo), le révolté suprême, et de Méphistophélès (Goethe) l'esprit qui toujours nie. Vautrin (Balzac) qui lance un défi à l'ordre établi se dit « méchant comme le diable ». La tentation de la chute, de la révolte absolue incarnée par Satan, fascine l'âme romantique : réaction naturelle de la créature contre son créateur, contre cet « ogre

l’urbanisation les enfants constituent une charge supplémentaire Après la Révolution tranquille, on assiste à l’émancipation à des femmes Création de politiques familiales au tournant du 21e siècle. (allocations familiales, congés de maternité et de paternité, CPE) Mortalité Épidémie de grippe espagnole en 1918 Baisse de la mortalité Raisons : filtration de l’eau, pasteurisation du lait, vaccination, amélioration des soins médicaux et de la sécurité au travail. Résultat :