Vénus anadyomène

Arthur Rimbaud: ---poète français (1854-1891) il a écrit Ophélie, Vénus Anadyomène, Ma Bohême, Le dormeur du Val, Roman, Le buffet, Soleil et chair, La maline, ...etc, en 1870. (recueil de Douai) environ 22 poèmes. Il a écrit Illuminations, environ 41 poèmes dont Enfance, Après le déluge, Antique, Vies, Départ, Vagabonds, Jeunesse, Génie,....etc , écrient dans les années 1874 Il a écrit Une saison en enfer, 9 poèmes, dont Mauvais sang, Matin et Adieu en 1873

décrivent des femmes tels « La maline », et « Vénus anadyomène ». Ces deux sonnet font office de représentation de femmes ; dans « La maline » ce n'est pas physique de la femme qui est mis en valeur ; elle est qualifiée de « servante ». Ici c'est sa personnalité qui se dégage du poème ; elle est maligne, elle est « malinement coiffée », elle fait la « moue », ses ruses lui permettent d'attirer les clients. Contrairement à « Première soirée » et « La maline », « Vénus anadyomème » n'est en aucun cas une description

instruments de musique. Sont-ce des airs populaires, des bouts de concerts seigneuriaux, des restants d'hymnes publics ? L'eau est grise et bleue, large comme un bras de mer. - Un rayon blanc, tombant du haut du ciel, anéantit cette comédie. 5)  « Vénus anadyomène » (27 juillet 1870) Comme d'un cercueil vert en fer-blanc, une tête De femme à cheveux bruns fortement pommadés D'une vieille baignoire émerge, lente et bête, Avec des déficits assez mal ravaudés ;   Puis le col gras et gris, les larges

de dos est ainsi la reprise directe du motif de La Baigneuse de Valpinçon et d’un autre tableau, Intérieur au harem. La femme allongée à droite est la citation de La Dormeuse de Naples. La baigneuse debout au fond à droite est un écho à la Vénus anadyomène. On peut également reconnaître dans cette accumulation de corps féminins des études de nus antérieures ou des dessins d’après des gravures sur l’Orient. Dans cet hymne à la femme, Ingres a également intégré des portraits de femmes qu’il a

de venir le retrouver dans sa ferme et partager un moment d'intimité chez lui, à la campagne. A la fin du poème, après avoir insisté sur « tu viendras », se termine par un doute insisté par un jeu de mot « et m'aime » et « et même ». Vénus Anadyomène Anadyomène : Déesse sortant de la mer. Vert en fer blanc : Les baignoires bon marchés étaient fréquemment en zinc peinte en vert. Pommade : flatterie. Ravauder : Raccommodé Échine : Partie de la colonne vertébrale s'utilise préférentiellement

références à la mythologie : « Vénus », « satyres », « Nymphe », « Pan », « Cybèle », «Eros », Ariadné », « Thésée », « Lyrios », « Zeus », « Europe » … On retrouve notamment des références à Vénus, déesse de la beauté tout au long du recueil, ce qui traduit la recherche de « l’art pour l’art » : dans « Soleil et Chair » elle est désignée par quatre noms différent « Vénus », « Aphrodité », « Asarté », « Kallipige » et elle est également présente dans « Vénus anadyomène ». • la vie de jeune bohémien :

travers différentes thématiques , ( les différentes sections du recueil ) , toucher l’idéal Conclusion : esthétique baudelairienne fondamentale dans la compréhension de son travail poétique , Rimbaud , « venus anadyomène » , éloge d’une vieille prostituée , associée a la déesse de la beauté , venus .

| Jean Nicolas Arthur RIMBAUD 1854-1891 Principaux thèmes : -La jeunesse et l'enfance (« Les Effarés » ; « Les Poètes de sept ans ») -La révolte (« Les Premières Communions ») -La réalité sordide (« Vénus Anadyomène ») -Le libre voyage (« Le Bateau ivre ») -L’amour (« Première Soirée »)

ponctuation très expressive. On peut voir qu'il essaye de modernisé sa poésie en se détachant de certaines tradition grâce à la « libération de vers ». Mes poèmes préférés étaient les poèmes courts et parlant de liberté et/ou d'amour comme « Vénus Anadyomène » , « Au Cabaret Vert », « La maline », « Ma Bohème ». Et dans ces poèmes certains vers ont retenus mon attention comme :Dans « Au Cabaret- Vert » : « Depuis huit jours, j'avais déchiré mes bottines Aux cailloux des chemins » dès le début de

la nature pour refléter ses sentiments dans A Mme Lullin. Dans A la Marquise Pierre Corneille met en scène un personnage qui s'adresse à une femme plus jeune que lui et la met en garde contre les effets du temps sur sa beauté. Rimbaud avec Vénus Anadyomène dévalorise la beauté de la femme et la décrit vieille et même répugnante. Max Elskamp évoque maintenant tous les remords d'une vie ressentis par une personne âgée qui regarde évoluer ce qu'il a connu auparavant avec Ici, c'est un vieil homme