Venus Express

Analyse d’un extrait de La Vénus d’Ille de Mérimée Introduction Dans ce second travail de proséminaire, on traitera une scène intégrale de La Vénus d’Ille, une nouvelle fantastique de Prosper Mérimée publiée en 1837. La nouvelle, racontée d’un archéologue parisien qui visite les sites d’intéresse dans les Pyrénées-Orientales, est l’histoire d’une statue de Vénus très remarquable, et de son rôle apparent dans un mort inexplicable. Pour commencer, on va situer l’extrait qui est notre thème dans

apporté de nouvelles connaissances. Les recherches ont peut-être étaient longues, trouver une bonne problématique aussi, mais je suis tout à fait satisfaite du résultat. Dans le domaine de l’histoire, j’ai aimé redécouvrir et approfondir le mythe de Vénus ainsi que ceux des autres dieux et déesse. Par exemple le dieu Zéphyr, la déesse Heure représentés sur le tableau dont j’avais juste entendu les noms. A propos de l’art, matière principale dans la série que j’ai choisie, les recherches sur le grand

réalisation me parut au premier coup d’œil humaine tellement le sens du détail était présent. Imaginez une déesse sous la forme d'une statue, mais une statue assez incroyable. Cette statue n'était pas faite de marbre de paros comme celle de la Vénus de MILO ou encore comme celle du CHRIST REDEMPTEUR à RIO DE JANEIRO. La merveille que j'étais entrain de contempler paraissait plus vraie que nature tant ses couleurs étaient réalistes, la seul chose qui faisait d'elle une statue était

Technique : tempera sur bois * Analyse : Vénus, illustrant la déesse de l’amour ; Flore, peinte dans une robe mêlant les imprimés florales et les vraies fleurs ; Zéphyr tirant Chloris ; les 3 Grâces formant une ronde ; Cupidon tirant une flèche sur les 3 Grâces ; Chloris soufflant sur Flore ; Mercure tirant un caducée vers les nuages. Décor : prairie semi-circulaire où abondent les herbes et les fleurs peintes sur un fond sombre. 8. La naissance de Vénus : première peinture représentant la nudité

lecture La Vénus d’Ille (1837) Prosper Mérimée (1803-1870) Genre de l’œuvre : nouvelle Plan : L’histoire se passe dans l’ordre chronologique, à la fin le narrateur raconte ce qui s’est passé quelques temps plus tard. Il n’y a pas de chapitre seulement des paragraphes. Choix narratif : narrateur interne et personnage Ce livre s’appelle « la Vénus d’Ille » car dans l’histoire on nous parle beaucoup d’une statue, une Vénus (« C’était bien une Vénus, et d’une merveilleuse beauté

sous des voiles opportuns. Dans "La Naissance de Vénus", panneau peint une dizaine d'années plus tard, la déesse est représentée nue de face, grandeur nature. Botticelli représente dans cette œuvre une Vénus pudique, dont l'attitude est inspirée par un bas-relief romain. Il montre la déesse sous les traits de Simonetta Vespucci, en dépit du fait que cette jeune femme était morte depuis au moins huit ans. Déesse de la beauté et de l'amour, la Vénus nue de Botticelli est au contraire très chaste

par la servante noir. Ce bouquet, sans doutes envoyé par un client a été reçu à l'époque comme une énorme provocation de la part de Manet. Le traitement du corps nu a été une autre cause de scandale, si la composition de la toile s'inspire de La Vénus d'Urbino de Titien, ces deux nu n'en sont pas moins différent. Ici aucunes idéalisation, peu modelé, et un traitement cerné de noirs qui est inhabituel aux principes académiques. Les couleurs froides accentuent la dureté des aplats, mais l'équilibre

marqué l'époque, il n'en va pas de même pour ses nouvelles qui jouent sur l'exotisme (la Corse dans Mateo Falcone et Colomba ou l'Andalousie dans Carmen, que popularisera l'opéra de Georges Bizet en 1875), sur le fantastique (Vision de Charles XI, La Vénus d'Ille, Lokis) ou sur la reconstitution historique (L'Enlèvement de la redoute, Tamango). L'Histoire est d'ailleurs au centre de son seul roman : Chronique du règne de Charles IX (1829).

Les Vénus du gravettien ont longtemps été considérées comme les plus anciennes statues du Paléolithique. Datées d’au moins 28 000 ans avant JC, elles incarnaient pour les archéologues le seul modèle de sculpture préhistorique et leur permettaient ainsi de miser sur l’existence d’une communauté matriarcale au sein des campements. Pourtant, en 1939, la découverte de la statue de l’Homme-Lion, datant de – 32 000 avant JC, puis d’une statue encore plus ancienne quelques années plus tard remet totalement

Beau mais aussi Les défauts de la femme voir même ces laideurs ; la plupart des grands peintres et sculpteurs sont des hommes et sont attirés par les secrets de la femme , l'art d'enfanter.... Ce qui reste une énigme pour l'homme, Antiquité : venus de Milo découverte en 1820 sur l’île de Milo d'ou son nom est actuellement conserver au musée du Louvre elle date d'environ 130-100 av jc