Verdun

dates clefs : • 1914 : début de la 1° G.m. (montée des nationalismes depuis plusieurs décennies, attentat de Sarajevo en juin 1914) • 1914 : guerre de mouvement (bataille de la Marne) • 1915-1917 : guerre de position (bataille de Verdun, 1916) • 1918 : guerre de mouvement • 1917 : révolutions russes • 1918 : fin de la guerre • 1919 : traité de Versailles (création de la S.D.N., Allemagne déclarée seule responsable de la guerre) II – Les lieux et les personnes

sont considérables et aléatoires et son appelées par les historiens '' la depersonalisation des combats''. Les bombardements en période offensif pouvaient durer des jours sans s’arrêter. Plus de 60 millions d’obus sont utilisés pendant la bataille de Verdun entre février et juin 1916.l’artillerie provoque ainsi l’essentiel des pertes humaines : près de 70 % des morts durant la guerre lui sont dus. Précédés des pilonnages d’artillerie, les assauts (commis ou subis) avec baïonnettes et grenades sont très

l’autre d’entre vous sur les espoirs déçus de paix avec la marche à la guerre et les agressions d’Hitler en Europe , la 2ème G.M et les crimes de masse et les génocides. La Grande Guerre ne sera pas la DER des DER et l’horreur des tranchées, l’enfer de Verdun, auront de nouveaux échos dans les bombardements des villes et les charniers d’Auscwitz-Birkeneau. Lancer « Nuit et brouillard » chanté par Ferrat sur un fond d’images d’archives des deux guerres. Les images d’Hiroshima et Nagasaki. Images des camps

aux Britanniques (1778). Revenu en France en 1783, il voyage en Europe, Grande-Bretagne, Hollande, Allemagne. Membre de l'Assemblée des notables de 1787 à 1788, il y défend les privilèges. En 1789, il est nommé commandant des Trois-Évêchés (Toul, Verdun, Metz), puis de l'Alsace, de la Lorraine et de la Franche-Comté. Nommé en 1790 général en chef de l'armée de Meuse, Sarre-et-Moselle, il fit respecter la discipline à Metz et à Nancy par des actes de vigueur : il réprime sévèrement la mutinerie de

Les femmes remplacent les hommes partis au front : elles produisent par exemple des munitions comme les obus. Des affiches demandent que les Français versent leur or pour financer l’économie de guerre. En effet, les journaux affirment qu’ « à Verdun les pertes ont été minimes » ou encore, comme le Petit Parisien, que « les soldats se rient des mitrailleuses ». Des cartes postales font croire que l’ensemble de la population est mobilisée. Sur l’une d’entre elle, on voit qu’un enfant déguisé

paix » Jean GIONO (1938) Jean Giono : écrivain, scénariste. Son œuvre a pour cadre le monde paysan provençal. Il est le fils d’un cordonnier d’origine italienne (chrétien) et d’une mère repasseuse. Mobilisé en 1915, participe à la bataille de Verdun en 1916 (il y perd son meilleur ami). Il survivra, choqué par l’horreur et le barbarisme de la guerre, devenant un pacifiste convaincu. En 1929, il arrête toute activité professionnelle (employé dans une banque) pour se consacrer à l’écriture. En

Soldats de la commune de Sainte-Feyre NOM PRENOM GRADE UNITE DATE de naissance Date du Age au Lieu du décés circonstanc décés moment du es décés AUBAISLE Jean CAPORAL 63è RI 3/09/1880 12/04/19 35 ans 16 Verdun sur Meuse (55) LEDUR Marcel Soldat 95è RI 11/10/1895 9/03/191 20 ans 6 Vaux devant Disparu Danloup (Fort de Vaux) MUNIER Marcel Soldat 138è RI 26/06/1892 4/09/191 22 ans 4 Marne Sommepy Tahure(55)

décompositions et de la " merde " est toujours présente ! Ils marchent sur les morts...qui sont parfois leur amis. Les soldats ont le cafard, le moral a 0 !!! car en plus de tout cela, leur femme et leurs enfant sont loin d'eux !!! La bataille de Verdun est un vrai désastre ! c'est une vraie boucherie ! Il y a eu plus de 300 mille morts et près de 500 mille blessés en environ 1 an. C'est énorme ! La première Guerre mondiale a été un tel désastre humain que les personnes qui l'ont vécu n'espèrent

sont des hommes du peuple rétranchés dans leurs réfléxions et leurs peines quodiennes. Leur histoire est découpée en 3 parties : 1) 1914 = La Bataille de la Marne 2) 1915 = L’horreur des tranchées 3) 1916 = Les Soldats des Colonies, bataille de Verdun, l’entrée en guerre des Américains et des « Tommies » qui sont des Soldats Britanniques. On suit un groupe de Soldats mais l’auteur montre les deux côtés de la ligne avec le même réalisme. Ce qui signifie que les personnages principaux pourraient

Celles-ci sont envahies par des rats et de la boue, mal équipées contre le froid et contre les gaz de combat. Les combattants doivent éviter des nombreux barbelés tout en échappant aux trous d’obus. L’artillerie utilisée lors des grandes offensives comme Verdun ou La Somme en 1916 ou encore le chemin de dames en 1917 renforcent la difficulté à se maintenir en vie. Au fil des mois, les soldats perdent leur humanité et on parle alors d’ensauvagement. ➢ Comment les soldats tiennent-ils pendant plus