Verlaine Et Baudelaire

culturels qui l'ont définie pendant cette période.Parmi les écrivains les plus importants qui ont abordé le thème de Paris dans leurs œuvres, on peut citer Victor Hugo, Émile Zola, Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Guy de Maupassant, Charles Baudelaire, Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Chacun de ces auteurs a apporté sa propre vision unique de la ville, reflétant les nuances complexes de la vie parisienne à l'époque.Victor Hugo, par exemple, a utilisé Paris comme support pour son roman "Les Misérables"

forme d'un squelette armé d'une faux. ● L'allégorie prend souvent la forme d'une métaphore filée (page 13). -Bon chevalier masqué qui chevauche en silence, Le Malheur a percé mon vieux cœur de sa lance. Verlaine) « Le Malheur » est ici représenté sous les traits d'un cavalier, et Verlaine file la métaphore initiale en utilisant le lexique de la chevalerie. ● L'allégorie est proche de la personnification. Elle repose sur une métaphore dont le comparant est souvent un animé (ex. : « le chevalier

lequel Verlaine nous fait part du souvenir obsessionnel d'Elisa. Tout ce premier recueil est rempli de la douce Elisa, la sœur adoptive du poète, son premier amour qui repoussera ses avances, affectueusement mais fermement. La quatrième pièce " Vœu" la mentionnera presque explicitement. Verlaine nous précisera également ce qu'il attend d'une compagne, une présence quasi-maternelle. I- Le souvenir d'un été amoureux (1862) Depuis le mariage en 1858 d'Elisa, le chagrin d'amour de Verlaine le laisse

incontournable. Tout comme Charles Baudelaire, il a su user de sa souffrance. Ce dernier, poète maudit du 19e siècle, connait bien mieux que d’autres ce sentiment de douleur. Et cela, dès son enfance: Son père est décédé alors qu’il n’avait que six ans. Il dû redoubler sa troisième année au collège Louis-le Grand. Et s’ensuit une vie remplie de galère, entre une certaine passion pour l’opium ainsi qu’une maladie et des problèmes financiers qui le suivirent toute sa vie. Baudelaire pense que la souffrance

que Verlaine fit paraître sous le titre Les poètes maudits nous trouvons seulement six noms. Mais nous ajouterons quelques auteurs ayants un lien de similitude avec le destin de ces personnes. Les poètes « maudits » ont tous, en commun, un destin tragique, des sentiments d’être l’objet d’irréversible malédiction. Certains sont victimes de maladies indépendantes de leur volonté (tuberculose, surdité chez Corbière, troubles nerveux chez Nerval), pour d’autres tels Baudelaire, Rimbaud et Verlaine, la

de Paul Verlaine est le troisième poème de l'anthologie. L'auteur utilise une manière d'écrire spécifique, qui amène une certaine sensibilité, par exemple dans le premier vers, il y a une allitération de «b» qui peut connoter un moteur de bateau (nous avons ainsi l'illusion d'un départ). Après cette connotation on assiste a l'accumulation de thermes mélioratif et agréables qui nous embarquent avec l'auteur tels que « la lune se lève» vers 13 ou bien «l'eau qui rêve» dernier vers, Verlaine nous accompagne

pour leur naïveté, voir même leur duplicité ; BAUDELAIRE notamment écrit de cette façon sur le sexe opposé. * Il a donc été primordial que je fasse des recherches sur des poèmes dont les femmes en étaient le sujet principal. Je n'ai donc ni pris garde au style, ni aux époques et j'ai fait un trie parmi tous les poèmes afin de désigner ceux qui me semblaient les plus appropriés à mon thème. Je suis allée de Gérard DE NERVAL à Charles Baudelaire en passant par Pierre DE RONSARD, tous des poètes

Anthologie de chaque poème. Poèmes choisis : ‘’ Après trois ans ‘’ de Paul Verlaine, ‘’ L’homme de la mer ‘’ de Charles Baudelaire, ‘’ El Desdichado’’ de Gérard de Nerval, ‘’ Les Yeux ‘’ de Sully Prudhomme’’, ‘’ Brise Marine ‘’ de Stéphane Mallarmé et ‘’ Le frais matin dorait ‘’ de Leconte De Lisle. Ayant poussé la porte étroite qui chancelle, Je me suis promené dans le petit jardin Qu'éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle. Rien n'a changé

" Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. " Albert de Musset (n'est pas un poète dit " maudit "). Paul Verlaine dans ses " Poètes Maudits " " J'aime le mot de décadence,tout miroitant de pourpre et d'ors. J'en révoque, bien entendu, toute imputation injurieuse et toute idée de déchéance. Ce mot suppose au contraire des pensées raffinées, d'extrême civilisation, une haute culture littéraire, une âme capable d'intenses voluptés (

defaut………………………………………………………………….9 Paul FORT…………………………………………………………………………………………………...10 Ronde autour du monde…………………………………………….………………………..11 Paul VERLAINE……………………………………………………………………………………………12 Il pleure dans mon cœur………………………………………………………………….……13 Victor HUGO………………………………………………………………………………………………..14 Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange… » Les Misérables…………15 Charles BAUDELAIRE…………………………………………………………………………………..16 A une passante…………………………………………………………………………………….17 Arthur RIMBAUD…………………………………………………………………………………………