Verlaine Le Faune

brusquement; Michel-Ange, lieu vague où l'on voit des Hercules Se mêler à des Christs, et se lever tout droits Des fantômes puissants qui dans les crépuscules 16- Déchirent leur suaire en étirant leurs doigts; Colères de boxeur, impudences de faune, Toi qui sus ramasser la beauté des goujats (161), Grand coeur gonflé d'orgueil, homme débile et jaune, 20- Puget, mélancolique empereur des forçats (162); Watteau, ce carnaval où bien des coeurs illustres, Comme des papillons, errent en flamboyant

qui se sent plutôt du côté des loups que des cultivateurs : « Ces animaux ont faim. Quand ils seront repus, ils ne mangeront plus personne ! » Sous cet humour féroce on devine la secrète satisfaction du chef barbare : l’invasion du pays par la faune de la steppe en complète l’occupation par les hordes turco -mongoles. Dans ces cantons dépeuplés les rois huns installent d’ailleurs des tribus entières , mesures qui, remarquons-le, n’ont pu manquer d’avoir leur influence sur la composition ethnique

précieux quand on sait que leur vie est menacée, ce dont nous sommes informés dès le début du texte. L’auteur montre à ses lecteurs ce qui doit être préservé et leur fait comprendre pourquoi. 8. Un parc national est un territoire où le milieu naturel (faune, flore) est protégé des activités humaines ; dans celui de Zakouma, on veille particulièrement à la protection des éléphants. On ne doit pas y chasser et les gardes doivent lutter contre les braconniers qui enfreignent les interdictions. 9. Le chef