Véronique Mang

permettre un échange agréable Vers midi, le temps du repas arrive, c’est un moment essentiel qui permet de répondre à plusieurs besoins de la personne, physiologique, socio-éducatif et relationnel. J’invite les résidents à prendre place dans la salle à manger . le service des plats se fait à l’assiette, de l’entrée jusqu’au dessert . Je suis donc en contacte directe avec les personnes pendant la durée du repas, afin de répondre aux demandes. L’observation est primordiale dans mon travail, savoir repérer

Accompagnement à la douche de D D à besoin d’un accompagnement au quotidien pour sa douche. Il aime bien choisir le moment de sa prise en charge et le personnel éducatif qui l’accompagne. - Je propose à D de l’accompagner à la douche avant le repas car je pense que c’est le moment ou il est le plus disponible. - Une fois dans sa chambre, je demande à D de sortir des vêtements propres. Nous regardons ensemble si la tenue est adaptée au contexte. - Je demande ensuite à D de se déshabiller et de

«le buffet vide, les petits [qui] demandent des tartines, le café […] manquant» (l.93-94), elle est dans l’obligation de «tromper la faim avec des feuilles de choux de bouillies» (l.95). Comme en témoigne l’extrait, l’accumulation des éléments pour manger nous fait constater l’amplitude du manque de nourriture pour les 7 enfants et les parents. Aussi, on peut relever une personnification de la faim pour montrer l’importance de la satisfaire au dépend d’en subir les conséquences. Ensuite, on peut observer

invités ? / 1 8. Quel est le premier personnage à mourir ? De quelle façon ? / 1 9. Quel personnage meurt le crâne fracassé par une hache ? / 0,5 10. Quel phénomène étrange se produit avec les figurines posées sur la table de la salle à manger ? / 1 11. Quel est le crime commis dans le passé par le général Macarthur ? / 1 12. Comment meurt Lombard ? / 1 13. Comment meurt miss Claythorne ? Pourquoi ? / 2 14. Qui est Hugo ? / 1 15. Comment découvre-t-on l’identité

.. à destination des résidents mais aussi des familles. La mise en place d'un journal interne sera proposé aux résidents ainsi qu'à la famille et les différents partenaires. A l'oral, l'annonce d'informations au moment du repas dans la salle à manger, la visite des personnes dans leurs appartements, les discussions informelles avec les familles lors de leurs visites aux résidents, et les appels téléphoniques avec les partenaires permettent une bonne compréhension de tous.

Lieu : Unité de Soins Palliatifs, 2e étage, dans la chambre d'un patient. Situation : M. C., âgé de 63 ans est quelqu'un qui aime beaucoup jouer aux cartes et sortir prendre l’air. Lorsque les portes donnant sur l'extérieur sont fermées (vers 19 h) et ne donnent donc plus accès à l 'extérieur, il est rejoint par 1 ou 2 patients « valides » du service qui s'ennuient aussi. Souvent, comme il manque un joueur, M. C. réclame ma participation au jeu de carte dans la salle de séjour faîtes

jeune femme romanesque qui rêve d’amour de passion et de luxe n dès son entrée chez le marquis d’Andervillier elles est émerveillé . Le lieu est vaste et spacieux , beaucoup d’élément nous le montre dont «  première table » « vestibule » « salle à manger » « sur toute la longueur de la table »et « leurs chambres » tous cela décrit le cadre spatiale . On assiste a un repas important qui accueille beaucoup de convives. On peux observer dans cet extrait des sensations olfactive et gustative plus précisément

Saint-Denis du Sig. Cette petite maison donc, épousait l’angle de deux rues ; je dis « angle » mais je devrais dire plutôt « arc » parce que le mur de la chambre à coucher des parents était courbe ! Outre cette chambre, ce logis se composait d’une salle à manger par laquelle on entrait, d’une cuisine et d’une pièce située de l’autre côté d’une petite cour, laquelle cour était partagée avec une autre locataire, Madame B... Cette dame était veuve ; elle nous avait vendu un poste de radio « Ducretet-Thomson

l'établissement la connaissait depuis une éternité. En fait, il avait bossé, déjà, avec elle du temps lointain où il était lui-même éduc. On avait eu de grands espoirs pour elle, on avait espéré la sortir de son autisme profond. Mais en vain. Dans la salle à manger, subsistait un vestige de cette époque : le code-photo. Exprès pour elle, on avait installé un grand panneau figurant les jours de la semaine, sur lequel on avait collé des polaroïds représentant les activités : Chantal en robe à fleurs à la poterie

mule avec les courses du supermarché. Aide-moi, lui dis-je. J’arrive tout de suite, répond-il. Il ne dit jamais non directement. Mais moi je viens de monter tous les sacs et lui il n’a pas encore bougé son cul de son siège. Je vais dans la salle à manger, je crie sur lui, je l’insulte, je fais des moulinets dans le vide, je me casse un ongle. Et lui, il ne bouge même pas. Alors, je m’assieds sur une chaise de la cuisine et je me mets à pleurer. Au bout d’un petit moment, il apparaît en chaussettes