Versification Dans Le Cid

inversé chez Sigismond. C'est le renversement de la situation normale, dans le rêve on prend le songe pour la réalité, lui c'est l'inverse. Le théâtre mental avec monologues: personnages qui se dédoublent pour dialoguer avec eux mêmes (cf stances du Cid). C'est le propre du dilemme, contradictions de choix. Psychomachie. Ce sont des passages qui mettent le personnage en scène, en une sorte de dédoublement : Sigismond et la réflexion sur le rêve, Rosaure qui déplore son sort et s'interroge sur la conduite

littéraire. Il est présenté au cardinal Richelieu en 1633 et devient un des cinq auteurs chargés de composer des pièces sur les idées du cardinal. Mais Corneille repart bientôt à Rouen et le cardinal lui en voudra et participera à cabale conte le Cid. En 1647 il entre à l’Académie française. Après l’échec de Pertharite (1651), il semble renoncer au thèâtre et se consacre à la méditation et au lyrisme sacré : L’imitation de Jésus Christ, Polyeucte. Dans cette même période de retraite, il se consacre

un excellent support = procédé poétique, sons repetés dans le texte qu’ils soit versifié ou en prose Il s’agit de la répétition d’un ou plusieurs phonèmes d’un même mot ou à l’intérieur de mots voisins. Consonnes : allitérations = corneille (le cid) = « les maures & les mer montent / racine (andromaque) : « pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ? » Voyelles : assonances = la petite souris qui lit :P Rime = répétition d’un son en fin de vers Rimes embrassées : ABBA Rimes

exemple : la mort). « La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. »Racine, Bérénice, préface. Quelques grandes tragédies classiques : Corneille (1606-1684) : Le Cid (1636) Horace (1640) Cinna (1641) Polyeucte (1643) Racine (1639-1699) : Andromaque (1667) Iphigénie (1674) Phèdre (1677) Britannicus (1669) Bérénice (1670) Mithridate (1673)

de sens contraire à l´interieur du même enoncé(La légende des siècles) B)L´OXYMORE Example(Cette obscure clarté qui tombe des étoiles) C´est une figure qui rapproche dans la même unité grammatical, deux mots opposés et crée une image neuve.(Le Cid: pièce de thème en vers) C)LE CHIASME Example(leur forme était semblable , et semblable la danse) Le figure fait suivre deux expressions symétriques ou les mêmes éléments syntaxiques sont invertis. (La mort du loup)

régulièrement théâtre, l'hotel du marais. En 1634 il devient officiellement un théâtre. Immédiatement il s'établit un rapport de concurrence entre les deux salles. Donc concurrence entre les auteurs joués dans une salle et les auteurs joués dans l'autre. Le cid de Corneille a été représenté au marais mais il y en a un 2e à Bourgogne, il y a 2 de tout ^^ Ces salles de jeux de paume sont très peu adaptés aux exigences de la représentation théâtrale. Elles ont un mauvais éclairage. Les pièces ont lieu de 14h

et préciosité ne suffisent pas à donner un sens au “commerce des muses”. Le lyrisme trouve alors à se loger hors de la poésie: il n’est absent ni des Oraisons funèbres (1667-1687) de Bossuet ni des tragédies de Corneille, où il anime les stances du Cid, ni de celles de Racine qui comptent quelques-uns des vers les plus mélodieux de la langue française.  Il faut attendre le milieu du XVIIIème siècle pour assister à un renouveau du lyrisme. Le préromantisme dans la prose sentimentale, puis le romantisme

description qui s’oppose à la réalité présentée). Elle doit être distinguée de l’humour, même si elle peut faire sourire. ( n.f.) : Figure d’atténuation qui consiste à dire moins qu’on veut faire entendre. Ex : « Va, je ne te hais point... » (Corneille, Le Cid, III, 4) pour « je t’adore ». ( n.f.) : Figure de style consistant à remplacer une réalité par une autre, créant un effet de suggestion. L’outil de comparaison (comme, tel que, semblable à ) est absent ; parfois, le comparé l’est aussi. Ex : « Ma

Théâtre : faire rire, émouvoir, faire pleurer Le professeur fait lire, intégralement ou par extraits, au moins une pièce d’un des auteurs suivants : - Molière : par exemple Les Précieuses ridicules, Georges Dandin, L’Avare ; -Pierre Corneille : Le Cid ; - Alfred de Musset : par exemple Les Caprices de Marianne, Fantasio, On ne badine pas avec l’amour ; Méthode : lecture, compréhension, organisation, expression. Étude de la langue : grammaire, orthographe, lexique. ANALYSE DE LA PHRASE Expression

matières. Il suggère plus qu’il ne montre. Enfin, le décor par allusion qui contextualise l’époque par les objets. C- La Poésie. 1 - La poésie classique. C’est un texte très structuré, composé de vers, de strophes et de rimes. La versification est l’étude des rimes. a- Les vers : 3 vers = un tercet, 4 vers = un quatrain… Ces vers ont une longueur qui s’appelle le mètre et qui se mesure en pieds. 10 pieds = un décasyllabes. 8 = octosyllabe, 12 = alexandrin… Le mètre donne le rythme