Vertus cardinales

épée et s’évanouir Sire Maurice : « Double poltron ! fils de catin ! », p.63. Le duc abusé confirme : « … jamais il n’a pu voir une épée. », p. 63. Seul le cardinal Cibo pressent que Lorenzo veut tromper son monde. 7 Lorenzo jouerait le rôle de la femmelette ? Le seul qui ne soit pas dupe de la comédie de Lorenzo : la cardinal Cibo « C’est bien fort, c’est bien fort. » Ce qui prouverait qu’il est le seul à comprendre que Lorenzo joue le rôle de la femmelette, que sa « féminité" affichée

Scène 1 Florence est en plein carnaval. La Lune éclaire un jardin. Le duc Alexandre de Médicis en compagnie de Lorenzo de Médicis attend avec impatience l'arrivée d'une jeune adolescente de quinze ans; une jeune fille dont Lorenzo vient d'acheter la vertu à sa propre mère afin de l'amener dans le lit du duc. Emporté par son désir, le duc s'approche du pavillon où se trouve la jeune fille. Scène 2 Dans la rue, au lever du jour. Plusieurs commerçants et bourgeois masqués sortent d'une maison illuminée

description très dégradante de Lorenzo. Acte I, scène : -Le Duc a totalement confiance en Lorenzo. Il se complait à dégrader Lorenzo aux yeux du Cardinal Cibo et de Sire Maurice, le traitant du « plus fieffé poltron ! Une femmelette, l'ombre d'un ruffian énervé ! ». Acte I, scène 4 : - Scène de l'épée où Lorenzo, après avoir dominé ses adversaires le Cardinal et Sire Maurice par la parole, semble se retrouver démuni lorsqu'on le pousse à la violence et finit par s'évanouir à la vue d'une épée.  Le

caractéristiques opposées : 1. une épouse aimante vs une femme adultère 2. femme clairvoyante sur la situation de Florence, du duc et du cardinal vs aveugle sur les limites de son pouvoir 3. femme vertueuse vs femme qui perd sa vertu Et le fait que la marquise est un double féminin de Lorenzo : 1. veulent faire triompher la cause républicaine 2. sacrifient leur vertu à leur cause 3. sont orgueilleux 4. actions qu'ils mènent, vaines.

entre eux va se découler une véritable passion malgré elle , son mari l'apprenant meurt de désespoir , la princesse de Clèves se résout à quitter le monde et se réfugie dans une sainte retraite « sa vie qui fut assez courte laissa des exemples de vertu inimitable » Vision d'ensemble le roman s'ouvre sur un tableau de la Cour de France sous le règne d'Henri II , cadre historique et lieu raffiné de fêtes et de vie mondaine . Dans se cortège d'exception que sont les grands de royaume , l'héroïne

DucLorenzoGiomoPuis MafioUn marchand de soieriesUn OrfèvrePuis Deux ecoliersUn bourgeois et sa femmePuis un soldatUn pageLe DucJulien SalviatiLouiseLe ProvéditeurLe MarquisLa MarquiseAscanioCardinal CiboPuis AgnoloLe DucValoriSire MauricePuis Le Cardinal CiboLorenzoLa foule (un femme, la voisine, une dame de la cour, l'orfèvre, le marchand, deux bourgeois, deux cavaliers, l'officier)Le prieurSalviatiMarieCatherinePuis un groupe de bannisMaffioPhilippePuis Le prieurPierreLorenzoValoriPuis TebaldeoLe

Dans un premier temps, une vision pure et catholique s’oppose radicalement à une vision désacralisée de la religion. Dans un deuxième temps et de manière plus implicite, une vision idéaliste de certaines valeurs telles que l’honneur, la vie et la vertu s’oppose une fois de plus à une vision désacralisée et pervertie de ces valeurs. La religion est très présente à Florence, ville italienne classique et située non loin de Rome, ville papale. Mais deux visions de cette religion entre en collision :

forcément de bons juges. Le courage peut par ailleurs servir le bien et le mal : fanatisme courageux est fanatisme. Voltaire disait que le courage n’est pas une vertu, mais une qualité commune aux scélérats et aux grands hommes. Une excellence donc mais en elle-même ni morale ni immorale. A ce qu’il semble, ce qui fait du courage une vertu à nos yeux, qui culmine dans le sacrifice de soi, c’est le risque accepté, encouru, sans motivation égoïste. Comme trait de caractère c’est d’abord une faible

Scène 1 Florence est en plein carnaval. La Lune éclaire un jardin. Le duc Alexandre de Médicis en compagnie de Lorenzo de Médicis attend avec impatience l'arrivée d'une jeune adolescente de quinze ans; une jeune fille dont Lorenzo vient d'acheter la vertu à sa propre mère afin de l'amener dans le lit du duc. Emporté par son désir, le duc s'approche du pavillon où se trouve la jeune fille. Scène 2 Dans la rue, au lever du jour. Plusieurs commerçants et bourgeois masqués sortent d'une maison illuminée

Maurice et le Cardinal Cibo) semblent considérer Lorenzo comme un danger pour Alexandre : « On sait qu'il dirige vos plaisirs et cela suffit ». Pourtant, et ce malgré les conseils de ces proches, le Duc a totalement confiance en Lorenzo. Il aime dégrader Lorenzo aux yeux du Cardinal Cibo et de Sire Maurice, le traitant du « plus fieffé poltron ! une femmelette, l'ombre d'un ruffian énervé ! ». Ensuite, dans la scène de l'épée où Lorenzo, après avoir dominé ses adversaires le Cardinal et Sire Maurice