Victor Hugo Justice Sociale

France elle est abolie depuis le 18 septembre 1981, après 2 siècles de combat menée par différentes personnalités issus du monde de l’écriture tels que Victor Hugo, Gilles Perrault, Albert Camus ou du monde de la politique : François Mitterand, Robert Badinter. L'abolition de la peine de mort n'est elle pas un choix politique engagée pour rendre une justice moins sanglante et plus juste ? Tout d'abord la peine de mort comme moyen pour dissuader les criminels n'atteint pas ses objectifs. En effet le

rendre justice: ce furent les promoteurs de l'Inquisition. Si la justice n'est pas rendue, le peuple la fera lui-même dans le sang. Ainsi donc le pouvoir royal va solliciter l'aide de l'Eglise qui agira "bien à contrecœur". Ceci n'est pas antisémite, mais simplement un souci de justice. Les hérétiques furent condamnés car ils nuisaient généralement à la société. Ainsi l'Inquisition pontificale fut dirigée contre les cathares car ceux-ci prêchaient l'insubordination aux lois naturelles et sociales: ceci

industrielle et voit naître le prolétariat, la classe sociale qui ne possède rien : ni propriété, ni patrie. Pour Diderot, la citoyenneté suppose la propriété. A partir de 1848, un grand mouvement démocratique voit le jour, et la revendication politique du suffrage universel est absorbée dans les revendications d'intégration sociale. La grande majorité des socialistes de l'époque rejetait le mouvement féministe. Proudhon, ardant avocat de l'égalité sociale et inventeur de l'adage « la propriété, c'est

accablé ; Il avait tout le jour travaillé dans son aire ; Puis avait fait son lit à sa place ordinaire ; Booz dormait auprès des boisseaux pleins de blé. 2  Ce vieillard possédait des champs de blé et d’orge ; Il était, quoique riche, à la justice enclin ; Il n’avait pas de fange en l’eau de son moulin ; Il n’avait pas d’enfer dans le feu de sa forge. 3  Sa barbe était d’argent comme un ruisseau d’avril. Sa gerbe n’était point avare ni haineuse ; Quand il voyait passer quelque pauvre

qui brise la mer gelée en nous. Voilà ce que je crois. » Franz Kafka, Lettre à Oskar Pollak (27 janvier 1904). Franz Kafka (1883-1924) =écrivain tchèque Quelques écrivains engagés : Voltaire (et l’affaire Calas), Zola (et l’affaire Dreyfus), Hugo (contre la peine de mort : « Journal d’un condamné à mort ») CELINE (réflexion sur la notion d’engagement) : « Bagatelles pour un massacre » (virulent pamphlet antisémite) ; « Voyage au bout de la nuit » Voltaire et l’affaire Calas Sous le

Victor Hugo : Ruy Blas : ACTE V SCENE 4 La reine, Ruy BlasRuy Blas fait quelques pas en chancelant vers la reine immobile et glacée, puis il tombe à deux genoux, l'oil fixé à terre, comme s'il n'osait lever les yeux jusqu'à elle. RUY BLAS, d'une grave et basse. Maintenant, madame, il faut que je vous dise. - Je n'approcherai pas.-- Je parle avec franchise. Je ne suis point coupable autant que vous croyez. Je sens, ma trahison, comme vous la voyez, Doit vous paraître horrible. Oh! Ce n'est pas facile

Victor HUGO - La mort de Gavroche 1 HUGO, Les Misérables, cinquième partie, Livre I, Chapitre XV, 1862. [Le 5 juin 1832, une manifestation républicaine organisée à l’occasion des funérailles du général Lamarque, député de gauche populaire, se termine en émeute violemment réprimée. Hugo groupe derrière la barricade de la rue de Chanvrerie, dans le quartier des Halles, les principaux personnages du roman : Marius, Javert, qui seront tous deux sauvés par Jean Valjean, et le petit Gavroche (douze

morale n'aurait pas même lieu d'exister. De plus, en vue de notre but final, le bonheur, il est évident que l’intérêt ne peut être écarté. Les stoïciens montrent aussi que la sagesse qu’ils préconisent est compatible en tout point avec la vie sociale. La justice, valeur morale, est censée respecter et harmoniser les intérêts de chacun. Intérêt ne signifie donc pas automatiquement existence strictement égoïste. John Stuart Mill le dit lui-même : toute action doit être appréciée en fonction du plaisir

Homme ? Il s’agit bien ici d’un double portrait, Giton étant « le riche » et Phédon étant « le pauvre ». Ces catégories sociales ne sont données explicitement qu’à la fin de chacun des deux portraits ; en effet, c’est au lecteur d’avancer peu à peu, au fur et à mesure de la lecture de ces portraits, dans la compréhension du statut social de chacun des deux personnages. Ce statut social explique leurs traits de caractères et leur comportement. En mettant en parallèle ces deux « caractères » antinomiques

[…] refleurit d’année en année, collective immortalité » A. De la Martine « La famille appartient aux mœurs pour une large part » J. Carbonnier « Nous croyons que cette grande Association humaine arrivera à une unité parfaite, c'est-à-dire à l’Etat Social où l’Ordre résultera naturellement, librement, de l’accord spontané de tous les éléments humains » « Les savants d’il y a cent ans se demandaient d’où elle venait, ceux d’aujourd’hui se demandent plutôt où elle va » J. Carbonnier La famille, un continuum